Littérature de la Shoah

accord entre Palestiniens et Israéliens pour une paix juste et durable profitable à tous car le bien être est indivisible. Il faut que les Juifs et les Israéliens se ressaisissent de l’accident historique très lourd « originé » dans la terrible shoah que certains veulent nier, renversent le courant des choses et fassent triompher la paix vers une démocratie et un bien être partagés avec les Palestiniens et les Arabes. Cette nécessité est rappelée par la tragique sortie des juifs sépharades du

Mythe de Sisyphe (1943) et Caligula (1944) avaient déjà développé les thèmes de l'absurde. Le climat historique Tout commence après la Seconde Guerre mondiale , dont on sort comme d'un cauchemar après la Shoah et Hiroshima. Comme en 1918, le cauchemar engendre une incroyable fureur de vivre. Saint-Germain-des-Prés devient dans les années 45-55 le centre de la vie intellectuelle et nocturne parisienne. On danse, on s'enivre de jazz, on veut exister. Le mot

mort le 22 mai 1885 à Paris, est un écrivain, dramaturge, poète, homme politique, académicien et intellectuel engagé français considéré comme le plus important des écrivains romantiques de langue française et un des plus importants écrivains de la littérature française. Son œuvre est très diverse : romans, poésie lyrique, drames en vers et en prose, discours politiques à la Chambre des Pairs, correspondance abondante. Victor Hugo a fortement contribué au renouvellement de la poésie et du théâtre

précision. Il ajoute des documents en annexe : des cartes, des chiffres, des télégrammes. -Mon enfance en Allemagne nazie, de Ilse Koehn (1981) - littérature jeunesse : née en Allemagne en 1935, l'auteur raconte son enfance et son adolescence dans un pays où s'installe le nazisme. -Quand Hitler s'empara du lapin rose , de Judith Kerr (1985) - littérature jeunesse : l'histoire d'une petite fille juive dont la famille a fui l'Allemagne nazie. -Si c'est un homme, de Primo Levi (1947) : première oeuvre

En littérature, le rire est une émotion souvent utilisée pour faire part au lecteur de bon nombre de sujets et lui permettre d’être plus enclin à suivre l’argumentation de l’auteur. Ainsi, ce dernier peut essayer de le convaincre de ce point de vue, mais faire rire est-il le meilleur moyen de convaincre le lecteur ? Afin de répondre à cela, dans un premier temps nous verrons que le rire est le meilleur moyen de convaincre ; puis, dans un second temps, nous nous interrogerons sur pourquoi ce n’est

victimes militaires certes mais surtout civiles. En effet, l'URSS a eu un bilan de 20 millions de morts et l'Allemagne de 5.7, sur un bilan allant presque à 60 millions de morts. 53,8% de ces victimes sont des civiles comprenant les victimes de la Shoah (Juifs, Tziganes, Slaves et handicapés) mais également ceux qui périrent sous les bombardements aériens notamment avec les bombes nucléaires qui frappèrent Hiroshima et Nagasaki au Japon ;contre 46% militaires, morts au combat ou de sous alimentation

Allemagne en 1995, il a fait l’objet d’une récente adaptation cinématographique (avec Kate Winslet dans le rôle d’Hanna). Le roman raconte l’histoire d’amour entre un jeune adolescent et une femme plus âgée, avant de basculer sur la thématique de la Shoah et des difficultés d’une génération à lire et juger cette période lors de l’après-guerre. L’ouvrage est rapidement devenu un best-seller et a été traduit dans pas moins de 37 langues. RESUME DE L’ŒUVRE Première partie (Chapitres 1 et 2) Un jeune

TREBLINKA Treblinka est l'un des camps d'extermination nazi de l', Aktion Reinhard, du village polonais du même nom, à une centaine de kilomètres au nord-est de Varsovie, non loin de la ville de Malkinia. Un des symboles de la Shoah à partir du moment de l'occupation allemande. Le site de Treblinka voit d'abord en 1941 l'ouverture d'un camp de travail pour les prisonniers polonais ayant porté atteinte aux troupes d’occupation (Treblinka I). Un peu moins d’un an plus tard, le camp

dominante » qui lui a offert « l’espace » mais qu’elle ne pouvait pas utiliser « pour dire ce qui était interdit » parce qu’elle devient « désert », aussi parce qu’  « il y avait du sang dans cette langue. Un peu comme les écrivains juifs, après la Shoah et après la grande guerre, avec la langue allemande » et c’est pour cette raison qu’elle avoue ne pas vouloir « tomber dans le côté folklorique comme aujourd’hui avec le cirque autour du foulard » et elle souligne le fait de « retravailler la langue

essentiel : le complexe. Organisé par les archétypes, le complexe jungien est un ensemble de représentations et d’affects issus des expériences personnelles. En littérature, l’inconscient collectif permet à l’oeuvre d’acquérir la valeur d’universalité, et l’inconscient personnel y donne la valeur de créativité. La création de littérature reflète non seulement les contenus de l’inconscient personnel de l’auteur, mais aussi s’enracine dans l’inconscient collectif qui est plus