Lucien Guitry

bourgeoises, qu'il tourne en ridicule : On purge Bébé (1910), Mais n'te promène donc pas toute nue ! (1911)5. Très aimé de ses contemporains et des autres auteurs, il est témoin (avec Sarah Bernhardt) au mariage de Sacha Guitry et d'Yvonne Printemps le 10 avril 1919. Sacha Guitry allait ensuite le visiter lorsqu'il était dans la clinique du docteur Fouquart à Rueil, où il mourut en juin 1921. Il achève son existence à l'âge de 58 ans, après avoir été interné deux ans dans cette maison de santé à

approfondie des caractères, montrant notamment la médiocrité des existences bourgeoises, qu'il tourne en ridicule. Très aimé de ses contemporains et des autres auteurs, il est témoin (avec Sarah Bernhardt) au mariage de Sacha Guitry et d'Yvonne Printemps le 10 avril 1919. Sacha Guitry allait ensuite le visiter lorsqu'il était dans la clinique du docteur Fouquart à Rueil, où il mourut en juin 1921. Il achève son existence à l'âge de 58 ans, après avoir été interné deux ans dans cette maison de santé à

| | [Pierre Dac] | | Le verbe aimer est difficile à conjuguer : son passé n'est pas simple, son présent n'est qu'indicatif, et son futur est toujours conditionnel. | | [Jean Cocteau] | | Quelques talonnades du langage du grand Sacha Guitry : "Partir, c'est mourir un peu. - Oui, mais mourir, c'est partir beaucoup." -- Ce qui, probablement

démodée. Laissons lui le dernier mot, le plus beau et le plus vrai : « Sans amour on n’est rien du tout. » Philippe LETHEL Yves Salgues se rappele souvent l’necdote – que lui rapporta, à l’époque, le producteur Clément Duhour : « Lorsque Sacha Guitry invite Edith Piaf à entrer dans la distribuition fastueuse de Si Versailles m’était conté, il l’accueille avec ce mot d’auteur de théâtre : « Madame, vous avez une voix à troubler l’ordre public ? eh bien, votre heure a sonné : j’attends de vous

ébahie. Je commence à m’apercevoir que Monsieur Feydeau est le légitime inventeur de ces femmes qui savent apporter dans la mauvaise foi un acharnement si ingénu et une inconscience si candide dans l’impudeur. » Léon Blum (1872-1950) Selon Sacha Guitry (1885-1957), Feydeau avait « le pouvoir de faire rire infailliblement, mathématiquement, à tel instant choisi par lui et pendant un nombre défini de secondes ». « Faites sauter le boîtier d’une montre et penchez-vous sur ses organes : roues dentelées

encore à leur mari. Sacha Guitry Il y a des femmes dont l'infidélité est le seul lien qui les attachent encore à leur mari. Sacha Guitry Je connaissais une femme très vertueuse. Elle a eu le malheur d'épouser un cocu : depuis, elle couche avec tout le monde. Sacha Guitry Le meilleur moyen de faire tourner la tête à une femme, c'est de lui dire qu'elle a un joli profil. Sacha Guitry Les avocats portent des robent pour mentir aussi bien que les femmes Sacha Guitry Si la femme était bonne

celui de Tamise lui est confié lorsque le comédien d'abord prévu pour le jouer ne peut pas honorer son engagement[1]. Max Maurey hésite à monter cette pièce d'un auteur inconnu et préfère programmer des valeurs sûres comme Louis Verneuil ou Sacha Guitry, mais ces pièces ne restent pas longtemps à l'affiche[1]. Finalement créée le 9 octobre 1928, Topaze remporte un grand succès[1] (la pièce est jouée pendant trois années de suite), et apporte la consécration à Marcel Pagnol. L'œuvre est publiée en

Sacha Guitry Dans sa citation, Sacha Guitry affirme que le théâtre peut être considéré comme un miroir contemporain des individus et de la societé. Par sa citation et via la métaphore, Sacha Guitry valorise au plus au point la représentation théâtrale. Il attribue une fonction essentielle au fait de se rendre au théâtre en le comparant avec une tâche d’hygiène quotidienne, censée être satisfaite par tous. Afin de remettre la citation dans son contexte, il faut savoir que Sacha Guitry est un

Madame de La Fayette, Lucien Leuwen de Stendhal et Clair de femme de Romain Gary. L’extrait du roman de Madame de La Fayette a été rédigé à la fin du XVIIème siècle, il expose au lecteur la première rencontre entre deux personnages magnifiques : Madame de Clèves et Monsieur de Nemours. Cette rencontre ce fait dans le cadre féérique d’un bal à la Cour du roi. L’extrait de Lucien Leuwen dont Stendhal a débuté l’écriture en 1834 sans pouvoir l’achevé dépeint la rencontre entre Lucien, un jeune homme faisant

écrivain français de la première moitié du XIXe siècle. Amateur d'arts et passionné d'Italie, il effectua de nombreux séjours avant d’écrire des essais esthétiques. Ses romans de formation sont Le Rouge et le Noir (1830), La Chartreuse de Parme (1839) et Lucien Leuwen, qui est inachevé, ont fait de lui, aux côtés de Balzac, Hugo, Flaubert ou Zola, un des grands représentants du roman français au XIXe siècle. Ses romans sont caractérisés par un style économe et resserré. Stendhal cherche « la vérité, l'âpre