Lyrisme Personnel Et Lyrisme Universel

passion. 1 / Etude de l’aspect du poème 1/1. Ce poème est un sonnet écrit en alexandrins. Les deux quatrains sont en rimes embrassées (ABBA). 1/ 2. Ce poème est lyrique car il privilégie l’expression des sentiments personnels du poète. Marbeuf tient compte des exigences de Malherbe** : alternance de rimes féminines et masculines : rivage – aimer – enflammer – naufrage. ** Malherbe est contre les références historiques. Ses trois notions sont : la rigueur, la clarté

toujours de ses expériences personnels pour créer ? ». Pendant la Renaissance par exemple, ce dernier est une personne souffrant d’un profond mal être intérieur. Mais durant l’Antiquité, il était un être ordinaire choisi par les divinités. On peut donc se demander si l’expression des sentiments personnels liés aux nombreuses expériences vécues rend compte de l’ensemble de la littérature poétique. Certes, la poésie se sert souvent du « moi » intérieur qui exprime le lyrisme. Mais on pourrait se demander

ce destinataire ? avec la femme ? 2. Analysez les marques de la présence du poète dans ces poèmes. 3. Comment sont rendues dans ces poèmes les notions de couple d’une part, de séparation d’autre part ? Étudiez notamment le jeu des indices personnels et la relation que ces indices établissent entre le poète et la femme aimée. 4. Vous étudierez le vocabulaire des sens et vous indiquerez quelle place prennent les sensations dans ces poèmes d’amour. 5. Vous étudierez le lexique du corps et

élément par un autre élément appartenant au même ensemble logique) : ("yeux bruns", "chauds soupirs"...). - Ensuite apparaît explicitement le pronom personnel "toi" (vers 12 et 14) => progression de l'implicite vers l'explicite pour désigner l'homme aimé. - Le nom de l'homme n'est pas donné -> le lecteur peut s'identifier à l'homme => valeur universelle du poème. B- Le blason Un blason est poème au XVIème siècle décrivant en bien ou en mal un être ou un objet. - Mention de différentes parties

élément par un autre élément appartenant au même ensemble logique) : ("yeux bruns", "chauds soupirs"...). - Ensuite apparaît explicitement le pronom personnel "toi" (vers 12 et 14) => progression de l'implicite vers l'explicite pour désigner l'homme aimé. - Le nom de l'homme n'est pas donné -> le lecteur peut s'identifier à l'homme => valeur universelle du poème. B- Le blason Un blason est poème au XVIème siècle décrivant en bien ou en mal un être ou un objet. - Mention de différentes parties

ou choquer le public - règle des « trois unités » : temps, lieu, action L'homme et l'univers sont éternels et immuables en dépit de quelques changements peu profonds - les productions humaines - au premier chef l'art - sont régies par des lois universelles et éternelles. La beauté est une et absolue - l’Art doit s’inscrire dans l'éternel et l'universel et ne doit jamais s'en écarter - auteurs : * tragédie : Corneille, Racine * comédie : Molière * philosophie : Pascal * satire : La Bruyère, La

nous intéresser à ses manifestations psychologiques. l I) L’expression d’un profond mal-être a) Un lyrisme assumé Nous pouvons en effet remarquer l’omniprésence de l’auteur qui se traduit par une accumulation du pronom personnel sujet (« Je » 13 fois), de la première personne (« me » 6 fois), du pronom possessif (« mon » 3 fois). Ce lyrisme rend compte d’une expérience toute personnelle, intime, vécue. Le témoignage semble d’autant plus sincère que les marques de la présence de l’auteur sont

cette inspiration personnelle, ne nous parle-t-il pas aussi de nous, de l’homme en général, d’autrui ? Et, au fond, la poésie ne dépasse-t-elle pas toute expérience vécue pour prendre d’autres fonctions, notamment retranscrire une expérience artistique, celle de la création poétique ? I. La poésie, genre privilégié de l’expression de soi 1. Le poète s’inspire de ses propres expériences • La lignée des poètes qui ont choisi dans leur poésie d’exprimer leur vécu personnel tisse un lien depuis

la vie épris d'idéal, croyant au bonheur et à la vertu ; il les cherche dans la société et, ne les y trouvant pas, il se refuge dans la nature; la nature lui parle de Dieu, auquel il remonte peu à peu jusqu’à se perdre en lui. Ce genre de lyrisme qui est fait d'effusions spontanées, naïves, qui commence par une plainte ou par un regret, pour s'achever par la résignation ou par l'espérance, est celui qui convenait à la société de 1820, encore tout émue des catastrophes de la veille, saturée

Lecture linéaire n°2 :« Le crépuscule », L’Ame en fleurs, Livre 2 : Les Contemplations , Victor Hugo Introduction : Il s’agit du poème « Le crépuscule », de Victor Hugo datant de 1856. Ce poème se situe dans la première partie des Contemplations, « Autrefois », dans le livre « L’Ame en Fleurs ». Il s’agit d’un poème composé de 7 quatrains en rimes riches. Ce poème est un souvenir amoureux.LectureAnnonce problématique :En quoi ce crépuscule présente la