Libertinage Dans Les Peintures De Fragonard

mouvement : c’est à dire que le corps est l’air réaliste 5) l’expressivité : surtout celle du visage 6) La sensualité Des règles qui permettent de donner une image réaliste de la figure humaine. Un réalisme que les artistes recherchent dans la peinture du 14 ème siècle. On peut le voir par exemple avec la vénus de MILO ou encore la VICTOIRE DE SAMOTHRACE, l’œuvre aussi DAVID de Donatello (premier nu depuis la fin de l’antiquité) ou de Michel-Ange. 2- L’APPORT DES SCIENCE S ET DES MATHEMATIQUES

Juan, un mythe moderne Annexes - Le téléfilm de Bluwal - Sujet de dissertation : Le rôle de la comédie est-il uniquement de faire rire ? : barème et proposition pour une correction - Complément sur la représentation du surnaturel - Le libertinage de mœurs - Le libertinage d’esprit - Paroles de critiques sur la pièce - Paroles de metteurs en scène - Théâtre baroque et pièces machines 1 Séance I- Présentation du personnage de Dom Juan Support - La pièce dans sa globalité - Mise en scène de Bluwal Déroulement

et engagée avec le protestant Agrippa d’Aubigné qui a écrit le recueil Les Tragiques paru en 1616 et dont la facture s’apparente au baroque Poésie lyrique et pathétique : Louise Labé qui chante les affres de l’amour Peintres : rôle majeur de la peinture italienne ; Léonard de Vinci, Michel- Ange Architecture : les Châteaux de la Loire XVIIème siècle : -Le Baroque (mouvement européen, situé à la frontière entre le XVIème et le XVIIème : 1570-1650 et au-delà en Europe,) Le mot baroque vient du

Louis XV déclare " Le Roi veut être obéi ". La situation financière du royaume reste cependant désastreuse. Cette période du siècle est notamment marquée par une certaine libération des moeurs, par le goût croissant du luxe, par l'impiété et le libertinage. D) Le Règne de Louis XV (1723-1774) Louis XV, dit le « Bien-Aimé » (Versailles, 15 février 1710 – Versailles, 10 mai 1774), duc d'Anjou jusqu'au 8 mars 1712, dauphin de France du 8 mars 1712 au 1er septembre 1715, est un roi de France et

tant qu'arme pour rejoindre l'idéologie de Descartes. Il contribue au libertinage. -Descartes, il met en place le doute et créé une célèbre formule : "Cogito Ergo Sum" qui veut dire « je pense donc je suis » -Blaise Pascal, janséniste, possède une influence importante avec l'idéologie de son œuvre et sa valeur esthétique. 2. Sous la Régence : Chercher ce que l’on nomme le « style Rococo ». _ Qu’est-ce que le libertinage ? _ Qui sont Watteau et Boucher ? Illustrez votre dossier par une

tout le monde n'est pas aujourd'hui en mesure de percevoir les significations, les enjeux, les attraits des faits culturels. Cela exige une information de base, et une maîtrise suffisante de la perspective historique." Marie-Madeleine FRAGONARD Sources FRAGONARD M.-M., Précis d'histoire de la littérature française, P., Didier, 1981. POTELET H., Mémento de littérature française, P., Hatier, 1990. Philippe Van Goethem http://users.skynet.be/fralica/refer/theorie/annex/histlitt.htm Table des matières

Blaise Pascal, il est janséniste et exerce une influence importante avec l'idéologie de son œuvre et sa valeur esthétique. Pierre Gassendi, il choisit l'expérience en tant qu'arme pour rejoindre l'idéologie de Descartes. Il contribue au libertinage. Michel de Montaigne, né d’un père humaniste, il marquera les esprits par ses essais. Il vit au XVIème siècle. Charron, héritier des philosophes de l'Antiquité, est l'ami de Montaigne. Il défend la tolérance religieuse et se rend

Ergo Sum" * Blaise Pascal, janséniste, exerce une influence importante avec l'idéologie de son oeuvre et sa valeur esthétique. * Pierre Gassendi, choisit l'expérience en tant qu'arme pour rejoindre l'idéologie de Descartes. Il contribue au libertinage. * Montaigne * Charron, héritier des philosophes de l'Antiquité, est l'ami de Montaigne. Il défend ardemment l'idée de la tolérance religieuse dans une époque troublée. Il se rend ainsi suspect et fait figure d'athée. On peut dire qu'il

façons impies et licencieuses qui flattent l'hostilité de l'aristocratie face au despotisme croissant. À travers les odes et les stances, les satires et les épigrammes du premier recueil de ses Oeuvres poétiques (1621-1623), Théophile confesse son libertinage spirituel avec une telle candeur et un tel succès que la morale en vigueur s'en offense en la personne de deux zélés jésuites. Au reste, ce temps, qu'inquiète l'agitation protestante, n'est pas à la clémence. Il abjurera en 1622 la religion de son

musique, des masques, mais connaissent une fin douloureuse avec " le colloque sentimental ". Deuxième interprétation En février 1869, quand Verlaine publie les 22 pièces qui composent Les Fêtes galantes, l'idée de se laisser inspirer par Fragonard, Boucher, Watteau et, plus généralement, par les plaisirs qu'on associe au monde de Louis XV n'est pas du tout neuve. De fait, Hugo, Gautier et Banville avaient déjà, tout au long des années cinquante et soixante du XIXe siècle, favorisé un regain