Lieutenant de vaisseau

faites-moi souffrir encore plus de maux.     LETTRE DEUXIÈME     Votre Lieutenant vient de me dire, qu'une tempête vous a obligé de relâcher au royaume d'Algarve : je crains que vous n'ayez beaucoup souffert sur la mer, et cette appréhension m'a tellement occupée, que je n'ai plus pensé à tous mes maux ; êtes-vous bien persuadé que votre Lieutenant prenne plus de part que moi à tout ce qui vous arrive ? Pourquoi en est-il mieux informé, et enfin pourquoi ne

torero Escamillo… Les personnages et leur voix : Carmen, cigarière et séduisante bohémienne Don José, brigadier Micaëla, jeune paysanne Escamillo, célèbre torero Frasquita, bohémienne et amie de Carmen Mercédès, bohémienne et amie de Carmen Zuniga, lieutenant Moralès, brigadier Le Dancaïre, contrebandier Le Remendado, contrebandier Lillas Pastia, tavernier Un guide mezzo-soprano ténor soprano baryton soprano mezzo-soprano basse baryton baryton ténor rôle parlé rôle parlé L’orchestre : 12 violons I

capsule Mercury et Von Braun est sur un petit nuage. Shepard enrage. Il estime que cela aurait dû être lui dans la fusée. Il devra encore attendre un mois avant de partir vers le cosmos. Le 12 avril 1961, la préparation de Gagarine et de son vaisseau, le Vostok-1, est prête. Un Homme est sur le point d’entrer dans l’espace et pour la première fois de l’Histoire de l’humanité. Quelques heures plus tard, la fusée R-7 est prête à décoller emportant le cosmonaute et sa capsule. La veille, Gagarine

n'en puis plus. Adieu, aimez-moi toujours ; et faites-moi souffrir encore plus de maux. SECONDE LETTRE Votre Lieutenant vient de me dire, qu'une tempête vous a obligé de relâcher au royaume d'Algarve : je crains que vous n'ayez beaucoup souffert sur la mer, et cette appréhension m'a tellement occupée, que je n'ai plus pensé à tous mes maux ; êtes-vous bien persuadé que votre Lieutenant prenne plus de part que moi à tout ce qui vous arrive ? Pourquoi en est-il mieux informé, et enfin pourquoi ne

consoler, et reprendre notre ancienne profession. » Je donnai donc mille sequins à chacun, j’en gardai autant pour moi, et j’enterrai les trois mille autres dans un coin de ma maison. Nous achetâmes des marchandises, et après les avoir embarquées sur un vaisseau que nous frétâmes entre nous trois, nous fîmes mettre à la voile avec un vent favorable. Après un mois de navigation… » Mais je vois le jour, poursuivit Scheherazade, il faut que j’en demeure-là. « Ma sœur, dit Dinarzade, voilà un conte qui promet

d’autre beauté que la blancheur des neiges qui les coiffent. Oh ! ces escarpements infranchissables, ces murailles qui ferment de toute part mon horizon… qui me séparent de vous. » 75 75 « Le goumier avait confiance dans l’impartialité de son lieutenant ; (…) il admirait en lui les qualités qui sont primordiales aux yeux de tout arabe : le courage, la justice, la loyauté. Les canailleries de Kouider lui semblaient chose méprisable ; il ne voulait pas traiter d’égal à égal avec cet habitué des maisons

bande étaient aussi dans la chambre, je pris le chef en particulier et je lui demandai quelques lumières sur le sort de cette belle fille. Il ne put m'en donner que de fort générales. Nous l'avons tirée de l'Hôpital, me dit-il, par ordre de M. le Lieutenant général de Police. Il n'y a pas d'apparence qu'elle y eût été renfermée pour ses bonnes actions. Je l'ai interrogée plusieurs fois sur la route, elle s'obstine à ne me rien répondre. Mais, quoique je n'aie pas reçu ordre de la ménager plus que les

d’Allemagne. Il y a été intercepté par la voie ordinaire : les services secrets français disposent sur place d’une espionne étonnante, Mme Bastian, femme de ménage habile à faire les poubelles et en particulier, celles de l’attaché militaire, le lieutenant colonel Maximilien von Schwarzkoppen. Ce sont des petits bouts de papiers déchirés du bordereau, transmis de suite à la Section des statistiques autrement dit au service d’espionnage français qui déclenchent tout. L’un des responsables du service

et sera toujours en opposition avec ce militaire aux valeurs et aspirations très différentes des siennes qui sera portant désigné cotuteur de ce dernier par le conseil de famille. A l’époque, Jacques Aupick est chef de bataillon. Il sera promu lieutenant-colonel et nommé chef d’état-major en 1831 à Lyon où Charles commencera sa scolarité au Collège royal. En 1836 (soit à l’âge de 15ans), Charles rentre à Paris et est mis en pension au collège Louis-le-Grand. En 1839 il y est renvoyé pour avoir

dans l’Empire Ottoman, en l’occurrence en Tunisie. La France n’est donc pas tout à fait exclue (cf : exposition universelle à Paris en 1878 est un succès). Politique générale depuis 1871= abstention. En Indochine, après la tentative du lieutenant de vaisseau Francis Garnier pour mettre la main sur le delta du Fleuve Rouge et sa mort en 1873, la France a reconnu la souveraineté de l’Annam sur le Tonkin ( 1874). En Afrique centrale, l’exploration conduite par Savorgnan de Bazza dans les bassins