Liste des grands-croix de la Légion d'honneur

chansons cambodgiennes extraites du magnifique recueil que vient de publier la Sociétédes Études ïndochinoises de Saïgon. Ces chansons ont été recueillies par M. A. Tricon, conseiller à la cour, et Bellan, administrateur des Services civils, deux grands amis du Cambodge. M. Tricon en a recueilli la musique, M. Bellan en a traduit les paroles. L'ouvrage est édité luxueusement par l'Imprimerie Nouvelle Albert Portail, le brochage, malheureusement, laisse un peu à désirer et appelle la reliure. […]

disparaitre au Vesiècle. EnGaule romaine et pendant la dynastie Mérovingienne, les pratiques funéraires favorisent la constitution de nécropoles, en dehors des villes,en bordure d'une voie ou le long d'un mur. Acette époque, des symboles chrétiens (croix,poissons) sont gravés sur les stèles qui marquent l'emplacement des tombes. Apartir du Villedes symboles géométriques apparaissent. Avec la construction des églises, l'inhumation sous le pavement de la nef, du chœur ou d'une crypte offre aux nobles

que le prix Northcliffe l'année suivante pour son roman Regain. Il est nommé chevalier de la Légion d'honneur en 1932. Les événements du début des années 1930 le poussent à s'engager politiquement. Il adhère à l'Association des écrivains et artistes révolutionnaires (mouvance communiste), mais, par méfiance, il s'en dégage très rapidement. En avril 1935, il publie Que ma joie demeure qui connaît un grand succès, particulièrement auprès de la jeunesse. Ce titre est une allusion explicite à la cantate

un roman de François Mauriac  paru en 1927. En 1950, ce roman fut inclus dans la liste du Grand prix des meilleurs romans du demi siècle. Il a été également adapté au cinéma en 1962 par Georges Franju et en 2012 par Claude Miller. François Mauriac écrit ce livre Dans les années 20, moment où il s’intéresse aux meurtrières et empoisonneuses, collectant informations et documents sur diverses affaires qui firent grand bruit à cette époque. Le livre commence par une apostrophe de l’auteur à son personnage :

problèmes financiers à la famille. Le 10 mai 1853, le canal Zola est donc bradé aux enchères, la société est rachetée par Jules Migeon et les créanciers, et devient donc « Migeon et Compagnie ». Émile Aubert, démunie, s'occupe de son fils avec sa grand-mère, Henriette Aubert. Madame Aubert décède en 1880, elle est toujours restée très proche d’Émile Zola, l'influençant beaucoup sur son œuvre et sa vie quotidienne. Émile Zola étudia au collège d'Aix-en-Provence, ou il se liera d'amitié avec Jean-Baptistin

Assemblée nationale est élue pour cinq ans au suffrage universel direct, selon un mode de scrutin uninominal majoritaire à deux tours qui remplace la représentation proportionnelle en vigueur sous la IV e République. Cette évolution vise à favoriser les grands partis et la formation de majorités parlementaires solides contrairement aux coalitions instables de la IV e République. Une innovation fondamentale de la Ve République est la création d'un Conseil constitutionnel chargé de vérifier la régularité

Stephane Hessel, mort à 95 ans, François Hollande a salué en l'ancien résidant et diplomate, résistant, intellectuel et militant, un «homme libre», «un grand Français». Présidant dans la cour des Invalides à Paris la cérémonie nationale d’hommage en l’honneur de l’auteur d'Indignez-vous ! , le chef de l’Etat a évoqué «un homme qui fut une conscience, un grand Français, un juste». «Stéphane Hessel était un homme libre : libre de ses choix, libre de ses engagements, libre de sa vie», a poursuivi Hollande

ambassadeur. Des stades à son nom, cela oui il y en a, et même en quantité, des rues, des squares aussi. Quand on y regarde de plus près, on s’aperçoit bien qu’Alain Mimoun a traversé le siècle passé. A cela s’ajoute les réactions de nos parents, grands parents, qui tous s’exclament à l’écoute de son nom, comme si Mimoun avait toujours été le « bon copain ». Mais aucun livre, aucun film ne vient assouvir cette curiosité subite quand Internet ne donne que quelques informations éparses. Il faut être

L’engagement de grandes personnalités alsaciennes durant la première guerre mondiale Intro : « L’Europe étonnée porte ses regards vers l’Alsace-Lorraine. Le bloc bismarckien qui devait étouffer le monde ne parvient même pas à étouffer la voix des Alsaciens. Fiers de leur passé, conscients de leurs valeurs, ils se redressent, prêts au combat, soldats du droit et de la justice. » Henri Zislin, janvier 1914, dans son journal. Comme vous pouvez le voir dans le plan de cet exposé, nous parlerons

à ne pas baisser les bras. A ne pas courber la tête. La forme n’est pas appétissante, le style est sec, le propos est souvent décousu. Mais le fond est là, puissant : s’appuyant sur son histoire personnelle, qui fait partie de l’histoire avec un grand H, Stéphane Hessel indique que le moteur de son engagement, c’est l’indignation. L’indignation contre le totalitarisme, contre la barbarie, l’injustice ou encore les atteintes à la dignité humaine. Et les motifs d’indignation sont nombreux de nos jours