Libéralisme politique

facilite les déplacements de main-d’œuvre, accélère la circulation des idées. Le Libéralisme (19e siècle) * Origine philosophique : * Fondée sur le principe de liberté individuelle dans tous les domaines (politique, économique, social, religieux, …) * Le libéralisme >< Absolutisme de l’Ancien Régime. * Tout homme a des droits naturels. * Applications politique & économique : * Le libéralisme >< l’État : limiter le pouvoir de l’État pour préserver l’initiative privée

Juste Prix » de Thomas d’Aquin  Le libéralisme de Boisguilbert III. L’Etat et les écoles françaises  Le Mercantilisme de Colbert  Les Physiocrates et Quesnay IV. Adam Smith et la pensée du marché Le sujet marchand. Ordre naturel et laisser-faire.  La passion pour l’échange et la division du travail  La main invisible : de l’égoïsme individuel à l’harmonie collective V. Thomas Malthus Pères des lois sur la population VI. L’économie politique de David Ricardo  La dynamique en

le 2011-10-17 2011-2012 * Tables des matières I. Le courant classique ou libéralisme. * Capitalisme * Les auteurs classiques 1. Adam Smith 2. Jean-Baptiste Say 3. David Ricardo 4. Thomas Robert Malthus 5. John Stuart Mill 6. Henri de Saint-Simon * Libre-échange * Graphique résumant le libéralisme. II. Le courant Marxisme. 1. Karl Marx * Valeur du travail * Critique capitalisme III. Le courant

conflits entre les ouvriers et les grand bourgeois ! Mineurs meurent dans les mines ou usines ! textile : amputations mine : mort – poumons Métallurgie : brûlures, amputations Urbanisation très forte car usines près des villes, modifications politiques et sociales (gros riches proprio d’usine donc il monte plus haut que l’artisto. Rapport de force entre pays industrialisés : (dominent le monde), besoin de matières et besoin de vendre ! C’est tellement bon marché que X (prix prod.) + prix déplacement

défaite du fascisme qui a provoqué l’émergence de deux grandes puissances idéologiquement opposées : l’URSS et les Etats- Unis, laissant entrevoir l’arrivée d’un nouveau conflit. En effet ces deux pays construits essentiellement sur des conceptions politiques tels que le communisme ou le capitalisme, radicalement opposées, se présentent comme des modèles. A cela s’ajoute des failles et des limites retrouvées aussi bien dans le modèle américain que dans le modèle soviétique. De ce fait, nous pouvons nous

l’émergence d’un sentiment d’appartenance, d’un “ nous ” politique permettant que les grands principes de tolérance, de solidarité et de civisme puissent être véritablement mis en œuvre. Dans ce chapitre, nous nous attacherons à montrer comment, face à la réalité des sociétés démocratiques modernes, des auteurs libéraux, tout en appartenant à des familles distinctes, voire opposées entre elles, restent majoritairement fidèles à une conception politique individualiste[1], au nom de la liberté. Rappelons

La croyance dans l’ordre naturel 3 CHAPITRE 2 : L’école classique britannique et ses prolongements continentaux 3 Section 1 : Les précurseurs de l’économie politique classique 3 I- Bernard De Mandeville et l’harmonie naturelle des intérêts 3 II- La bienveillance et la sympathie dans l’économie classique 3 Section 2 : Le libéralisme moral d’Adam Smith 3 I- Le problème d’Adam Smith 3 II- La théorie de la valeur et de la répartition 3 A- La théorie de la valeur travail 3 B- La répartition

ses grandes lignes par tous, excepté 5 % d'auteurs à l'extrême gauche et à l'extrême droite »4. Malgré tout le courant néoclassique reste traversé par une tension entre ceux qui sont davantage keynésiens ou proches du social-libéralisme et ceux qui sont plus proches du libéralisme classique dont l'influence grandira dans les années soixante-dix avec notamment : les néo-walrasiens (Kenneth Arrow,Gérard Debreu), l'École des choix publics (James M. Buchanan, Gordon Tullock), les Nouveaux classiques (Robert

pour la période dont il traite ». Dans cet ouvrage paru en 1973, et construit en trois parties (Prélude révolutionnaire, développements, et résultats) l’historien britannique s’applique à décrire les modalités d’expansion du capitalisme et du libéralisme ainsi que les transformations sociales que celle-ci engendre. Cela explique par ailleurs le choix des bornes chronologiques, 1848 correspondant au « printemps des peuples », ensemble de révolutions avortées qui ont mené au renforcement d’une bourgeoisie

L'endettement, bombe à retardement pour imposer le libéralisme L'endettement est une arme à retardement pour imposer le libéralisme, en obligeant les états à privatiser leurs services publics, tout en transformant les citoyens en esclaves des banques et des multinationales. Lorsque les dégâts de cette arme deviennent perceptibles, il est déjà trop tard. Il n'y a alors plus de retour en arrière possible, ni d'autre choix que le l'anéantissement du pouvoir de l'état, et donc des citoyens... |