Lunes de fiel

main. personnageEDMOND Nature, tu es ma déesse ; c’est à ta loi que sont voués mes services. Pourquoi subirais-je le fléau de la coutume, et permettrais-je à la subtilité des nations de me déshériter, sous prétexte que je suis venu douze ou quatorze lunes plus tard que mon frère ? ... Bâtard ! pourquoi ? Ignoble ! pourquoi ? Est-ce que je n’ai pas la taille aussi bien prise, l’âme aussi généreuse, les traits aussi réguliers que la progéniture d’une honnête madame ? Pourquoi nous jeter à la face 7

prueba a Dios; si tiene algo con razonable juicio, haga lo que pueda. Lo que no pueda, encomiéndelo a Dios. Agustín lo comenta en Sobre los pasajes del Génesis (1). Al hacer la elección del Romano Pontífice, además de la premura a la oración de los fieles, deben los Cardenales entrar en cónclave y esforzarse en trabajar para elegir a la persona idónea (2). A pesar de que Moisés oraba para que el pueblo israelita venciera a los Malaquitas, no obstante, el propio pueblo luchaba. Lo explica Jerónimo en

la main. EDMOND. – Nature, tu es ma déesse ; c’est à ta loi que sont voués mes services. Pourquoi subirais-je le fléau de la coutume, et permettrais-je à la subtilité des nations de me déshériter, sous prétexte que je suis venu douze ou quatorze lunes plus tard que mon frère ?… Bâtard ! pourquoi ? Ignoble ! pourquoi ? Est-ce que je n’ai pas la taille aussi bien prise, l’âme aussi généreuse, les traits aussi réguliers que la progéniture d’une honnête madame ? Pourquoi nous jeter à la face l’ignominie

A. La cocina italiana le gusta mucho B. Les gusta mucho la cocina italiana C. Me ha gustado mucho la comida que has preparado D. No le gustan mucho las cocinas extranjeras A. Los lunes Pedro tiene clase de español B. ¿Cuándo vas al médico? Iré el lunes C. La semana que viene tendremos clase de español el lunes D. Lunes Pedro tiene clase de español A. ¿Te conviene eso tampoco? B. A mí también me conviene C. No he visto tampoco esa película D. No he visto también esa película A. Pasa por aquí, señor

vous font peur la nuit ; Et qu’enfin je suis doux, pas fier et fort instruit. Aussi, dès qu’on m’a vu : « Le voilà ! » tous accourent. Ils quittent jeux, cerceaux et balles ; ils m’entourent Avec leurs beaux grands yeux d’enfants, sans peur, sans fiel, Qui semblent toujours bleus, tant on y voit le ciel !   Les petits – quand on est petit, on est très brave – Grimpent sur mes genoux ; les grands ont un air grave ; Ils m’apportent des nids de merles qu’ils ont pris, Des albums, des crayons

qui vous font peur la nuit ; Et qu’enfin je suis doux, pas fier et fort instruit. Aussi, dès qu’on m’a vu : « Le voilà ! » tous accourent. Ils quittent jeux, cerceaux et balles ; ils m’entourent Avec leurs beaux grands yeux d’enfants, sans peur, sans fiel, Qui semblent toujours bleus, tant on y voit le ciel ! Les petits – quand on est petit, on est très brave – Grimpent sur mes genoux ; les grands ont un air grave ; Ils m’apportent des nids de merles qu’ils ont pris, Des albums, des crayons qui viennent

surréalisme • Du sable dans les dents • Du sang sur les cactus • Duc revient à l'aube (le) • Duel d'enfants • Duel de génération • Duel de papparazzi • Duel gazeux • Duel* • Dulcicime dulcinée • Dunes de Fiel • Dunes de neige • Duo comique • Duo d'un jour • Duo gagnant (le) • Dur mais juste • Dura lex, sed lex • Dure loi du talon (La) • Dynastie des malpropres (la) • Eblouissement • Eboueurs ne passeront

Los chilenos sufrieron el desprecio de una elite gobernante que, para muchos, es sobre todo "machista-leninista" y cuyo mayor orgullo es haber llegado al poder por las armas y ser una espina en la garganta de la mayor potencia militar del mundo. Fieles a la máxima de Ernest Hemingway -para quien "ser cobarde es la peor desgracia que le puede ocurrir a un ser humano"- los dirigentes de La Habana decían que no podían comprender que el golpe militar encontrara escasa resistencia, ni que los líderes

lettre. EDMOND.-Nature, tu es ma divinité ; c'est à toi que je dois mon obéissance. Pourquoi subirai-je la maladie de la coutume, et permettrai-je aux ridicules arrangements des nations de me dépouiller, parce que je serai de douze ou quatorze lunes le cadet d'un frère ? Mais quoi, je suis un bâtard ! pourquoi en serais-je méprisable, lorsque mon corps est aussi bien proportionné, mon esprit aussi élevé, et ma figure aussi régulière que celle du fils d'une honnête dame ? Pourquoi donc nous

quitter cette vie. N’osant enfourcher le cheval, mon papa ramena le Béké sur son dos jusqu’à l’habitation. Le géreur rappliqua, un pistolet au poing, et fit sonner une cloche d’alerte. Le travail des champs cessa flap. Les chiens hurlèrent des pleines lunes. Il y eut l’afflux des gens de passage et des colons de l’environ. On crut papa coupable ; on l’encordait déjà quand le Béké sortant de l’étourdi le disculpa. Dans le temps, d’avant lois sur les bois, j’abattais simaroubas et charge de lauriers-chypre