Maasaï

Le Lion Joseph Kessel Nom : _____________ |Questions |Notations | |1. Quel était l'ancien métier de l'administrateur du parc John Bullit ? |1 | |

Le Lion de Joseph Kessel Résumé duLion de Joseph Kessel Au pied du Kilimandjaro , le narrateur séjourne dans une réserve naturelle du Kenya administrée par John Bullit. Le directeur de la réserve y vit avec Sybil, son épouse et Patricia leur fille de 10 Ans. Le narrateur est fasciné par les immenses paysages de l’Afrique orientale. Il se prend également de sympathie pour Patricia, la jeune fille, qui vit entourée des animaux de la réserve administrée par son père. Sybil, la mère de Patricia ,

Progress and Primitivism How the Non-Western people are represented in the Print-Media ? Heartbreak on the Seregenti, National Geographic, February 2006 I chose an article about the Maasai people living in northern Tanzania. This article, published in February 2006, recounts the story of this pastoral society and all the challenges they face, like how they survive with the wildlife, struggle with the government, try to give an education to their children and use tourism as a resource to help

identité sur un marché global. 2. géographie : export II) la marque Pikolinos 1. image 2. produit Conclusion Elargissement : essayer chaussures [pic] [pic] [pic] [pic] Pikolinos, a Spanish Shoe Company Works with Maasai Women in Kenya by Petz Scholtus, Barcelona, Spain [pic]on 06.10.10 Fashion & Beauty (footwear) • [pic] • [pic] • [pic] [pic] Years ago we wrote about the Spanish shoe company Pikolinos when they obtained the EU flower label

Analyse : Ce document nous montre un guerrier maasaï armé qui marche sur un sol sec et une terre aride puis en dessous le magazine pose une question qui est «  la guerre de l’eau aura-t-elle lieu ? Avec ce jeune guerrier cette terre sur laquelle il marche et la question du magazine ont peut faire le rapprochement avec l’inégal accès de l’eau. Faudrait t-il faire la guerre pour avoir de l’eau, tout comme nous montre ce magazine avec le maasaï armé en conquête d’eau pour sa terre et pour vivre

l’Afrique. Le peuple nomade parlant couchitique a commencé à arriver au Kenya en l’an 2000 avant J.C. Venant d’Ethiopie, ils se sont installés autour du lac turkana et plus tard se sont déplacés dans l’arrière-pays. Les Nilotes comprenant les tribus Maasai, Samburu, Luo et Turkana ont quitté le sud du Soudan et l’Ouganda et se sont installés sur les bords du lac Victoria. Les Bantous comprenant les tribus Kikuyu, Gusii, Akamba et Mijikenda sont venus du centre de la Tanzanie. Certains se sont installés

communauté dans un lieu et pour un temps donnés. -Phase de réintégration ou d'agrégation: retour dans la société non pas en tant que l'individu qu'il était mais en tant que le nouvel individu qu'il est devenu. Rite de passage à l'adolescence des jeunes Maasaï: -Circoncision vers l'âge de 12 ans. -Excision pour les jeunes filles. 2 fonctions à la mutilation corporelle: - Individuelle : contrôle et maîtrise lié aux changements de la vie. -Groupale : don à la communauté d'hommes et de femmes aptes à

communauté dans un lieu et pour un temps donnés. -Phase de réintégration ou d'agrégation: retour dans la société non pas en tant que l'individu qu'il était mais en tant que le nouvel individu qu'il est devenu. Rite de passage à l'adolescence des jeunes Maasaï: -Circoncision vers l'âge de 12 ans. -Excision pour les jeunes filles. 2 fonctions à la mutilation corporelle: - Individuelle : contrôle et maîtrise lié aux changements de la vie. -Groupale : don à la communauté d'hommes et de femmes aptes à

20% de la biomasse animale terrestre de la planète, avec plusieurs millions de milliards d'individus au total. 4. Les fourmis peuvent servir de points de suture. Pour faire des points de suture, des tribus indigènes d'Afrique Orientale, comme les Maasaï, utilisent les fourmis légionnaires du genre Dorylus pour fermer leurs plaies. En effet, cette espèce possède une caste de soldats qui ont la particularité de lâcher difficilement prise après une morsure. Les tribus les utilisent alors comme points

ces peuples dits indigènes ne sont pas reconnu au niveau national et ne font pas le sujet de lois écrites visant à les protéger. En témoigne Hodge (2009) qui rapporte les plaintes d'un activiste Masai en ces mots: 'Wild Life have more rights than Maasai' (p. 26). Cet effet coup de poing renvoie ainsi les dirigeants mais également les citoyens Africains face à eux-mêmes et à leur responsabilités. Car il s'agit là de dignité humaine; non pas que la nature ne devrait pas être protégée, mais qu'il reste