Longs Murs

Poids moyen 150 à 200g. Tomate rouge semi précoce « Brandywine Jaune » Très belle variété de tomate de couleur jaune-orange. Bonne productivité de fruits de 90-150 grammes, lisses, assez ronds. Chair juteuse et sucrée(consommer les fruits pas trop mûrs). Tomate rouge précoce « Caro Rich » Cette variété présente une teneur en vitamine A 10 fois supérieur aux autres variétés. Fruit de couleur rouge orange pesant entre 120 et 150 g à la saveur excellente. Très bonne productivité. Pas de tuteurage

ciel et la comparaison avec un couvercle. Le couvercle donne l’impression de réduire l’espace du poète, de bloquer son esprit, de l'étouffer. On remarquera l’enjambement entre le vers 1 et 2. Le poète subit : «Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis» : personnification avec «gémissant» (que l’on voit par l’allitération en S)+ dénonciation de la victime : Baudelaire et son attrait pour le Spleen. Utilisation du verbe «peser» à l’indicatif montrant la longueur, la constance, de ce mal être

(J’entends encore au vent les postillons crier), Que j’aimais ce temps gris, ces passants, et la Seine Sous ses mille falots assise en souveraine ! J’allais revoir l’hiver. - Et toi, ma vie, et toi ! Oh ! dans tes longs regards j’allais tremper mon âme ; Je saluais tes murs. - Car, qui m’eût dit, madame, Que votre coeur si tôt avait changé pour moi ? ALPHONSE DE LAMARTINE (1790-1869) Poème: "Le papillon" Naître avec le printemps, mourir avec les roses, Sur l'aile du zéphyr nager

I) La mise en forme a) Présentation générale Ce n’est pas l’épaisseur qui fait la qualité d’un rapport de stage. Un rapport bien organisé, des photos, images et documents mis en valeur et au bon endroit, est beaucoup plus agréable à lire que de longs textes ou photocopies trouvés dans d’autres rapports au dans des documents internes à l’entreprise. Vos phrases doivent être courtes, précises et riches en infos. Ayez toujours à l’esprit qu’un travail synthétique, pertinent et intelligemment construit

Qui contient plus de morts que la fosse commune. » Dans Spleen LXXVII, la mort est décrite comme étant « […] ce cadavre hébété Où coule au lieu de sang l’eau verte du Léthé. » Et pour finir la mort est présente dans Spleen LXXVIII en effet « […] de longs corbillards, sans tambour ni musique Défilent lentement […] ». La mort est l’image centrale dans les quatre poèmes. Il n’y a pas de progression dans cette représentation. La mort est aussi effrayante. Elle correspond à un moment de notre vie que nous

grands palais. Il faut savoir que l’essentiel de cette peinture se retrouve autant dans ces palais que dans les villas nobiliaires ou princières. L’origine de la peinture murale est assez lointaine, déjà dès le néolithique. De plus, des restes de murs, datés du Bronze Ancien (3000-2000 av. notre ère) disposent d’un enduit peint. Au départ, il s’agissait de couleurs unies, surtout du rouge foncé, utilisés à l’intérieur de certaines pièces. Quant aux fresques figuratives, les plus anciennes dont

leurs 5 sens en émoi : la vue, au travers des couleurs notamment : "un monde jaune et bleu" (l.2) ; "Des bougainvillées rosat" (l.3) ; "des hibiscus au rouge encore pâle"(l.4-5) ; "une profusion de roses thé épaisses comme de la crème" (l.5); "de longs iris bleus"; "l'autobus couleur bouton d'or" (l.7-8), "les voitures rouges" (l.8). Quant à L'ouïe, convoquée dès la ligne 2 « le soupir odorant et âcre de la terre d'été » nous présente une personnification de la terre. Les voyageurs entendent également

exemple. Comme pour les couleurs intérieures, on recherche un rayonnement naturel et authentique avec notamment de nouvelles couleurs de briques inspirées par le passé, ou un plâtre de parement à l’aspect naturel, voire imparfait, qui fait penser à des murs en torchis. Par ailleurs, on joue de plus en plus avec les contrastes et l’harmonie des matériaux et des couleurs dans la maison et à l’extérieur. L’intérieur n’est pas indépendant de l’extérieur, mais les deux éléments forment un ensemble. Par conséquent

l’hémistiche qui finit juste avant. On se sent écrasé par notre environnement. Enjambements donnant une langueur au poème. La douleur est présente avec cet esprit qui « gémit ». Il subit « en proie », se plaint. Baudelaire l’évoque « en proie aux longs ennuis », ce qui permet de faire un lien avec le poème ouvrant le recueil « Au Lecteur », qui développe cet ennui, l’accusant d’être à l’origine de tous les vices. Ce poème ressemble aussi au « Spleen » de par sa forme (enjambements fréquents, montée

de rêve d'espoir qui voudrait pouvoir lutter sans répit contre son sommeil pour apercevoir ses rêves de nuit venir à la vie Toutes les voitures avec leurs phares toutes les voitures tracent pour lui des lignes de feu flottant dans la nuit comme de longs fils de vierge où Paris retient son cœur ses rêves ses espoirs 3,Chanson de la seine Jacques Prévert La Seine a de la chance Elle n'a pas de souci Elle se la coule douce Le jour comme la nuit Et elle sort de sa source Tout doucement, sans bruit