Lire Nous Rend Libre

COURS 02. LE LEARNING CENTER DE L'EPF LAUSANNE de SANAA 28 FEVRIER 2012 THEORIE DE L'ARCHITECTURE ET COMPOSITION DU PROJET · BA1 et BA2 Ing. Arch. ENSEIGNANT B. BAINES · FACULTE D'ARCHITECTURE DE L'UNIVERSITE LIBRE DE BXL 2. SERPENTINE GALERY (Londres 2010) Le pavillon en aluminium flotte librement comme de la fumée au milieu des arbres. L'auvent ondule à travers le site, réfléchissant le parc et le ciel

à l’image de son titre. Elle englobe des souvenirs très précis de Londres. On y ressent énormément l'influence de Rimbaud (son affection pour les rythmes impairs et les « refrains niais » par exemple). Trois bonnes raisons de le lire : L’écriture poétique rend compte d’un malaise, c’est une expression des conflits qui rongent l’homme de l’intérieur. En effet, le recueil correspond à une période particulièrement difficile de la vie du poète, et celui-ci partage ses sentiments, ses impressions

retrace la vie de deux hommes, liés par un respect mutuelle qui dépasse l’imaginable. Ces deux hommes sont Wang-Fo, un vieil artiste peintre et son disciple, Ling. Ils parcourent ensemble les routes du pays dans le but de peindre des paysages que Wang-Fô rend plus vrais que nature. Un jour, le vieil homme se fait arrêter sous ordres de l’Empereur par la garde impériale. Ce dernier n’a connu le monde qu'à travers les tableaux de l’artiste. Il reproche au peintre quelque chose qui lui coûtera sans doute la

de Miep Gies. Elle y reste deux ans, mais se fait arrêter en 1944. Elle meurt du typhus dans le camp de concentration de Bergen-Belsen, avec sa sœur Margot. Il n’y a que son père, Otto, qui survit au massacre. Lorsqu’il revient à Amsterdam, Miep lui rend le journal qu’elle avait précédemment récupéré. Sachant qu’Anne désirait devenir écrivain, il envisagea de le publier. L’ouvrage recueille un succès critique et populaire d’ampleur mondiale. Otto Frank dira : « Je ne savais pas que ma petite Anne était

lorsqu’il rencontrait un ami » (l.16). Ce récit est pourtant de nature assez pathétique, car il décrit la vie misérable d’un pauvre homme, qui ne fait pas grand-chose hormis travailler sur son chantier, boire et trainasser dans les faubourgs. S’il fallait lire à haute voix ce texte, le ton serait surement ironique, car il confirme des faits idiots et stupides, voir immorales. Mais Couteau en fait cependant bon usage et mène son train de vie quotidien avec un flegme sans égale. « On n’en faisait plus de comme

voix d'hommes, Empereur. Qu'est ce que la vie qu'est ce que la mort pour un empereur qui n'est plus un homme? Caligula devient fou. La vie n'est rien. La mort n'est rien. La douleur n'existe pas. Ainsi parle et agit l'empereur. L'empereur est libre. Libre de tout. De ses droits. Voilà l'horreur qui entre dans la cité. Caligula est fou, il tyrannise, extermine, détruit, efface, réduit. Et la cité y consent. Elle tremble, elle maudit, elle complote, mais elle consent. Voilà le miroir de la folie

voix d'hommes, Empereur. Qu'est ce que la vie qu'est ce que la mort pour un empereur qui n'est plus un homme? Caligula devient fou. La vie n'est rien. La mort n'est rien. La douleur n'existe pas. Ainsi parle et agit l'empereur. L'empereur est libre. Libre de tout. De ses droits. Voilà l'horreur qui entre dans la cité. Caligula est fou, il tyrannise, extermine, détruit, efface, réduit. Et la cité y consent. Elle tremble, elle maudit, elle complote, mais elle consent. Voilà le miroir de la folie

tout le récit, on se demande sans cesse si le jeune serf parviendra à retrouver son ami à plumes, le suspense est bien maintenu. 35 ans plus tard, Jean-Côme Noguès a donné deux suites à ce récit : - L'Enfant et la forêt - Le Chemin des collines. A lire aussi, d'autres chroniques du roman Le Faucon déniché de Jean-Côme NOGUES : - Le Faucon déniché sur le Blog-o-noisettes - Le Faucon déniché sur le blog Littéraire en herbe - Le Faucon déniché sur le site Ricochet - Le Faucon déniché sur le site ActuSF

Programme / Sommaire : cours de philosophie. I. L'Homme, être double. étude de texte (manuel) p74-75 : ''Allégorie de la Caverne'' - République, Platon. II. L'Homme, être sensible. III. L'Homme, être libre ? IV. L'Homme, être rationnel. V. L'Homme, individu conscient. VI. L'Homme, être moral ? VII. L'Homme, être politique. VIII. L'Homme, être dénaturé. L'HOMME, ÊTRE DOUBLE. cf : PLATON - "Allégorie de la caverne" p74-75. Platon est un philosophe de l'antiquité

sur la nature de la vie. Elle suggère plus qu'elle n'en dit explicitement. Elle peut traiter d'absolument tous les sujets de toutes les époques, du réel au fantastique, du merveilleux au mythe... C'est un art immortel qui n'a pas de limite. La poésie rend le texte vivant grâce à son rythme, ses rimes, son harmonie. De plus, elle vous permet de vous plonger dans sa philosophie fascinante et vitale qui développe votre esprit, votre créativité sans pouvoir y en sortir. Le thème des sentiments permet