Littérature Doit Elle Faire Rever Le Lecteur

BANLIEUE ET LITTERATURE La littérature tient une place essentielle, souvent inaperçue, quelle que soit la problématique qu’abordent les sciences humaines et sociales. La raison de « son extraordinaire pouvoir social », selon les termes de Marthe Robert, est double et empêche de la négliger dans un programme culturel et institutionnel. En effet, la littérature est le lieu par excellence des représentations que les êtres humains élaborent de leur existence en société. En ce sens, leurs œuvres sont

de ce personnage, des plus communes, a très bien pu faire l’objet d’un roman encore apprécié trois siècles plus tard et que Zola a su décrire précisément une époque, le XIXème siècle et un milieu défini, celui des grands magasins parisiens qui écrasent les petits commerces, avec la faillite de l’oncle de Denise. L’auteur écrit avec une si grande précision que l’on pourrait s’y croire. Extrait 2 Si l’on se place maintenant du point de vue du lecteur, il apparait également évident qu’​ un homme sans

Moulessehoul, après avoir écrit en arabe, devient Yasmina Khadra, écrivain de langue française, après et avec quelques autres. Oui, mais voilà : il y a l'histoire. Le français fut hier la langue du colonisateur. Alors que fallait-il, que faut-il, en faire de ce français : s'en emparer ou l'oublier? Et naît ainsi un débat nourri de considérations idéologiques qui l'exaspèrent, comme si l'élection d'une langue supposait, à quelque titre, l'indignité de l'autre. Ici, des arguments de type rivalorien :

que la culture puisse avoir une « utilité » dans la vie professionnelle. Il faut ainsi beaucoup de force de conviction au professeur chargé d’enseigner la culture pour montrer que cette dernière peut être une aide dans la vie, à défaut de faire d’en faire une découverte ou une source de plaisir ! C’est là une première difficulté. La seconde vient de l’apprentissage d’un exercice nouveau, qui implique un « savoir lire » et des capacités d’analyse de toutes sortes de documents : la synthèse de

œuvre, c’est changer d’univers, c’est ouvrir un horizon. L’œuvre est tout ensemble une fermeture et un accès, un secret et la clé de son secret. Qu’elle soit récente ou classique, l’œuvre impose l’avènement d’un ordre en rupture avec l’état existant. Lecteur, auditeur, contemplateur, je me sens instauré, mais aussi nié. Certes la réalité n’est pas étrangère à l’art : mais l’art ne recourt au réel que pour l’abolir, et lui substituer une nouvelle réalité. 3- Balzac : « Quand un artiste a le malheur

le roman et va incarner définitivement le vampire. Comme le roman fantastique, le roman d’anticipation annonce lui aussi clairement les règles du jeu. En effet, comment prétendre présenter comme vrais des faits qui n’ont pas encore eu lieu ? Les lecteurs contemporains de Jules Verne ne lisaient donc pas son Voyage au centre de la terre ou De la terre à la lune comme de véritables explorations. De même Le Meilleur des mondes d’Huxley ou 1984 d’Orwell ne sauraient être pris à la lettre. Cependant

thématique dans la littérature en général, et chez voltaire en particulier (Candide) Réaliser par : Professeure : Sommaire Introduction ( la guerre ) 1- Origine de la violence en politique La Guerre dans la littérature 2- Le niveau stratégique La Définition classique 3-Les moyens de la stratégie L'impérialisme ou la volonté de puissance étatique 4-Les modèles stratégiques La guerre comme « matrice » du corps social 5-Stratégie classique Être prêt à la guerre pour ne pas la faire III) Le niveau

L’oiseau de feuL’oiseau de feu et autres contes L’oiseau de feu 1 - Résumé C’est l’histoire de trois frères qui partent en quête de l’oiseau de feu pour le plaisir de leur père, le Tsar. Le plus jeune, Ivan doit mener à bien différentes missions pour réparer ses fautes tout le long de son périple. Il est aidé par un loup-gris aux pouvoirs magiques. En chemin, il rencontrera l’amour sous la forme d’Hélène la très belle, la mort, donnée par ses frères fous de jalousie et enfin une fin heureuse comme

entre 1850 et 1890 (seconde moitié du XIX° siècle). Les précurseurs du réalisme étaient, à la base, des écrivains romantiques. Ces précurseurs étaient Balzac et Stendhal. Le « maitre » du mouvement, Flaubert, vante le « faire beau » à travers le « faire vrai ». Pour créer ce « faire vrai » l’écrivain s’inspire de fait réel, , d’enquête et de documentation . (Livre de français, page 505) b) Ces précurseurs : Le courant littéraire précédent le réalisme est le romantisme. Le romantisme a couvert

>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>> >>>>>>>>>>>>>>> Pour commencer 2 conseils importants : « II faut trois choses pour faire un bon film : primo, une bonne histoire, secundo, une bonne histoire, tertio, une bonne histoire. » (Jean Gabin à Lino Ventura) « écrire, c’est ré-écrire.» Le scénario est la base sur laquelle va reposer tout votre film, d’où la nécessité de prendre le temps de bien faire. >>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>> >>>>>>>>>>>>>>> Présentation du sujet  D’abord, une remarque