Lézard des murailles

trois séquences présentée selon un ordre invariable et à l'aide de structures syntaxiques identiques , des membres de phrase à peu près égales : § 1 : trois lieux : trois substantifs définis ( deux participes passés , des passifs: " une abbaye aux murailles lézardées par...une forêt percée de et un participe présent "le Morimont grouillant de") La phrase semble donc multiplier les précisions mais selon une structure et des reprises ( prépositions notamment) qui font naître le malaise. §2 : A chaque

présentes se composent du Pic vert, du Geai des chênes, du bouleau verruqueux, Le séneçon du cap, l'oseille à feuille d'écussons. L'écosystème terrils : Cet ecosystème est essenciellement constitué de roche et de poussière. Il y est présent le lézard des murailles, le criquet à ailes bleu, le pavot cornu, la vipérine commune,. L'écosystème aquatique : Cet écosystème est un ancien lac désseché ou vit encore des nombreuse espèce qui se plaisent au milieu marecageux, humide tels que le crapaud calamite

litteratureaudio.com Un rêve J'ai rêvé tant et plus, mais je n'y entends note. Pantagruel, livre III. Il était nuit. Ce furent d'abord, - ainsi j'ai vu, ainsi je raconte, - une abbaye aux murailles lézardées par la lune, - une forêt percée de sentiers tortueux, - et le Morimont(*) grouillant de capes et de chapeaux. Ce furent ensuite, - ainsi j'ai entendu, ainsi je raconte, - le glas funèbre d'une cloche auquel répondaient les sanglots

paragraphes, et où il est difficile au départ de discerner une logique narrative. En effet, dès le premier paragraphe, des images énigmatiques se juxtaposent, séparées par des tirets qui accentuent l'impression de morcellement: «– une abbaye aux murailles lézardées par la lune, – une forêt percée de sentiers tortueux, – et le Morimont* grouillant de capes et de chapeaux. » (l 1-5). L'astérisque ajoute encore à notre désorientation, en nous renvoyant à une note explicative en bas de la page. Les deux

lugubres, surpris de voir nos esprits légers.—Chantez maintenant pour m'endormir ; et après, laissez-moi reposer, et allez à vos fonctions. CHANSON. PREMIÈRE FÉE. Vous, serpents tachetés au double dard, Épineux porcs-épics, ne vous montrez pas. Lézards, aveugles reptiles, gardez-vous d'être malfaisants, N'approchez pas de notre reine. CHOEUR DE FÉES. Philomèle, avec mélodie Chante-nous une douce chanson de berceuse, Lulla, Lulla, Lullaby ; Lulla, Lulla, Lullaby. Que nul trouble, nul charme

qu’il cherche à lui donner en ne faisant que rapporter. (A l’inverse, les propos de l’extrait sont loin d’être objectifs ; on retrouve par opposition :  « grand comme une caserne (« grand mais cela ne va pas plus loin … ») ; un air de ruine ; pan de muraille ; colossale ; carrée, pareille à un bloc de mortier gâché grossièrement ; mangées d’une lèpre jaune ; nues ; vert glauque ; géante ; emplâtrée ; … » qui sont des formulations qui tendent à donner un aspect déplorable et négatif à la bâtisse. C’est

murmure, Dort sous le ciel en feu ; Quand les couleuvres souples Se promènent par couples Dans les fossés taris ; Quand les grenouilles vertes, Par les roseaux couvertes, Troublent l’air de leurs cris ; Aux fentes des murailles Quand luisent les écailles Et les yeux du lézard, Et que les taupes fouillent Les prés, où s’agenouillent Les grands bœufs à l’écart, Qu’il fait bon ne rien faire, Libre de toute affaire, Libre de tous soucis, Et sur la mousse tendre Nonchalamment s’étendre, Ou

souillait. De ce porche, sous lequel s'ouvraient deux portes, l'une conduisant aux appartements du rez-de-chaussée, l'autre à une salle qui avait pu jadis servir de salle des gardes, on débouchait dans une cour triste, nue et froide, entourée de hautes murailles rayées de longs filaments noirs par les pluies d'hiver. Dans les angles de la cour, parmi les gravats tombés des corniches ébréchées, poussaient l'ortie, la fille-avoine et la ciguë, et les pavés étaient encadrés d'herbe verte. Au fond, une rampe

Il regardait d’un œil effaré ces ornières de char creusées dans le pavage cyclopéen des rues et qui paraissent dater d’hier tant l’empreinte en est fraîche ; ces inscriptions tracées en lettres rouges, d’un pinceau cursif, sur les parois des murailles : affiches de spectacle, demandes de location, formules votives, enseignes, annonces de toutes sortes, curieuses comme le serait dans deux mille ans, pour les peuples inconnus de l’avenir, un pan de mur de Paris retrouvé avec ses affiches et ses

protagonistes : Augustin et Marguerite II/ Le Drame • Ce texte emprunte ses motifs au roman gothique dont il empreinte ses clichés : o Lieu : abbaye, place du supplice, forêt (lieux sacrés) o Personnage : moine o Action : crime, la nuit (muraille zébré par la lune : motif gothique) • Grouiller et bourdonner : vie organique primaire entre la vie et la mort • L’éclairage de la lune est maléfique : lune est Hécate, la déesse de l’enfer Nous avons tous les ingrédients d’un drame : Abbaye