Livie

titres nouveaux que Rome lui défère, Néron n'en reçoit point qu'il ne donne à sa mère. Sa prodigue amitié ne se réserve rien ; Votre nom est dans Rome aussi saint que le sien ; A peine parle-t-on de la triste Octavie. Auguste, votre aïeul honora moins Livie : Néron devant sa mère a permis le premier Qu'on portât des faisceaux couronnés de laurier ; Quels effets voulez-vous de sa reconnaissance ? AGRIPPINE Un peu moins de respect et plus de confiance. Tous ces présents, Albine, irritent mon dépit. Je

Auguste fait construire une maison, dont le noyau appartenait à l’orateur Hortensus et fut agrandi ensuite moyennant l’acquisition des habitations voisines. Cette domus du Palatin comprenait une partie publique et une partie privée. La maison de Livie (1er s. av. J.-C.), femme de l’empereur, faisait aussi partie de ce complexe ; c’était un espace privé qui lui était réservé. On accédait à cette demeure par un couloir incliné qui menait à un grand atrium couvert. Des trois salles qui s’ouvraient

entendue au sens large : elle ne se limite pas aux liens du mariage et de la filiation, mais s’étend aux parents collatéraux et leurs descendants. Bien que certaines femmes aient pu exercer une influence sur le pouvoir politique à Rome, telle que Livie, épouse de l’empereur Octave, ou Agrippine la Jeune, mère de Néron, cela restait très exceptionnel et ce pouvoir a toujours été exercé indirectement. En effet, le principe est de l’incapacité juridique totale de la femme. La femme est toujours sous

préfets et les procurateurs, • les affranchis, qui constituent le personnel administratif. Les problèmes de succession. Arrivé à la fin de son règne sans enfant mâle, Auguste adopte Tiberius Claudius Nero, qu'il a eu de son premier mariage avec Livie. Celui-ci, sous le nom de Tibère, règne jusqu'en 37 après J.C. Mais lui non plus n'a pas de fils, c'est pourquoi il adopte le petit-fils de son frère, Caius Caligula. Mais Caligula, très vite cruel tyran, indispose sénateurs et prétoriens et est

narcisse Que tardez-vous, Seigneur, à la répudier L’empire, votre cœur, tout condamne Octavie. Auguste, votre aïeul, soupirait pour Livie Par un double divorce ils s’unirent tous deux, Et vous devez l’empire à ce divorce heureux. Tibère, que l’hymen plaça dans sa famille, Osa bien à ses yeux répudier sa fille. Vous seul, jusques ici contraire à vos désirs, N’osez par un divorce assurer

nouveaux que Rome lui défère, Néron n'en reçoit point qu'il ne donne à sa mère. Sa prodigue amitié ne se réserve rien ; Votre nom est dans Rome aussi saint que le sien ; A peine parle−t−on de la triste Octavie. Auguste, votre aïeul honora moins Livie : Néron devant sa mère a permis le premier Qu'on portât des faisceaux couronnés de laurier ; Quels effets voulez−vous de sa reconnaissance ? AGRIPPINE Un peu moins de respect et plus de confiance. Tous ces présents, Albine, irritent mon dépit

titres nouveaux que Rome lui défère, Néron n’en reçoit point qu’il ne donne à sa mère. Sa prodigue amitié ne se réserve rien Votre nom est dans Rome aussi saint que le sien. À peine parle-t-on de la triste Octavie. Auguste votre aïeul honora moins Livie. Néron devant sa mère a permis le premier Qu’on portât les faisceaux couronnés de laurier. Quels effets voulez-vous de sa reconnaissance AGRIPPINE Un peu moins de respect, et plus de confiance. Tous ces présents, Albine, irritent mon dépit. Je

nouveaux que Rome lui défère, Néron n'en reçoit point qu'il ne donne à sa mère. Sa prodigue amitié ne se réserve rien ; Votre nom est dans Rome aussi saint que le sien ; A peine parle−t−on de la triste Octavie. Auguste, votre aïeul honora moins Livie : Néron devant sa mère a permis le premier Qu'on portât des faisceaux couronnés de laurier ; Quels effets voulez−vous de sa reconnaissance ? AGRIPPINE Un peu moins de respect et plus de confiance. Tous ces présents, Albine, irritent mon dépit

r»a, mMmataa 26d, 'a1v9a74n, gpu.a r83d-i9a5,. 07G, 12, 17 Andromaque, Euripide, Hermione, mère-épouse. [ 19 ALEXANDER (Christine), « A portrait of Livia », Metropolitan Museum of Art Bulletin 11, february 1953, p. 168-171. 03, 06 impératrice, Livie. [ 20 ALEXANDER (James W.), « The marriage of Megakles », Classical Journal, 1959-60, p. 129-134. 03, 11 mariage, Mégaclès (femme de), stratégie matrimoniale. [21 ALEXANDER (W.H.), « The communiqué to the Senate on Agrippina's death », Classical

titres nouveaux que Rome lui défère, Néron n'en reçoit point qu'il ne donne à sa mère. Sa prodigue amitié ne se réserve rien ; Votre nom est dans Rome aussi saint que le sien. A peine parle−t−on de la triste Octavie. Auguste votre aïeul honora moins Livie. Néron devant sa mère a permis le premier Qu'on portât les faisceaux couronnés de laurier. Quels effets voulez−vous de sa reconnaissance ? Agrippine Un peu moins de respect, et plus de confiance. Tous ces présents, Albine, irritent mon dépit. Je vois