Louis Aimé Augustin Le Prince

Séquence 7 – FR10 © Cned – Académie en ligne 1 A La critique de la société Lecture analytique n° 1 : Érasme, Éloge de la folie, ch. LIV Introduction et situation du texte Érasme est une figure centrale de la Renaissance. Appelé «  Prince des humanistes  », on le qualifie aussi d’humaniste européen. En effet, au début du XVIe siècle, il est connu partout en Europe et tous les souverains voudraient l’avoir à leurs côtés. Pacifiste convaincu, il souhaite réformer l’Église chrétienne

sens où nous l'entendons aujourd'hui. C'est à la civilisation hellénique que nous devons cette magnifique invention. La voici racontée par Dauphin-Meunier dans son Histoire de la Banque (Que sais-je PUF,1968, p.12) : "En 687 avant notre ère, un prince indigène, Gygès affranchit son pays de Gygès, la domination d'une dynastie hittite (ce peuple de banquiers marchands que j'évoquais à l'instant) et fit de sa capitale, Sardes, un centre international du commerce (cela se trouvait en Turquie occidentale

frais. Le prieur, déjà un peu sur l’âge, était un très bon ecclésiastique, aimé de ses voisins, après l’avoir été autrefois de ses voisines. Ce qui lui avait donné surtout une grande considération, c’est qu’il était le seul bénéficier du pays qu’on ne fût pas obligé de porter dans son lit quand il avait soupé avec ses confrères. Il savait assez honnêtement de théologie ; et quand il était las de lire saint Augustin, il s’amusait avec Rabelais : aussi tout le monde disait du bien de lui. Mademoiselle

représente-t-il pas une ville avec ses rues en perspective ? Référence évidente à l'époque romaine et à Vitruve. Quant au tracé des rues, les tentatives de régularisation précédentes se font plus nettes et plus efficaces, sous l'impulsion des princes qui gouvernent les cités. L'idéal de la rue droite est néanmoins encore loin d'être atteint dans la plupart des villes, même si on n'hésite pas à démolir des maisons en saillie. Le modèle du quadrillage, hérité du camp romain, prélude aux plans

comprendre-elle avait perdu le cadet de ses deux enfants, Antoine, qui était mort un soir au retour de l'école, pour s'être baigné avec son frère Le Pensionnaire. 6 Le Grand Meaulnes dans un étang malsain. Elle avait décidé de mettre l'aîné, Augustin, en pension chez nous pour qu'il pût suivre le Cours Supérieur. Et aussitôt elle fit l'éloge de ce pensionnaire qu'elle nous amenait. Je ne reconnaissais plus la femme aux cheveux gris, que j'avais vue courbée devant la porte, une minute auparavant

Académie des inscriptions où ne sont pas que des érudites spécialisés ; les salons : de la duchesse du Maine avant 1740, de Mme Lambert, grande dame aux relations choisie, de Mme de Tencin, à la vie agitée, de Mme Necker, Mme Geoiffrin qui reçoit les princes éclairés et les grands esprits d'Europe, Mmes du Deffand, de Lespinasse et les Choiseul avec leurs habitués mêlé de philosophes, chez les d'Holbach se rassemblent les penseurs les plus radicaux ; d'autres maisons moins prestigieuses : celles des fermiers

annotée et commentée par Laurence Giavarini,... Larousse-Bordas, 1998 Note du transcripteur : les didascalies ont été notées en GRAS et */* Les personnages : DOM JUAN, fils de Dom Louis. SGANARELLE, valet de Dom Juan. ELVIRE, femme de Dom Juan. GUSMAN, écuyer d'Elvire. DOM CARLOS, DOM ALONSE, frères d'Elvire. DOM LOUIS, père de Dom Juan. FRANCISQUE CHARLOTTE, MATHURINE, paysannes. PIERROT, paysan. LA STATUE du Commandeur. LA VIOLETTE, RAGOTIN, laquais de Dom Juan. M. DIMANCHE, marchand.

discours, paroles perdues ! 4 Le temps des homélies n’est plus ; les Basiles, les Chrysostomes ne le ramèneraient pas ; on passerait en d’autres diocèses pour être hors de la portée de leur voix et de leurs familières instructions. Le commun des hommes aime les phrases et les périodes, admire ce qu’il n’entend pas, se suppose instruit, content de décider entre un premier et un second point, ou entre le dernier sermon et le pénultième. 6 (V) Il y a moins d’un siècle qu’un livre français était un certain

orientales dues au retour des Croisés, et s'inspire de légendes celtiques. Ainsi, la légende de Tristan et Iseult raconte l'histoire d'un amour absolu et impossible qui se termine par la mort tragique des amants; ces poèmes étaient chantés à la cour des princes par les trouvères et les troubadours. Chrétien de Troyes (1135 ?–1190 ?) est sans doute le premier romancier de la littérature française; ses romans comme Yvain ou le Chevalier au lion, Lancelot ou le Chevalier de la charrette et Perceval ou le Conte

orientales dues au retour des Croisés, et s'inspire de légendes celtiques. Ainsi, la légende de Tristan et Iseult raconte l'histoire d'un amour absolu et impossible qui se termine par la mort tragique des amants; ces poèmes étaient chantés à la cour des princes par les trouvères et les troubadours. Chrétien de Troyes (1135 ?–1190 ?) est sans doute le premier romancier de la littérature française; ses romans comme Yvain ou le Chevalier au lion, Lancelot ou le Chevalier de la charrette et Perceval ou le Conte