Livre V Republique Platon

constantes, régularités. / Classer, établir typologie (science de l'élaboration des types, facilitant analyse d'une réalité complexe et classification). Auteurs : - Hérodote : systèmes politiques comparés Perse/Athènes/Sparte - Platon (La république) : réfléchit sur meilleur système politique possible - Aristote : établit distinction entre régimes droits (monarchie) et corrompus (oligarchie). Volonté distinguer meilleur régime - Alexis de Tocqueville : Veut comprendre émergence

compris beaucoup de cités indépendantes. -500 à -338 : période classique. Le système se démocratise un peu plus ⋄ on utilise le mot démocratie. Guerres médiques et guerres civiles entre Athènes et Spartes ⋄ période dans laquelle arrive Socrate, Platon, Aristote.. -338 : Domination macédonienne avec Alexandre III le Grand. A sa mort, 3 grands royaumes apparaissent : - Egypte de Ptolémée -Syrie des Séleucides - villes grecques Cette période hellénistique -200 : arrivée des romains

différence de la plupart des interprètes, ne pas négliger le Livre I de L’Utopie – le dialogue de conseil – en se précipitant immédiate- ment sur le Livre II, comme si le Livre I n’avait aucune importance, était un texte en quelque sorte apéritif, purement ornemental. C’est reconnaître qu’il convient d’articuler soigneusement les deux livres, dans la mesure où le second, la description de l’île d’Utopie, ne peut prendre sens qu’à la lumière du Livre I, qui contient les principes de lecture du second. Tout

un art au service du Roi Comment s’enrichit le Roi ? Chapitre 1 : Les philosophes de l’Antiquité (Platon et Aristote) La pensée grecque s’intéresse exclusivement aux problèmes concrets de la vie humaine Comment vivre et vivre bien ? Au sein d’une cité ou d’un Etat (pourceaux) But de Platon : quelle est la cité idéale ? (La République) Section 1 : L’économie dans la cité idéale de Platon 427-347 av JC: L’économie = la gestion, dans la cité, des biens rares pour satisfaire les besoins de

autour de l’objet de l’éducation 1. Socrate et Platon Chez Socrate, l’éducation vise la connaissance. Cela est remarquable par son connais-toi toi-même, formulation qui trace clairement l’objet de sa pédagogie qui est la quête du savoir. De même, Platon à travers le mythe de la caverne, pose la connaissance comme objet de l’éducation. L’éducation selon lui doit viser la contemplation de l’idée du bien. C’est ainsi qu’au livre VII de La République il affirme : « dans le monde intelligible, l’idée

Table des matières Chapitre premier. — L’Église et l’Empire dans la seconde moitié du XVe siècle. I. La décadence de la papauté, de Nicolas V à l’avènement d’Alexandre VI. — II. Le déclin des anciennes hérésies. — III. Les tentatives de réforme dans l’Église régulière et séculière. — IV. Le nouvel aspect de l’institution pontificale. — V. L’Empire au temps de Frédéric III de Habsbourg. — Bibliographie. Chapitre II. — La monarchie française après la guerre de Cent Ans. I. Les réformes

utopiens est l’objectif final de l’Utopie. Très peu de place pour la religion dans cette île (caractéristique de l’utopie en général). Il faut suivre la nature, qui est fondamentalement bonne : reprise de la pensée naturaliste grecque (Socrate & Platon). Bien qu’invention relevant de l’imaginaire, cette utopie évoque un lieu bien précis (au 16è s.) : Capitale souvent recouverte de brouillard, fleuve qui la traverse (sensible aux marées) -> L’ïle d’Utopia évoque l’Angleterre et Londres. Utopia

l’histoire critique. C’est pacifique que le terme « Utopie » soit naît à Leuven dans le 1516 avec la publication du livre homonyme du chancelier anglais Thomas More. Il s’agit d’un néologisme composé par les mots grecques ou (non) et topos (lieu), acte à indiquer un lieu qu’il n’existe pas. En réalité, comme Trousson1 l’a remarqué, More aurait du appeler plus correctement son livre-île « Atopia », mais il a préféré jouer sur l’homophonie, créé par la prononciation anglaise, d’ou-topos et d’eu-topos

. . . . . . . . . . . . . . 41 Troisième partie : L’Ancien Régime et le XIXe siècle . . . . . . . . . . . . . . . 73 Quatrième partie : Les XXe et XXIe siècles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 105 La politique française sous la Ve République . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 137 Index . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 169 © Eyrolles Pratique 5 Introduction Notre univers est peuplé de citations historiques

PYRRHON, d’après DIOGÈNE LAËRCE, Vie, doctrines et sentences des philosophes illustres, IIIe s. apr. J.-C. 2- « SOCRATE. – Car l’un ne saurait point sans doute être plus raisonnable que l’autre, si les opinions de chacun sont pour chacun la vérité. » PLATON, Cratyle, IVe s. av. J.-C. 3- « L’unité de la conscience est ce qui seul constitue le rapport des représentations à un objet, c’est-à-dire leur valeur objective ; c’est elle qui en fait des connaissances [...]. » K NT i ue de la raison pur Les