Luc Ferry

service civique de Anne-Sophie Novel - Rééquilibrer les chances témoignage de Myriam Mercy recueilli par Manon Paulic - Avec les « civilistes » suisses d’Elsa Delaunay - Le service civique doit être un moyen de reconnaissance des jeunes témoignage de Luc Ferry recueilli par Eric Fottorino - Sur quelques risque de dérive propos de Vincent Laurent et Frédéric Amiel: Un service civique pour tous. Le service civique permet d’offrir aux jeunes de la société française une certaine utilité. En effet, il leur

Luc Ferry – La naissance de l'esthétique La vocation essentielle de l'art est d'incarner une vérité tenue pour supérieure. La vérité, et donc l'esthétique, dépendent de l'histoire. Dans l'antiquité grec, dire la vérité c'est décrire le cosmos, l'harmonie de l'univers. A l'ère des monothéismes, il s'agit de la sublimité du divin. Dans nos démocraties humaines il est question de la profondeur et de la richesse du génie humain. Qu'il s'agisse du cosmos ou de la religion, la vérité est à l'extérieur

SYNTHESE DE L’INTERPRETATION DE LUC FERRY Chat et pigeon prisonniers de leur programme Programmes naturels  aucune marge de manœuvre L’humain est libre et donc perfectible, pouvoir évolutif. Il peut commettre des excès. L’animal, lui, n’a pas de liberté. Obligé d’obéir au programme naturel. L’ECART et L’EXCES transcendance volonté par rapport programmes naturels. Cela montre que l’humain  excès  capable du meilleur comme du pire (« mal diabolique »). Animal = aucune volonté consciente

Pour Luc Ferry, la philosophie n’est pas (ou pas seulement) une formation à l’esprit critique, à l’autonomie ; elle est une doctrine du salut, pour aider à surpasser les peurs liées à la mort, à la finitude, à la disparition d’un être cher ; mais c’est une doctrine du salut par soi-même, c’est à dire sans le recours à un Dieu. Luc Ferry analyse dans son livre [1] cinq moments essentiels de la philosophie : - Le stoïcisme grec. - La religion chrétienne. - L’humanisme moderne (du XVIème siècle

La Sagesse des Mythes, Luc Ferry Avant-propos : Dans cet avant-propos, l’auteur pose sa réflexion sur le véritable sens des mythes. Loin de les assimiler à de simples contes ou à de naïves histoires, Luc Ferry montre que les mythes nous apportent beaucoup en réalité. Des siècles après leurs découvertes, ils continuent à nous intriguer, à nourrir nos fantasmes, ils nous obligent à une re-flexion sur notre propre condition. Dans cette introduction, Ferry s’appuie sur les deux plus grand mythes

Questions sur l'ouvrage de Luc Ferry Note : Observations : Question n° 1 : La philosophie a souvent pour objet la religion et c'est précisément le cas dans cet extrait d'Apprendre à vivre, de Luc Ferry. La philosophie et la religion traitent couramment des mêmes thèmes à savoir la divinité. Aborder des sujets de même acabit ne signifie pas forcément avoir le même point de vu. C'est peut-être même le fondement technique de cet enseignement philosophique que de prendre différentes

Comité consultatif national d’éthique depuis 2009, Luc Ferry est philosophe et ancien ministre français de l’Education nationale (gouvernement Raffarin de 2002 à 2004). Il a publié une trentaine de livres, dont : Familles je vous aime ! (XO éditions, 2007), L’homme-Dieu ou le sens de la vie ? (Grasset, 1996. Prix littéraire des Droits de l’Homme), Qu’est-ce qu’une vie réussie ? (Grasset, 2002) ou Combattre l’illettrisme (Odile Jacob, 2009), etc. Luc Ferry constate que, dans la société actuelle, l'écologie

LUC FERRY : APPRENDRE À VIVRE Chapitre 1 : Qu’est-ce que la philosophie ? - « Finitude humaine » ? C’est le fait que l’homme ait conscience de ses limites et qu’il sache qu’il va mourir. Cela génère une angoisse pour l’homme. Pour se libérer de cette dernière, il va tenter de trouver le salut. - En quoi les questions de la finitude humaine et du salut trouvent réponse différente dans la philosophie que dans les religions ? Pour les religions

Si la famille perdure depuis l'ancien Régime, cette notion a connu plusieurs changements dont le plus important reste le passage d'un mariage de raison à un mariage d'amour. De nos jours, la vie commune est affaire de choix, basée sur des sentiments et sur des décisions prises par l'individu lui-même, /indépendamment de la société. L'union amoureuse était différente à la renaissance pour plusieurs raisons. D'abord à cause du manque d'intimité : quelque soit la couche sociale, les structures architecturales

éternelle. Il existe un attrait irrésistible face à la possibilité de disposer d'une vie à rallonge. Car il s'agit bien de cette immortalité là qu'évoque Luc Ferry dans sa citation, bien que l'on ait tendance à utiliser l'adjectif immortel lorsqu'on évoque quelque chose d'exceptionnel dont le souvenir restera gravé dans nos mémoires. Cependant, Luc Ferry parle d'un cadeau empoisonné, faisant bien ressortir l'aspect nuisible qui se dégage d'un tel concept. Sous des abords séduisant, l'immortalité entraîne