Lettre Georges Duroy

comme nous l’avons évoqué précédemment. Ces deux exemples de mouvements culturels et littéraires cherchent à donner la vision la plus complète et juste de la réalité. Ainsi, dans Bel-Ami de Guy de Maupassant, l’auteur nous raconte l’histoire de Geoges Duroy, un jeune homme parti de rien, dont l’ascension sociale triomphante parvient à le mener sur la voie de la réussite. D’autre part, le vocabulaire et la syntaxe employés par l’écrivain peuvent nous informer sur l’époque et sur une société précise.

alors le cadre privilégié du réalisme. En effet, un personnage jeune et naïf est confronté à la réalité du monde. Julien Sorel (Stendhal,Le Rouge et le Noir), Rubempré (Balzac, Les Illusions Perdues) échouent. Rastignac (Balzac, Le Père Goriot), Georges Duroy (Maupassant, Une Vie), eux, entrent dans la mêlée sans états d’âme. Le récit est le support d’une observation méthodique et objective de la société. Le naturalisme pousse cette doctrine encore plus loin : pour Zola, le monde doit être observé

la hiérarchie sociale : Dans l'Assomoir de Zola, vocabulaire imagé, vulgaire des familiers de l'assommoir du père Colombe. 2. Il ressemble a un personne réelle Il est construit comme une personne réelle : Nom, surnom, place dans la société. Georges Duroy, surnommé Bel-Ami, dans Bel Ami, Guy de Maupassant, qui recherche l'ascension sociale par le biais des femmes. Contrairement au théâtre, le personnage n'existe pas que le temps d'une crise, mais son existence peut être retracée, comme dans Une

Le Rouge et le Noir de Stendhal. * Ex : les romans d'apprentissage. Le héros, jeune homme souvent plein de grâces (Cf. Julien Sorel assimilé à une « jeune fille déguisée »), est à la conquête de la capitale (héroïsme) => paysan (Julien Sorel ou Duroy de Bel Ami) ou aristocrate ruiné (Cf. Rastignac), il est désireux d'échapper à son milieu et est près à tout pour arriver. Ambition et réussite. * Ex : les romans de capes et d'épées ou d'aventure => d'Artagnan... sont devenus des sortes de légendes

alors le cadre privilégié du réalisme. En effet, un personnage jeune et naïf est confronté à la réalité du monde. Julien Sorel (Stendhal,Le Rouge et le Noir), Rubempré (Balzac, Les Illusions Perdues) échouent. Rastignac (Balzac, Le Père Goriot), Georges Duroy (Maupassant, Une Vie), eux, entrent dans la mêlée sans états d’âme. Le récit est le support d’une observation méthodique et objective de la société. ☛Le naturalisme pousse cette doctrine encore plus loin : pour Zola, le monde doit être observé

alors le cadre privilégié du réalisme. En effet, un personnage jeune et naïf est confronté à la réalité du monde. Julien Sorel (Stendhal,Le Rouge et le Noir), Rubempré (Balzac, Les Illusions Perdues) échouent. Rastignac (Balzac, Le Père Goriot), Georges Duroy (Maupassant, Une Vie), eux, entrent dans la mêlée sans états d’âme. Le récit est le support d’une observation méthodique et objective de la société. ☛Le naturalisme pousse cette doctrine encore plus loin : pour Zola, le monde doit être observé

TITRE /AUTEURSIECLEINFORMATIONS A RETENIRCITATION Bel-Ami, Guy de Maupassant(réalisme, naturalisme)20ème s.2ème partie, fin duchapitre 10 (fin du livre)- Alors que Duroy est en train de se marier, il renoue avec son ancienne maîtresse (Mme de Marelle) dans une église (immoral). Il est immoral : il est marié par intérêt, il trompe déjà sa femme dans sa tête.- Image érotique de Mme de Marelle.- Perso narcissique, égocentrique, il ne pense qu’à lui. Il vise le rôle de député, il veut toujours +, il

merveilleuses et terribles dans des décors effrayants) ; b) l'analyse psychologique qui prédomine dans le roman dit d'analyse, le roman autobiographique (confession de l'auteur sous forme de récit ou de journal), le roman intime ou intimiste, le roman par lettres ou épistolaire; c) la peinture de la société : roman historique, picaresque, de moeurs, paysan, populiste, de la famille, d'une époque; roman fleuve : vaste roman qui se déroule sur un long espace de temps et donne souvent, grâce à plusieurs intrigues

personnalités telle que Napoléon Bonaparte, les dialogues apportent à ce roman d’avantage de réalisme, en particulier par rapport aux personnages principaux qui en réalité ne sont que le fruit de l’imagination de l’auteur. C’est grâce aux dialogues que Georges Duroy devient alors, dans ce roman, aussi réel que Napoléon Bonaparte a pu l’être. De plus, sans même que le narrateur n’intervienne, dans le dialogue le lecteur peut percevoir un trait de personnalité des personnages,  parfois grâce à un simple mot

« La Promenade au Bois dans le roman du XIXe siècle »LA PROMENADE AU BOIS DANS LE ROMAN DU XIXe SIÈCLE Chaque époque est attachée à un lieu parisien dont la littérature s’est emparée pour l’élever au rang de topos. S’il est un lieu emblématique de la vie parisienne du XIXe siècle, c’est bien le Bois de Boulogne, omniprésent dans le roman et la nouvelle de ce siècle de révolutions successives. Le Bois – expression utilisée pour désigner l’espace vert parisien – se fait le reflet des bouleversements