Ligue d'extrême droite

l'Italie (métropole de l'empire) et des provinces romaines (territoires situés à l'extérieur de la péninsule). Juridiquement le territoire de l'Italie était assimilé à celui de la ville de Rome, ses habitants libres étaient tous citoyens romains grâce au droit du sol (jus soli). Les citoyens romains pouvaient servir dans les légions mais avaient aussi beaucoup de privilèges sociaux par rapport aux non-citoyens. Le programme politique des empereurs était d'intégrer de plus en plus les provinces à la civilisation

reste le territoire le plus productif de la Péninsule. Malgré des moments de grave difficulté, les signes du redémarrage économique ne manquent pas, notamment en vue de l’Expo 2015. Au niveau politique, la Lombardie est passée sous le giron de la Ligue du Nord lors des dernières élections régionales. Politique : L’année 2013 a été une année de transition politique marquée par les élections du nouveau Conseil Régional, suite à la crise politique qui avait amené, en octobre 2012, l’ancien président

mesurées pour ne pas heurter le lectorat), comme Le Petit Journal ou Le Petit Parisien (cf p.121 diffusion du Petit Parisien). • Mais des journaux d’opinion émergent également, comme le quotidien radical L’Aurore, Le Figaro, de centre-droit, L’Action française, d’extrême-droite, etc. le citoyen a dorénavant les moyens de lire le journal pour se forger une opinion et participer au débat démocratique. 1 Activité p. 122-123 : L’affaire Dreyfus dans la tourmente médiatique Une affaire révélée par la

l’intervention japonaise dans ce pays, et l’annexion qui suivra en 1910 et durera 35 ans, jusqu'à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Dans les années 1930, les yakuzas bénéficient d’une grande liberté, grâce à leur rapprochement idéologique avec la droite ultra-nationaliste[22],[23], très proche du pouvoir à l’époque. Lors de l’invasion de la Mandchourie, en Chine, ces liens leurs seront très utiles. Les yakuzas seront présents pour l’occupation, et organiseront le trafic de matériaux précieux et stratégiques

Samedi : Lente reprise de l’activité économique en Lybie, les investisseurs tardent à revenir malgré la fin des combats. Dimanche : En Syrie, le Président Al-Assad poursuit sa répression sanglante alors qu’il a signé un accord de sortie de crise avec la ligue arabe. Lundi : ouverture à Paris du procès de Carlos, qui incarne à lui seul le terrorisme des années guerre froide. Mardi : Silvio Berlusconi en Italie a perdu la confiance du Parlement. La crise de la dette a eu raison. Mercredi : l’arme nucléaire

1908. L’action française est d’abord un mouvement fondé en 1899 par Henri Vaugeois (professeur de philosophie) et Maurice Pujo (journaliste et écrivain). En proposant un programme politique complet, ce mouvement se veut être plus ambitieux que la ligue de la Patrie française (qui est une simple association qui défend l’armée et les intérêts de la nation). Afin de propager les idées de ce mouvement, l’Action française créa une revue bimensuelle surnommée « la petite revue grise ». Mais c’est surtout

surmonter sa première grande crise, la crise boulangiste, témoigne de la réussite de cette politique. Après la crise boulangiste, le régime trouve un équilibre. Une nouvelle génération politique émerge. Ouverte aux ralliements à la République venus de la droite elle est conservatrice sur le plan social I. L'installation de la République des Républicains (1879-1889) Après le départ de Mac Mahon le pouvoir reste pendant une vingtaine d'année aux mains des républicains modérés, mais la première décennie

sont issues de la révolution française (institutionnelles, conception du pouvoir, questions sociale et religieuse). On ne peut comprendre la vie politique actuelle sans le passé. La France est l'un des rare pays industrialisé avec un clivage gauche/droite aussi marqué. La révolution française a révolutionné la France le plus largement possible, elle a changé de régime politique mais aussi modifié l'ensemble des institutions politiques, sociales, administrative, économique ou encore religieuse. La révolution

années 1960, les jeunes loups du souverainisme et les loups matures du fédéralisme créent le mythe de la Révolution Tranquille et celui de son corollaire obligé, la Grande Noirceur. Les premiers sont anxieux de dissimuler les origines idéologiques d’extrême droite de leur option politique tandis que les seconds veulent oublier qu’ils y ont adhéré dans leur jeunesse. Cette opération d’occultation du passé récent sert alors les uns et les autres : les premiers parce qu’ils peuvent poser comme des révolutionnaires

tardive (fin XIIe siècle) et qu’ils ont dû faire face à des contre-pouvoirs forts (l’évêque, l’université, les marchands…) que la capitale a été à chaque siècle secouée par des révoltes (celle dite d’Étienne Marcel en 1356, les Cabochiens en 1413, la Ligue à la fin du XVIe siècle, la Fronde au milieu du XVIIe siècle), bref, que Paris s’est aussi construite contre les souverains et a été l’objet de luttes parfois féroces qui lui ont donné le visage que nous lui connaissons aujourd’hui. » 1. Thèse et