Lyrisme Surrealisme

et le Beau classiques, amorcé dès la fin du 18ème siècle par le courant sensible (inspiré par Rousseau), il domine les années 1820-1850. Le Réalisme : Courant artistique qui se développe entre 1848 et 1890 en réaction contre l'idéalisme et le lyrisme du Romantisme • Principes : reproduction la plus fidèle possible de la réalité, méthodes expérimentales, philosophie positiviste (comme un scientifique) • Thèmes : l'influence d'un milieu sur l'individu, mœurs d'une époque, d'une classe, vie urbaine

et le Beau classiques, amorcé dès la fin du 18ème siècle par le courant  sensible (inspiré par Rousseau), il domine les années 1820-1850    Le Réalisme : courant artistique qui se développe entre 1848 et 1890 en réaction contre l'idéalisme et le lyrisme du Romantisme Principes : reproduction la plus fidèle possible de la réalité, méthodes expérimentales, philosophie positiviste (comme un scientifique) Thèmes : l'influence d'un milieu sur l'individu, mœurs d'une époque, d'une classe, vie urbaine

classiques, amorcé dès la fin du 18ème siècle par le courant  sensible (inspiré par Rousseau), il domine les années 1820-1850  [partie manquante]   Le Réalisme : courant artistique qui se développe entre 1848 et 1890 en réaction contre l'idéalisme et le lyrisme du Romantisme Principes : reproduction la plus fidèle possible de la réalité, méthodes expérimentales, philosophie positiviste (comme un scientifique) Thèmes : l'influence d'un milieu sur l'individu, moeurs d'une époque, d'une classe, vie urbaine

DIONYSOS : Dieu du vin et de l’ivresse qui suscitait les excès des Bacchantes, femmes déchaînées et lubriques qui vivaient dans des forêts sauvages. Þ atteindre l’inconnu, créer, provoquer Poésie sacrée, essentielle, inspirée et magique Orphée et le lyrisme : - thèmes du regret, de l’émoi amoureux, de la joie, de la douleur… - formes : ode, élégie… Apollon et l’élucidation du monde - thèmes de la nature, des apparences trompeuses, du mystère, de la création - formes : langue souvent obscure et

poètes surréalistes changent la forme des poèmes. D’abord Apollinaire, qui les précède : « Pour ce qui est de la poésie libre dans Alcools, il ne peut y avoir aujourd’hui de lyrisme authentique sans cette liberté complète du poète (…) ; hors de cette liberté il ne saurait plus y avoir de poésie. » Puis Eluard, pilier du surréalisme poétique : « Le temps est venu où tous les poètes ont le droit et le devoir de soutenir qu’ils sont profondément enfoncés dans la vie des autres hommes, dans la vie commune

: Dieu du vin et de l’ivresse qui suscitait les excès des Bacchantes, femmes déchaînées et lubriques qui vivaient dans des forêts sauvages.  atteindre l’inconnu, créer, provoquer Poésie sacrée, essentielle, inspirée et magique Orphée et le lyrisme : - thèmes du regret, de l’émoi amoureux, de la joie, de la douleur… - formes : ode, élégie… Apollon et l’élucidation du monde - thèmes de la nature, des apparences trompeuses, du mystère, de la création - formes : langue souvent obscure et

l’inaccessible a de la valeur, et c’est pourquoi ils y reviennent, attiré par le déraisonnable pourtant lucide mais s’y complaignent, car ils ne trouvent de beauté que dans ce qu’ils les dépassent, ceci étant valable pour les héros romantiques. Une forme de lyrisme se dégage de ces histoires, puisqu’il s’agit d’une manière bien particulière de s’exprimer, passionnée et poétique, leurs façons de vivre sont réduites à leurs passions obsessionnelles. Dans ces deux films, les personnages principaux expriment avec

est l’esclave. Il y a d’ailleurs deux allitérations qui fait donc référence au couple. c) un choix d’écriture le poème est composé de 10 quatrains en alexandrins. Chaque quatrains est constitués de vers embrassés. le poème appartient au lyrisme tout au long du poème Aragon évoque l’amour qu’il porte a Elsa. Il l’idolâtre même il donne un image idéalisé de la femme quasi divine. il commence par s'adresser à la femme V1 «  tes yeux » et achève à la 3ème personne du singulier v40 « les yeux

vivant. Il pratique quatre grandes formes : l’ode, le sonnet, l’hymne, le discours. Ses premières œuvres sont marquées par l’imitation des poètes antiques et italiens, mais son imagination et sa sensibilité prennent le dessus pour les imprégner d’un lyrisme personnel. La Pléiade se caractérise par un souci de variété dans l'inspiration qui lui fait privilégier l'exploration de différents genres : à côté d'une libre imitation des Anciens, les poètes se nourrissent d'influences modernes qu'ils mettent

sont qu'une même chose : on ne doit appeler poète que celui qui invente, celui qui crée. » Apollinaire, grand poète français du XXème siècle ayant appartenu à de nombreux mouvements notamment l'unanimisme, le symbolisme, le cubisme et le surréalisme, garde de ces différents genres littéraire une poésie hétéroclite. Quelles sont donc pour Apollinaire les limites de la création ? Est-il lui même un poète, invente-t-il réellement ou réinvente-t-il ? En premier lieu sera étudié Apollinaire