Lucien Lelong

France par l’Allemagne et il rejoint alors son père et une de ses sœurs installés dans une ferme de Provence. Durant toute une année, il réalise des dessins pour le Figaro. En 1941, il retourne à Paris afin de travailler comme modéliste pour Lucien Lelong, qui tente de rétablir le commerce de haute couture auprès des allemands. Christian Dior habille donc les épouses des officiers nazis et des collaborateurs français jusqu’à la fin de la guerre. De 1942 à 1946, il réalise également des costumes

à cause de la Seconde Guerre mondiale Balmain et Carven ouvrent leurs maisons à Paris dès la fin de la Guerre. Le premier bikini est lancé à Paris. Les acheteurs, médias et clients de toutes nationalités réinvestissent la capitale française où Lucien Lelong continue à promouvoir énergiquement la haute couture grâce au Théâtre de la Mode. Mais il faudra attendre deux ans avant de voir réellement Paris retrouver son influence incontournable. Après ce conflit, c'est de nouveau « l'âge d'or » de la haute

distinguer trois points de repère: la guerre, la libération et l’avènement du New Look de Christian Dior. Le début de la décennie est marqué par la Seconde Guerre Mondiale. Les maisons Chanel et Vionnet ferment leurs portes, même si d’autres ateliers (Lucien Lelong, Elsa Schiaparelli) restent ouverts. Il s’agit pour eux de préserver la tradition française de la couture sous l’occupation. Les restrictions qu’impose la guerre ne permettent pas à la mode de créer des nouvelles tendances. Les premiers tickets

dessins de chapeaux, de vêtements et d’accessoires aux maisons de couture, puis il travailla un temps pour le couturier Robert Piguet. A la déclaration de guerre, il entra dans l’armée, et à l’armistice franco-allemand de 1940, devint l’assistant de Lucien Lelong dont il dessina les collections pendant plusieurs saisons. En 1946, il fonda sa propre maison de couture, et présenta en 1947 une première collection époustouflante. Dior fut sacré roi de la mode. Il ouvrit sa première boutique aux Etats-Unis en

tailleur en pied-de-poule noir et blanc est son premier best-seller. On commence à parler de lui lorsque la Seconde Guerre mondiale éclate. Il passe alors un an sous les drapeaux. c- Débuts dans la Haute-Couture En 1941, et entre chez Lucien Lelong, une des plus grandes maisons de couture parisiennes de cette époque. Quatre ans plus tard, il fait la connaissance de Marcel Boussac, le roi du coton, qui croit immédiatement en son talent. Boussac investit 60 millions de francs et lui accorde

points de repère: la guerre, la libération et l’avènement du New Look de Christian Dior.      1940. Le début de la décennie est marqué par la Seconde Guerre Mondiale. Les maisons Chanel et Vionnet ferment leurs portes, même si d’autres ateliers (Lucien Lelong, Elsa Schiaparelli) restent ouverts. Il s’agit pour eux de préserver la tradition française de la couture sous l’occupation. Les restrictions qu’impose la guerre ne permettent pas à la mode de créer des nouvelles tendances. Les premiers tickets

électrique, le Télégraphe et le téléphone. En 1879, une centrale hydraulique de 7 kW est construite à Saint-Moritz. En 1882, les premières usines électriques produisant des tensions continues sont construites à Londres et New York . En 1884, Lucien Gaulard (1850-1888) invente le transformateur qui permet d'élever la tension délivrée par un alternateur et facilite ainsi le transport de l'énergie électrique par des lignes à haute tension. Le premier fer à repasser électrique date de 1888,

points de repère: la guerre, la libération et l’avènement du New Look de Christian Dior.    1940. Le début de la décennie est marqué par la Seconde Guerre Mondiale. Les maisons Chanel et Vionnet ferment leurs portes, même si d’autres ateliers (Lucien Lelong, Elsa Schiaparelli) restent ouverts. Il s’agit pour eux de préserver la tradition française de la couture sous l’occupation. Les restrictions qu’impose la guerre ne permettent pas à la mode de créer des nouvelles tendances. Les premiers tickets

garde-robe féminine a pris son envol vers la liberté. [pic] Pendant la guerre et sous l’occupation, la haute couture, privée de matière première et menacée d’un transfert à Berlin puis à Vienne, est soumise à rude épreuve. Mais Lucien Lelong, président de la Chambre syndicale, tient tête aux Allemands et parvient à maintenir l’activité à Paris. La profession échappe donc à la déportation et fait preuve d’une solidarité sans faille face à la pénurie de tissus. En 1945, la haute couture

Obock (1882) ; - Hérody, ouvrier terrassier à Charcey (Saône-et-Loire) : renseignements et passage gratuit (1865) ; - Hersan (A.), employé de commerce à Paris : nouvelle matière textile à substituer au coton (1864) ; - Heuclin (Lucien), ingénieur civil à Dunkerque : commerce des huiles de graines et de tourteaux (1885) ; - Homberg, banquier [fiche : Classé Perse] ; - Houlès père et fils et Cormouls, à Mazamet : recommandation pour leurs agents, Paulin Daure et Eugène Armangaud