Libation

avoir bu. puis lorsque tu te snetiras les jambes lourdes, te coucher. le poison agira de lui-même". il lui tendit la coupe. socrate la prit avec beaucoup de bonne humeur.. il regarda l'homme et lui demanda conseil : "que dirais-tu si je faisais une libation de breuvage à quelque divinité? est-ce permis ou non?". Criton lui répondit sèchement : "Socrate nous broyons juste ce qu'il faut en boire". socrate eut cette réflexion :"je comprend. mais il est permis de permis de prier les dieux et il le faut

|Avant toute réunion, la boulè procède à des sacrifices et | |dominent la vie politique. | | | |des libations. | |Votes à mains levées (sauf pour | | |Prytane : nom du magistrat (d’où |Organe législatif, exécutif et judiciaire :

– Tu crois qu’ils boivent ? La seconde femme – Et comment, par Artémis, et du bon encore ! C’est pourquoi si on réfléchit bien, tous les décrets ont l’air d’avoir été pris par des gens ivres et déments. Par Zeus, pourquoi feraient-ils tant de libations et de prières si ce n’était à cause du vin ! En plus ils s’injurient comme des ivrognes. (…) Praxagora – Je parlerai donc à mon tour, après avoir pris cette couronne. Je m’adresse d’abord aux dieux pour qu’ils favorisent notre entreprise. J’appartiens

1. Les créatures extraordinaires a) La présence de Polyphème, le cyclope b) La présence des Sirènes 2. L’espace extraordinaire a) L’île de Calypso : « l’île très lointaine » b) Les enfers que peuvent visiter les vivants à travers quelques libations 3. Les actions extraordinaires a) Les morts qui boivent du sang noir afin de s’approcher et ne pas avoir peur d’Ulysse. b) Les monstres qui dévorent les humains comme les Lestrygones, le cyclope, Scylla… II. L’intervention de la magie 1

lumière, aucun souvenir (à moins que l’âme du mort ne boive le sang du sacrifice). Il n’y a que moisissures et ténèbres.    Là, Ulysse convoque les morts. C’est ce qu’on appelle la Nékuia : Ulysse creuse une fosse autour de laquelle il verse les libations (lait mêlé de miel, du vin puis de l’eau), et répand par-dessus la farine blanche. Après avoir prié les morts et promis des sacrifices, il fait couler le sang des bêtes sur la fosse : « Alors les âmes des morts qui ne sont plus surgirent en nombre

media inter cornua fundit, aut ante ora deum pinguis spatiatur ad aras, instauratque diem donis, pecudumque reclusis pectoribus inhians spirantia consulit exta. “Elle-meme, tenant la patère en sa main droite, Didon toute belle, répand la libation entre les cornes d'une vache blanche; ou encore, sous le regard des dieux, elle s'avance jusqu'à l'autel gras, réitière avec des offrandes un sacrifice supplémentaire et consulte, bouche béante, les entrailles palpitantes dans le poitrail ouvert

le Calice qui servit à Jésus lors de la Cène avec les Disciples, mais aussi celui qui recueillera le sang de son flanc percé par la Lance de Longin. Le sacrement de la Communion rappelle ainsi à la fois l’Alliance entre Dieu et les Hommes par les libations et le partage du Pain et du Vin, Fruit de la terre et du Travail des Hommes, et le sang du sacrifice versé pour la rédemption des péchés. Coupe d’abondance, elle est donc aussi symbole du sacrifice et de la vie éternelle. L’Amertume

(=des jeunes filles portant des gâteaux sacrés) et des porteurs d’eau, les porteurs de corbeilles (nommées canéphores), de phiales (coupes pour les libations), de brûle-parfums, d'onochoés (vases pour verser le vin)... c’est à dire tout ce qui servira pour le sacrifice. Il y a aussi des jeunes gens portant des hydries contenant le vin pour les libations. On constate ici la dimension la plus importante de la frise, la dimension religieuse. C’est une frise purement humaine, l’image d’une cité unie

recueillir sur la tombe d'Agamemnon sur laquelle il dépose une mèche de ses cheveux comme offrande et annonce le plan de sa vengeance. Sur ordre de sa mère Clytemnestre, Électre, accompagnée du chœur formé de femmes vêtues de noir, vient apporter des libations sur la tombe de son père qui les envoie afin d'apaiser l'âme d'Agamemnon suite à un rêve que Clytemnestre vient de faire. Après avoir reconnu Oreste, ils décident du plan à suivre pour se venger : Oreste annoncera sa propre mort au palais en se faisant

épées qui le frappent aux yeux et au visage : telle qu'une bête féroce assaillie par les chasseurs, il se débattait entre toutes ces mains armées contre lui ; car chacun voulait avoir part à ce meurtre et goûter pour ainsi dire à ce sang, comme aux libations d'un sacrifice. Brutus lui-même lui porta un coup dans l'aine. Il s'était défendu, dit-on, contre les autres, et traînait son corps de côté et d'autre en poussant de grands cris. Mais quand il vit Brutus venir sur lui l'épée nue à la main, il se