Macédoine

incompatible avec un grand nombre d’activités jugées pas suffisamment nobles. 4) Qui est Démosthène ? Démosthène, né en 384 av. J.-C., mort en 322 av. J.-C, est un homme d'État athénien.  Démosthène prône la résistance contre Philippe II de Macédoine. Ce dernier se rend coupable d’attentats envers les athéniens et d’autres grecs mais personne n’agit. Certes, beaucoup s’indignent en silence des agissements de Philippe II, mais nul n’intervient pour faire cesser ces outrages. Les Athéniens sont

siècle fut un siècle de guerre et de conquête. Il y eut de grands changements stratégiques et techniques. Ce fut un siècle qui connut l’hégémonie de différentes cités (Sparte et Thèbes) et qui connut l’hégémonie Macédonienne grâce à Philippe II de Macédoine et avec son successeur Alexandre le Grand, le IVe siècle connut les grandes conquêtes. Ces conquêtes et ces hégémonies ont été rendues possibles grâce à d’importants changements au sein de l’armée. Nos sources pour cette période sont littéraires

certaines régions de Thessalie. Cependant, à la demande de la ligue thessalienne et de Thèbes, Philippe II de Macédoine intervint. D'abord vainqueur dans un engagement partiel, il fut ensuite battu à deux reprises par Onomarcos en 353 ; mais en 352, à la bataille du Champ de Crocus (en Thessalie), il vainquit et tua Onomarcos. En 346, après la paix de Philocrate conclue entre Athènes et la Macédoine, la Phocide se trouva isolée et fut obligée de se rendre à Philippe, qui occupa son siège au Conseil de

D'après Démosthène, Philippe II de Macédoine est un danger pour Athènes. Il annonce que les citoyens athéniens se plaignent des attentas commis par Philippe. Ici, Démosthène veut faire réagir les athéniens car tout le monde se plaint mais personne n'agit directement envers lui. Ils attendent tous le moment où Philippe tombera. Pour Démosthène, il est plus facile de parler que d'agir. Le problème étant que si les citoyens n'agissent pas, Philippe de Macédoine continuera ces outrages qui pourrait

islamique et juive Adjectifs dérivés aristotélicien, aristotélicienne modifier Aristote (en grec ancien, Ἀριστοτέλης / Aristotélês), surnommé le Stagirite (Σταγειρίτης / Stageiritès), est un philosophe grec né en 384 av. J.-C. à Stagire, en Macédoine, et mort en 322 av. J.-C. à Chalcis, en Eubée. Disciple de Platon à l'Académie pendant plus de vingt ans, il prit ensuite une distance critique vis-à-vis des thèses de son maître et fonda sa propre école, le Lycée. Il fut également le précepteur

Séleucos (le royaume séleucide : Babylonie, grande partie de la Syrie et l’Anatolie, débouchés méditerranéens) ; Ptolémée garde la Syrie du Sud (conflits entre les enfants de Séleucos et Ptolémée, et Chypre ; Cassandre qui a participé à Ipsos, garde la Macédoine et la Grèce. Le fils d’Antigonos, Démétrios (= le preneur de ville en grec), a réussit à s’échapper de la bataille, il se réfugie dans les iles de la mer Egée, prépare son retour pour remettre l’Empire de son père, Séleucos l’en empêche, Démétrios

qui suscite à la fois l’intérêt du lecteur et le prépare au début du récit. Le début du récit est annoncé tout à la fin de la troisième laisse. Pour résumé le passage à commenter : le romancier évoque le père d’Alexandre : le roi Philippe II de Macédoine, puis sa mère Olympias et enfin l’enchanteur Nectanebo. Il nous informe donc de la filiation d’Alexandre, de son rang social, de ses richesses, mais surtout, ce passage nous plonge directement dans le mythe même d’Alexandre, en lien avec le divin

à une maîtrise durable de la mer Egée De plus, à partir de la fin du siècle, la cité d’Athènes commence à être dépassée par la puissance de Macédoine avec à sa tête Philippe II. Celui-ci va progressivement récupérer des territoires d’Athènes. La bataille de Chéronée en 338 av. J.C. aboutit à l’échec d’Athènes, qui va se soumettre à Philippe II de Macédoine, puis à Alexandre le Grand qui le succède. Bibliographie : Instruments de travail HOWATSON (M.), CARLIER (J.), LABARIERE (J.L)

Alexandre III le Grand. Alexandre III le Grand est né à Pella, le 21 Juillet 356 av. J.-C., de l’union de Philippe II de Macédoine et d’Olympias d’Epire. Doté d’une ascendance à la fois humaine et légendaire, Alexandre III serait vraisemblablement le descendant de Théménos d’Argos donc d’Hercule (de par son père) ainsi que d’Achille (de par sa mère). Sacré roi à l’age de 20 ans, Alexandre annonce dès le départ sa réelle ambition de poursuivre l’œuvre de son père. Suite aux soulèvements de Thèbes

siècle, le premier classicisme --| Chapitre II : la démocratie à l'épreuve du temps au 4e siècle, le second classicisme • Titre III : les monarchies du monde hellénistique : 4e-1er siècle avant J.C. --| Chapitre I : le royaume de Philippe II de Macédoine et l'empire d'Alexandre le Grand --| Chapitre II : les royaumes hellénistiques • DEUXIÈME PARTIE : L'ITALIE • Titre I : la royauté ou Regnum - 7e-6e siècle avant J.C. --| Chapitre I : les royautés latine et sabine (753-616) : viagères, fédérales