Louis Aragon La Rose Et Le Réséda

femmes qui interrogent leur miroir : « Où en suis-je ? ». Un ange armé d’un balai semble regarder ce qui s’y inscrit. La flèche de diamant dans l’une des coiffures permettrait d’identifier l’une des vieilles femmes comme étant la reine Marie-Louise. Le peintre fustigerait alors la famille royale espagnole responsable de la défaite contre les troupes de Napoléon. Dans cette perspective, l’ange serait l’agent possible pour débarrasser l’Espagne des envahisseurs. Sur un plan plus fantasmatique

événements et les actions des personnages. 2/a. Le narrateur sait d’où proviennent les différentes sonneries de cloches. Il est en effet capable de nommer les églises concernées, situées dans le centre de Paris : « Saint-Augustin, l’Assomption, Saint-Louis d’Antin, Saint-Roch » (l. 8-9). b. Le narrateur voit les gens qui sont placés au premier rang devant le bureau de poste puisqu’il est capable de rapporter ce qu’ils font : « Ceux des premiers rangs demeuraient une minute, hébétés, le front levé vers

typographie, 1857, (2). Girodet 1988 Girodet (Jean), Pièges et Difficultés de la langue française, 1988, (11). Gouriou 1990 Gouriou (Charles), Mémento typographique, 1990, (2). Grevisse 1986 Grevisse (Maurice), le Bon Usage, 1986, (9). Guéry 1996 Guéry (Louis), Dictionnaire des règles typographiques, 1996, (2). Hanse 1987 Hanse (Joseph), Nouveau Dictionnaire des difficultés du français moderne, 1987, (11). * Voir vol. II, p. 345-374, les noms et les références bibliographiques complètes de ces ouvrages.