Lys Dans La Vallée

de l'oeuvre: Ce tableau est coupé en deux plans. Dans le premier plan on peut y voir les deux personnages et dans le second plan un paysage qui semble infini. Il y a un contraste entre les deux plans. On voit l'ange Gabriel à gauche, tenant le lys blanc dans sa main gauche qui est considéré comme un symbole de la virginité de Marie. L'Ange porte une robe rouge et ses ailes sont noires et encore déployées comme s'il venait d'arriver et semble s'avancer vers la vierge. Marie en face est assise

d’une grande aide tantôt psychologique, tantôt financière. Balzac s’est essayé à tous les genres littéraires : historique et politique, avec Les Chouans ; philosophique et fantastique avec La Peau de chagrin ; poétique et romantique avec Le Lys dans la vallée ; réaliste avec Le Père Goriot. Peu avant sa mort, il fera de la « littérature industrielle », c’est-à-dire, qu’il écrivit beaucoup mais sans perdre sa qualité d’écriture, car il avait besoin d’argent. Sans compter toutes ses autres œuvres

Balzac publie en 1836, le roman le Lys dans la Vallée. Il s’agit, dans le passage qui nous intéresse, de la première rencontre entre le narrateur, Félix de Vendenesse et la comtesse Blanche Henriette de Mortsauf. Dans la mesure où Balzac s’inscrit un courant à mi-chemin entre le romantisme et le réalisme, on peut se demander comment il bouleverse le topos romantique de la scène de première vue ? On s’intéressera d’abord à la scène de première rencontre amoureuse en tant que description d’un amour

Pierrette Les célibataires : le curé de Tours (1832) Les célibataires : un ménage de garçon Les parisiens en province : la muse du département (1842) Les rivalités. 1, La vieille fille Les rivalités. 2, Le cabinet des antiques (1836-1838) Le Lys dans la vallée (1835-36) Illusions perdues. 1, Les deux poètes Illusions perdues. 2, Un grand homme de province Illusions perdues. 3, Eve et David Scènes de la vie parisienne avril 2002 Les Chouans Histoire des treize. 1, Ferragus Histoire des treize.

Les Chouans ou la Bretagne en 1799 (1829) - 2. Une passion dans le désert (1830) Scènes de la vie de campagne - 1. Les Paysans (1855) - 2. Le Médecin de campagne (1833) - 3. Le Curé de village (1841) - 4. Le Lys dans la vallée (1836) Études philosophiques - 1. La Peau de chagrin (1831) - 2. Jésus-Christ en Flandre (1831) - 3. Melmoth réconcilié (1835) - 4. Le Chef-d'oeuvre inconnu (1831) - 5. Gambara (1837) - 6. Massimilla Doni (1839) - 7. La Recherche de

laissais tomber sur cette fosse, Hélas ! où j'avais vu s'évanouir mes cieux, Tout mon coeur goutte à goutte en pleurs silencieux ; J'effeuillais de la sauge et de la clématite ; Je me la rappelais quand elle était petite, Quand elle m'apportait des lys et des jasmins, Ou quand elle prenait ma plume dans ses mains, Gaie, et riant d'avoir de l'encre à ses doigts roses ; Je respirais les fleurs sur cette cendre écloses, Je fixais mon regard sur ces froids gazons verts, Et par moments, ô Dieu, je

philosophiques » qui partent des effets pour remonter aux causes. Enfin, les « études analytiques » doivent remonter aux principes. Durant les années qui suivent, Balzac se livre à un intense travail de rédaction qui donne naissance notamment au Lys dans la vallée, à Béatrix, à Une fille d'Eve, aux Illusions perdues, au Le Curé du village... Il corrige aussi ses anciens manuscrits, renommant certains personnages pour créer des liens entre les romans. En 1840, Balzac trouve le nom de son œuvre : La

|1833 | |Le Père Goriot |1835 | |Le Colonel Chabert |1835 | |Le Lys Dans La Vallée |1836 | |La Rabouilleuse |1842 | |Ursule Mirouet |1842

et un ans, quelques mois seulement après avoir épousé Mme Hanska, une comtesse polonaise avec qui il entretint pendant seize ans une correspondance admirable. Œuvres : Les Chouans(1829), La peau de Chagrin(1831), Eugénie grandet (1833), le lys dans la vallée(1836)

un signe distinctif qui renforce son pouvoir de séduction et exprime pleinement la féminité : « Les femmes à taille plate sont dévouées, pleines de finesses, enclines à la mélancolie : elles sont mieux femmes que les autres. » (Balzac, Le Lys dans la vallée) Mais par dessus tout, la mélancolie est le signe distinctif de l'artiste : c'est déjà le spleen (cf. plus tard Baudelaire) sans cause précise, état morbide où l'on ne se supporte plus, où la solitude est un enfer, où la conscience du temps