Madame Bovary Noce Normande

lui dévaste tout (vernielen) M'chasse de son toit, oui mais d'son toit moi j'm'en fous J'ai rendez-vous avec vous La demeure que je préfère (le logement) C'est votre robe à froufrous (geritsel) Tout le restant m'indiffère J'ai rendez-vous avec vous. Madame ma gargotière2 (gaarkok, slechte Comme je lui dois trop de sous kok) M'chasse de sa table, oui mais d'sa table moi j'm'en fous J'ai rendez-vous avec vous Le menu que je préfère C'est la chair de votre cou (hals) Tout le restant m'indiffère J'ai rendez-vous

ans, avec le projet d’entrer au séminaire ; il n’est donc pas libéral, et il est latiniste. Cet arrangement convient de plus d’une façon, continua M. de Rênal, en regardant sa femme d’un air diplomatique ; le Valenod est tout fier des deux beaux normands qu’il vient d’acheter pour sa calèche. Mais il n’a pas de précepteur pour ses enfants. – Il pourrait bien nous enlever celui-ci. – Tu approuves donc mon projet ? dit M. de Rênal, remerciant sa femme, par un sourire, de l’excellente idée qu’elle venait

suif, which appeared with Zola's * Dedication to Des Vers. viii Guy de Maupassant Attaque du Moulin and other episodes of the war by different hands in a volume styled Les Soirdes de Medan, was at once hailed by the author of Madame Bovary as a veritable master-piece, in a verdict which nobody has wished to dispute. Eight years later, in his well-known preface to Pierre et Jean, Maupassant expounded his opin- ions on the writing of stories. It is a somewhat ragged piece

les rapports entre la langue française et ceux qui en usent comme des « amours métisses »? Amour, qui ne le sait, fait partie de ces mots facétieux qui changent de genre en devenant pluriels. Associé à ses compères, délice et orgue, il évoque quelque noce charmante et musicale, entre nous et notre parler. Amours métisses, disais-je. Il s'agira ici d'affirmer que notre relation à cette langue est amoureuse. Non d'un amour unique et intangible, mais d'amours changeantes et traversées d'intermittences

en plus nombre d’écrivains francophones. Il faut noter qu’en France même, à l’origine, il n’y avait pas un français, mais des français, c’est-à-dire plusieurs variétés locales : outre le parisien (langue du roi), on peut citer le bourguignon, le normand, le picard, etc. Si le jacobinisme linguistique a voulu en faire langue unificatrice, aux dépens des langues régionales, il faut reconnaître qu’aujourd’hui encore il est loin d’être une langue unifiée, en dépit d’une politique linguistique coercitive

critique de B[leuler] est savoureuse et méritée. Vos excuses font penser au "en attendant toujours quelque chose qui ne venait point" de Zola. En conséquence de quoi, le narciss[isme] est au repos. Cordiales salutations, également à l’attention de Madame G. Votre Freud65. » La citation provient de Germinal66. Elle évoque une scène où des enfants essayent d’avoir des relations sexuelles, mais leur constitution physique ne leur permet pas de jouir. Freud fait référence à cette phrase sans doute pour