Livre Vii Des Fables La Fontaine

l'auteur ne ménage pas ses couleurs ! Il faut savoir renoncer à se faire valoir (lire la remarque 11 (VII) du chapitre intitulé « Du mérite personnel »). B. Une esthétique de l'ironie Cet art de décrire est aussi un art d'écrire, qui a recours à plusieurs tours d'esprit. La Bruyère dresse le portrait de personnages abhorrés, en jouant sur la nuance des mots rapprochés ou opposés.......Il se livre à de piquantes symétries... à des rapprochements de mots. Entre Gnathon et glouton, par exemple (figure

« La Cour du Lion »(présentation auteur / œuvre) Jean de La Fontaine (1621-1695) est le plus important fabuliste de la période classique. « La cour du Lion » appartient au livre VII de la deuxième édition de son recueil de Fables , publiée en 1678. (Présentation texte) Cette fable est inspirée d’une fable de l’auteur grec Phèdre, « Le lion régnant », que La Fontaine a mise en vers et modifiée de manière à viser la monarchie de Louis XIV

peste» que s'ouvre le livre VII des Fables de La Fontaine. Cet auteur y souligne dans un registre satirique l'injustice qui règle à la cour, en montrant comment un conseil réuni par le lion pour châtier « le plus coupable», finit par sacrifier en réalité le moins coupable de tous La Fontaine repend une tradition médiévale : on trouve en effet une histoire semblable dans les Apologues de Haudent en 1547 : « La Confession de l'Asne, du Renard et du loup ». Comment La Fontaine use des ressources

LES FABLES DE LA FONTAINE LIVRE I : La Cigale et la Fourmi : La cigale va voir la fourmi pour qu'elle lui donne à manger, elle refuse. La morale →être prévoyant et travailleur. Le Corbeau et le Renard : Le renard flatte le corbeau pour obtenir le fromage, il lâche le fromage sans faire exprès. La morale → tout flatteur vit aux dépends de celui qui l'écoute. La Grenouille[...] que le Boeuf : La grenouille veut ressembler au bœuf, elle ne réussi pas. La morale → ne pas vouloir ressembler à plus

 « Après le Déluge ».  3. ​ Henri MICHAUX, ​ La Nuit remue​ , « Contre ! ».  4. ​ Francis PONGE, ​ Parti­pris des choses​ , « Le Pain ».    II/ ​ ACTIVITÉS COMPLÉMENTAIRES  A) ​ Etude d’un corpus de textes – ​ APOLOGUES POÉTIQUES   J. de LA FONTAINE, ​ Fables​ , VII, 12, « Les Deux coqs ».  A. de VIGNY, ​ Les Destinées​ , « La mort du loup ».  Ch. BAUDELAIRE, ​ Fleurs du Mal​ , I, « L’Albatros ».  Questions ​ portant sur le contenu argumentatif des poèmes et sur les procédés littéraires propres à assurer l’efficacité

Mise en scène [pic] 1 Sommaire Le Rat qui s’est retiré du monde, Jean de la Fontaine Page 3 La mise en scène de la fable Page 4 Le décor Page 5-6 Les costumes Page 7 Le travail de metteur en scène Page 8-9 Point de vue des metteurs en scène

jaseurs et les fleurs nues des vignes SEQUENCE 3 Texte 8 "La Cour du Lion" - fable 7 du Livre VII des Fables, de Jean de La Fontaine (1678) - Sa Majesté Lionne un jour voulut connaître De quelles nations le Ciel l'avait fait maître. Il manda donc par députés*

La Fontaine Fables livre VII texte 3 : les deux coqs Questions : a) dégagez le plan du texte. b) étudiez le jeu des temps. c) par quels procédés l'auteur humaniste-t-il les personnages ? d) quel est le ton du texte ? justifiez précisément. e) étudiez la morale de cette fable. lecture analytique de la fable Intro 13ème fable du livre thème abordé : les caprices de la Fortune la réversibilité de la Fortune un mouvement de retournement perpétuel I) une comédie

CYRANO de BERGERAC, L’Autre monde ou les Etats et empires de la lune LA FONTAINE, Fables, VII, 1, « Les animaux malades de la peste » VOLTAIRE, L’Ingénu, 16 Textes, documents et activités complémentaires : 1° Pouvoirs de l’éloquence et du récit ou l’art de persuader Platon, Gorgias Pascal, De l’art de persuader Erasme, De l’éducation des enfants La Fontaine, Fables, VIII, 4, « Le pouvoir des fables » 2° En liaison avec Lucien, Alexandre ou le faux prophète, 13 et 14 Lucien

L’ ART DE « CONTER GAIEMENT » 4e Florian Fables « Classiques », l’école des loisirs, 2009 Les Instructions officielles actuellement en vigueur préconisant l’étude de « textes de satire ou de critique sociale du XVIIIe siècle », les Fables de Florian offrent une alternative bienvenue aux œuvres des philosophes de ce siècle, dont la lecture se révèle parfois délicate en classe de quatrième. Ces fables s’inscrivent à la fois dans le prolongement des Lumières et dans la lignée des grands