Lyrisme Traditionnel

Introduction :Le parti pris des choses, de F. Ponge est un recueil de poèmes en prose qui paraît en 1942. Titre contradictoire, puisque les choses ne peuvent prendre parti (objet sans conscience). Le poète refuse tout lyrisme et tout langage artificiel (refuse la p. traditionnelle). Pour lui, la poésie doit venir de l'objet décrit. Il décrit des objets banals, se met en quête de leur matérialité, de leur profondeur substantielle. La rencontre des choses et des mots est un travail très long, supposant

personnelle. Verbes infinitif = actions = expression. mort=mort de l’expression. Raison de vivre = pouvoir chanter son amour. Plus de destinataire. 3) Ce lyrisme est original -simplicité du style et du vocabulaire originale. Simplicité des actions évoquées, des mots choisis, répétitions. renversement des codes amoureux traditionnels de la littérature : femme qui s’exprime. Incitation aux femme de s’adonner aux activités intellectuelles et à l’écriture.

« l’unique harmonie / Du vers dit Sainte-Beuve in Vie, poésies et pensées de Joseph Delorme et Hugo in Préface de Cromwell la rime est le « générateur de notre vers ». NB notamment l’émergence du trimètre romantique qui fait éclater l’organisation traditionnelle de l’alexandrin. De fait Hugo, ibidem, en appelle à un vers « large et vrai ; sachant briser à propos et déplacer la césure pour déguiser sa monotonie d’alexandrin ; […] Prenant, comme Protée, mille formes sans changer de type et de caractère

l’abandon de leur amour, tout aussi impossible aux yeux de cette femme amoureuse que le retour en arrière et la réversibilité du temps. - Ces questions sont donc aussi un moyen de rappeler cet amour et le passé : Médée use des souvenirs avec lyrisme, comme pour faire revivre l’amour en Jason : étudiez les images : « reculer jusqu’à la vierge Médée », « remonter dans la lumière » en antithèse avec « descendues dans l’ombre » ; + écho entre « remonter dans la lumière » et « remonter le temps » :

D’ailleurs, il y a présence de musicalité à travers les rimes croisées en alexandrins et les strophes en quatrains. Cette forme régulière assaisonne de rythme la poésie, contrairement à la forme traditionnelle. Lamartine imite ses prédécesseurs avec la même disposition poétique. Cela permet de développer le lyrisme et le classique. Cependant, Lamartine apporte un renouveau, un moyen de parler de soi, de faire part de ses sentiments intimes, c’est la poésie autobiographique. Au fil de la lecture, on relève

imprégner d’un lyrisme personnel. Il fait l’éloge de la beauté physique et de la perfection morale de quelques personnages féminins, devenus célèbres grâce à la puissance évocatrice de ses images : Cassandre, Marie, Hélène. Recueils lyriques principaux : Odes (1550-1552), les Amours de Cassandre (1552), Les Amours de Marie (1555), Sonnets pour Hélène (1578). Le poète Joachim du Bellay (1522-1560), auteur du manifeste Défense et Illustration de la langue française, fait preuve d’un lyrisme profond et

vers libre. Zone : on s’intéresse qu’à une partie de la ville. Etymologie : ceinture (maintien) Connotation liées à zone : enfermement, limite : lieu de marginalité + en marge du recueil : ouverture, prologue  zone est en marge de la poésie traditionnelle = modernité expension des villes I/ une revendication de nouveauté/ de la modernité A. Une ville, source d’inspiration qui n’est autre qu’une mise en scène de la modernité L’intégration de la ville Les symboles de PARIS Une structure

s’enchaînant sur la totalité des quatrains et rimant ensemble : “entendre, tendre, chanter, contenter”.  L’amour s’exprime à travers le corps (yeux, mains, voix) mais aussi et surtout à travers l’expression de soi (la voix, le chant et le luth symbole du lyrisme et bien sûr les cordes). Dans les tercets, la reprise des mêmes termes afin de dire l’impuissance (voix cassée, main impuissante, ne pouvant pas montrer) témoigne bien de l’importance de ce thème pour la poétesse. Nous sommes alors en présence d’un

en 1913. Après sa rupture avec Annie Pleydon, Apollinaire laisse l’image d’un homme mal aimé. La déception amoureuse deviendra alors l’un de ses principaux thèmes poétiques. L’auteur allie ainsi la tradition romantique à la modernité. (Thèmes traditionnels : amour, temps et eau) Pour répondre à cette question, nous étudierons dans un premier temps l’écoulement du temps et les mouvements, avant de nous intéresser à la mélancolie d’un amour perd. I) L’écoulement du temps et les mouvements de

d'engagement en temps de guerre Le poète est attentif aux difficultés de la réalité sociale et politique du monde dans lequel il vit. Victor Hugo, dans son œuvre Les Châtiments s'oppose à Napoléon III et son crime contre la République. Par ailleurs, le lyrisme, caractéristique essentielle de la poésie, est l'expression du « moi » vers l'universalité. Les poèmes expriment le dépassement, la transcendance, le partage des émotions des poètes avec les autres, ce qui leur permet ainsi de se dépasser eux-mêmes