Lisier

temps d'aller à l'école. 2/ Plus d'eau potable au robinet Les eaux des rivières de Bretagne sont malades. Elles contiennent une très grande concentration de nitrates, un produit chimique dangereux pour la santé. Il provient de l'engrais et du lisier (mélange d'urine et d'excrément d'animaux) épandus sur les champs pour faire pousser les cultures. De plus, les nitrates favorisent la prolifération d'algues vertes qui étouffent le milieu aquatique. ANALYSE DE LA SITUATION Cocher le problème

Il ne s’agit même plus de fumier, mais de lisier. La différence est capitale. Le fumier est un mélange de déjection et de paille. Ce qui pour une quantité de « déchet » donne une moindre concentration en déjection. Le lisier, ce n’est que de la déjection, et c’est donc liquide. Les déjections sont fortement concentré en nitrate. Le nitrate en trop forte quantité présente dans l’eau la pollue énormément. Plus l’élevage est intensif, plus on fait du lisier à épandre plutôt que du fumier (pour des raison

prolongée aux rayons du soleil. Il existe deux types de breton, le paysan breton qui élève des porcs pour leur physique qui rappelle étonnement celui de la paysanne bretonne. En mieux. Son occupation principale est de pourrir sa lande à grand coup de lisier. La femme du paysan breton se reconnaît aisément au préservatif en dentelle qu'elle a noué sur le sommet du crane. Cet accessoire indispensable sert essentiellement à faire le tri entre les Bretonnes et ses porcs, trop d'entres elles furent égorgées

engrais phosphatés, rejets de station d'épuration) et d'azote (nitrates des engrais et des stations d'épuration) presque multiplié par 5 dans les apports de la terre à la mer en 30 ans ; de 1970 à 2000. La surfertilisation des sols, entre autres par le lisier, semble la première cause du phénomène en Bretagne : les précipitations printanières induisent un lessivage des nitrates du sol et un débit accru des cours d'eau. Il y a effectivement un moindre volume d'algues lors des années sèches.

son évolution quand il attaque. réduire la densité du semis et l’apport d’engrais car une culture trop dense crée un microclimat humide propice aux développement de maladies. > Remplacer l’engrais chimique par l’engrais organique L’utilisation du lisier ou du fumier des animaux d’élevage de l’exploitation peut être une alternative aux engrais chimiques. Et renforce également l’autonomie de l’exploitation. > Lutter contre les parasites sans utiliser de pesticides en pratiquant : la « lutte biologique » :

qualité, achats… L’équipe pédagogique composée d’enseignants-chercheurs, de consultants et d’industriels s’appuie sur des équipements de simulation, d’optimisation, de modélisation. Quelques entreprises d’accueil : PSA, Alstom transport, Faurecia, Lisi Automotive, CKP components, Areva , Sarel… Organisation de la formation Durant les 3 années de formation, les enseignements s’articulent autour des domaines de la logistique industrielle, de l’optimisation des flux de produits, d’informations

demandes en viande ne cesse daugmenter de par la croissance dmographique ainsi que mais aussi le changement des habitudes alimentaire. La sur production de viande cause nanmoins beaucoup de problme, principalement cologique avec les rejets de mthane, le lisier et les ressources en eaux mais aussi dordre sanitaire puisque de nombreuse maladie sont lies llevage. Le seule problme de cette production de viande en laboratoire reste aujourdhui la quantit cest pour cela que des tudes ont t raliss afin de voir

multiples. A. La pollution par les matières organiques Les matières organiques qui en sont à l'origine proviennent des déchets rejetés sans traitements préalables: - les déchets domestiques : ordures ménagères, excréments,… - Les déchets agricoles : lisiers et purins - Les déchets industriels : papeterie, huilerie, abattoirs, laiterie, tannerie,… Par exemple, une ville de 100 000 habitants déverse environ 18 tonnes de matière organique par jour dans ses égouts. Certaines substances organiques sont biodégradables

-Biomasse sèche Le bois de feu est la plus ancienne source d'énergie. Les divers déchets ligneux constituent la "biomasse sèche" et sont également appelés "bois-énergie". -Biomasse humide Les déchets organiques d'origine agricole (fumiers, lisiers...), agro-alimentaire ou urbaine (déchets verts, boues d'épuration, fraction fermentescible des ordures ménagères...) constituent la "biomasse humide", qui peut être transformée en énergie ou en engrais/amendement.

effectué une période de formation dans l’entreprise Mécatheil, Implantée à Lafeuillade-en-Vézie. Son effectif est de 13 salariés. Son activité principale est l’invention et la conception de machines industrielles pour des entreprises comme Auriplast, Lisi Cosmetics ou le centre CAT. J’ai pu effectuer des câblages d’armoires électriques, appris à souder avec un poste à souder semi-automatique, du perçage, du taraudage, de l’usinage de pièces de différents matériaux, assemblée des ensembles de pièces