Madame Bovary Iii 8

républicain, illusion lyrique, combats de rue et journaux révolutionnaires. Napoléon III, espoirs déçus -> dégoût de la politique. Marie Daubrun (compagne), se passionne pour Edgar Allan Poe -> frère spirituel -> traduit ses contes Années fécondes : décennie la plus productive : Les fleurs du Mal 1857, Les paradis artificiels 1860, études critiques sur la peinture, la musique puis poèmes en prose. Autodidacte, cultivé Madame Sabatier après une rupture avec Marie Daubrun -> poèmes d’amour des Fleurs du

- Levez-vous, dit le professeur. Il se leva : sa casquette tomba. Toute la classe se mit à rire. Il se baissa pour la reprendre. Un voisin la fit tomber d'un coup de coude ; il la ramassa encore une fois. Gustave Flaubert, « Madame Bovary, I » Questions de compréhension 1. Donnez un titre à cet extrait et justifiez-le. 2. Comment le « nouveau » apparaît-il ? Reproduisez dans ce tableau les éléments qui caractérisent son attitude, son physique et ses vêtements. Attitude Physique

sentimentale : La rencontre avec Madame Arnoux L'auteur : Gustave Flaubert est un écrivain français né à Rouen le 12 décembre 1821 et mort à Croisset, lieu-dit de la commune de Canteleu, le 8 mai 1880. Gustave Flaubert a marqué la littérature française par la profondeur de ses analyses psychologiques, son souci de réalisme, son regard lucide sur les comportements des individus et de la société, et par la force de son style dans de grands romans comme Madame Bovary (1857), Salammbô (1862), L'Éducation

MADAME DE LAFAYETTE • XIIème Siècle • elle a fait le premier roman historique français et le premier roman modern français • janséniste • proche de Racine et Henriette d’Angleterre • mariée avec le comte de Lafayette  2 fils • elle vit à la cour, elle est dame d’honneur de la reine d’Autriche • elle a fréquenté ménage ( homme de grammaire) • elle a écrit : la comtesse de tende, mémoire à la cour de France , la princesse de Clève. La princesse de Clève : • roman classique , avec une

Flaubert naquit en 1821 à Rouen (ville qu’il détestait) et est décédée en 1880. Il est le fils d’un chirurgien Rouennais. Il doit à la fortune de son père de pouvoir consacrer son temps à l’écriture dans sa propriété de Croisset. Son premier roman Madame Bovary (1857) est condamné par l’immortalité. Un voyage en Tunisie lui inspire Salammbô (1862), roman de l’Antiquité, tandis que L’éducation Sentimentale (1869) retrace les échecs de sa génération. Il écrit encore La tentation de Saint-Antoine (1874)

de la route. 5. Le roman realiste ne cache donc pas les laideurs du monde. III- Les principes du realisme : Les principes du realisme sont : • Choix du sujet banale de la vie quotidienne • Soucis d’exactitude • Documentation approfondie • Peindre la societe de son temps • Objectivite IV- Gustave Flaubert : Gustave Flaubert est ne le 12 decembre 1821 a Rouen , et mourru le 8 mai 1880 a Canteleau. Dispense du travail militaire, grace au tirage de sort, Gustave

l’un des écrivains majeurs du XIXème siècle, au même titre que ses  camarades Zola et Flaubert. Auteur de contes, de romans et de nouvelles, son écriture le situe dans le mouvement réaliste et naturaliste.  II- Etude de l’image de couverture. III- Résumé du livre : 1- Les personnages : Jeanne Le Perthuis des Vauds est le personnage principal de ce livre , elle est décrite comme étant une grande jeune fille, blonde aux yeux bleus, aux formes épanouies. Le personnage de Jeanne domine le

scènes 7 et 8 : Silvia, Lisette, puis Silvia. depuis "Lisette : Son valet, qui fait l'important, ne vous aurait-il point gâté l'esprit sur son compte ?"jusqu'à la fin de la scène 8 Acte III, scène 8 : Dorante, Silvia, depuis "Silvia : Que vous importent mes sentiments ? [...]" jusqu'à "Dorante :[...] Mon cœur et ma main t'appartiennent." Travaux complémentaires : Théâtre et conflit . - Marivaux , L’Ïle des esclaves ,ActeI ,scène1. -Beaumarchais, Le Mariage de Figaro, Acte III, scène 16, 1784

d'aujourd'hui avec la lecture et le verbe «lire». Mot très difficile à faire prononcer aux personnes scolarisées à la première personne du singulier. On retrouve cette analyse du lecteur dans le chapitre I « Naissance de l'alchimiste ». Dans le chapitre III « Donner à lire », l'auteur met en scène une classe de première et un professeur de français peu commun dans sa façon d'enseigner, cette histoire image son parcours pédagogique. Daniel Pennac aborde un nombre assez important de facettes d'action

PINÇON-CHARLOT "Sociologie de la bourgeoisie" (1991) […] L’air du bal était lourd ; les lampes pâlissaient. On refluait dans la salle de billard. Un domestique monta sur une chaise et cassa deux vitres ; au bruit des éclats de verre, Mme Bovary tourna la tête et aperçut dans le jardin, contre les carreaux, des faces de paysans qui regardaient. Alors le souvenir des Bertaux lui arriva. Elle revit la ferme, la mare bourbeuse, son père en blouse sous les pommiers, et elle se revit elle-même