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commission de travail avait pour objectifs : - de constituer un répertoire évolutif d’ouvrages de littérature de jeunesse traitant du patrimoine calédonien et océanien et permettant la construction d’une culture partagée, - d’aider les enseignants de tous les cycles dans leur choix d’ouvrages à proposer aux élèves, - de faciliter la constitution d’un fonds d’ouvrages pour les bibliothèques scolaires. La commission n’a pas repris le très riche contenu des deux documents d’accompagnement du Ministère

d’une aventure poétique, le jeune poète cherchant sa voie, se faisant aussi bien le représentant de l’avant-garde. Apollinaire révéla rétrospectivement l’esprit de cette datation dans une lettre qu’il adressa à Max Jacob en mars 1916 : «Prends […] tous tes poèmes qui ont paru dans une revue […] jusqu’à nos jours. Sans doute cela fera un volume ; tu y ajoutes au besoin les quelques poèmes qu’il faudra et tu auras un volume et garderas des tas de poèmes inédits en mettant en lieu sûr les représentants

combinait avec celle dune aventure potique, le jeune pote cherchant sa voie, se faisant aussi bien le reprsentant de lavant-garde. Apollinaire rvla rtrospectivement lesprit de cette datation dans une lettre quil adressa Max Jacob en mars 1916 Prends tous tes pomes qui ont paru dans une revue jusqu nos jours. Sans doute cela fera un volume tu y ajoutes au besoin les quelques pomes quil faudra et tu auras un volume et garderas des tas de pomes indits en mettant en lieu sr les reprsentants de ton lyrisme

................................................... 16 VIII. Le Chien et le flacon ....................................................... 18 IX. Le Mauvais Vitrier ............................................................ 19 X. À une heure du matin.........................................................22 XI. La Femme sauvage et la petite-maîtresse ........................24 XII. Les Foules ........................................................................ 27 XIII. Les Veuves.........

................................................... 16 VIII. Le Chien et le flacon ....................................................... 18 IX. Le Mauvais Vitrier ............................................................ 19 X. À une heure du matin.........................................................22 XI. La Femme sauvage et la petite-maîtresse ........................24 XII. Les Foules ........................................................................ 27 XIII. Les Veuves.........

forcément une progression rationnelle dans le temps linéaire2, mais plutôt une activité qui, se repliant sur soi-même, ne cesse de se répéter. Elle assimile également les deux thèmes principaux du roman, la spéculation et la vie mondaine, en établissant un lien étroit entre eux. LES INCIPIT La séquence introductive de La Belle Madame Le Vassart met en scène le retour d'un personnage. Daniel, après avoir passé trois ans en Italie, revient à Paris. En rentrant chez son père, ilrevoit « les lieux déjà

d’une aventure poétique, le jeune poète cherchant sa voie, se faisant aussi bien le représentant de l’avant-garde. Apollinaire révéla rétrospectivement l’esprit de cette datation dans une lettre qu’il adressa à Max Jacob en mars 1916 : «Prends […] tous tes poèmes qui ont paru dans une revue […] jusqu’à nos jours. Sans doute cela fera un volume ; tu y ajoutes au besoin les quelques poèmes qu’il faudra et tu auras un volume et garderas des tas de poèmes inédits en mettant en lieu sûr les représentants

d’une aventure poétique, le jeune poète cherchant sa voie, se faisant aussi bien le représentant de l’avant-garde. Apollinaire révéla rétrospectivement l’esprit de cette datation dans une lettre qu’il adressa à Max Jacob en mars 1916 : «Prends […] tous tes poèmes qui ont paru dans une revue […] jusqu’à nos jours. Sans doute cela fera un volume ; tu y ajoutes au besoin les quelques poèmes qu’il faudra et tu auras un volume et garderas des tas de poèmes inédits en mettant en lieu sûr les représentants

court instant contribue à mon bonheur. Pour Socrate au contraire, cet somme de plaisir ne dure qu'un instant et répond à un d'éternel recommencement qui est une sorte de « châtiment ». Prenons l'exemple d'une personne qui tombe sous le charme d'une musique qui lui offre un pure moment de plaisir à chaque fois qu'il l'écoute . Au bout d'un certains moment à force de l'écouter en boucle, il sera dégoûté et alors la délaissera pour une autre. C'est alors un moment de plaisir qui rentre dans un éternel

dans l’œuvre durassienne, a déjà capté l’intérêt de nombreux chercheurs (citons deux ouvrages particulièrement importants : Marini, 1977, pp. 159-265, et Borgomano, 1981). Dans cette étude, nous l’abordons par un biais particulier, puisque c’est le lien entre la mendiante et le motif aquatique qui nous intéresse. La mendiante fait en effet sa première apparition déjà dans Un barrage contre le Pacifique (1950, pp. 119-120), du moins sous une forme embryonnaire et en tant que personnage secondaire.