Madame Bovary Partie 3 Chapitre 11

littéraire". a- Les tendances du roman. romans "légers" des années 20 romans "sérieux" des années 30 b- Les auteurs. les différents types de romans une production extrêmement abondante 3- Les tendances rénovatrices. a- Les questions posées par la "crise du roman" du début du siècle. b- Les apports de l'étranger (Joyce, Musil, James, Kafka, etc.). II- Voyage au bout de la nuit : une œuvre qui répond à l'attente du public

auraient servi à libérer le pays en lui offrant une grande fresque historico-allégorique de son passé, de son présent et de son avenir. Pour sa part, Gilles Marcotte a trouvé que tous ces noms plongent souvent l'oeuvre dans «l'hermétisme du particulier[3]». Selon Jean Marcel, l'intérêt pour la recherche des sources s'épuise rapidement et mène à une connaissance «sans doute utile, mais toujours un peu futile[4]» lorsque l'histoire-événement est privilégiée au détriment de l'histoire-narration. Enfin

........5 Chapitre 1 ................................................................................ 11 Chapitre 2 ................................................................................16 Chapitre 3 ............................................................................... 22 Chapitre 4 ............................................................................... 28 Chapitre 5 ............................................................................... 32 Chapitre 6 ........

........5 Chapitre 1 ................................................................................ 11 Chapitre 2 ................................................................................16 Chapitre 3 ............................................................................... 22 Chapitre 4 ............................................................................... 28 Chapitre 5 ............................................................................... 32 Chapitre 6 ........

préparée par Samar ROUHANA Sous la direction de Madame le Professeur Nicole SALIBA-CHALHOUB Kaslik-Liban 2008 REMERCIEMENTS Je remercie en premier lieu Madame Nicole SALIBA-CHALHOUB qui a supervisé mon travail. Sa direction minutieuse et exigeante, sa patience et sa bienveillance, ses encouragements et ses conseils m’ont permis de mener à bien ma thèse. Je voudrais par ailleurs exprimer toute ma gratitude envers le Père Naoum ATTALAH et Madame Edmée CRIVELLI pour leur précieuse aide et l’attention

à force d’aller noyer sa solitude aux putes. Que nos trois exemples nous viennent d’Allemagne, pays réputé pour ses philosophes plutôt que pour ses séducteurs, ajoute encore me semble-t-il à l’argumentation. 1 Sorte de sida du xixe siècle. 11 L’étude comme moyen de se protéger de la femme (approche théorique) Triomphe de la sensibilité sur l’entendement, le désir est l’ennemi du penseur ; penseur qui le redoute comme il redoute la femme, incarnation de son désir. Sauf pour les pédés

titres des parties, voire des sous-parties, qui sont destinés à être gommés, ne valent qu’à titre indicatif : ils ont ce caractère abrupt et définitif qui ferait croire, à tort, qu’une pensée sort tout droit d’un cadre pré-établi, telle Minerve sortie casquée du cerveau de Zeus. Cet artifice est inhérent au genre même du corrigé. Il est donc un seul moyen de redonner un peu de chair à ces maigres squelettes décharnés : c’est de retourner au plus vite aux textes. 2 PREMIÈRE PARTIE COMMENTAIRES

5 Chapitre 1 11 Chapitre 2 16 Chapitre 3 22 Chapitre 4 28 Chapitre 5 32 Chapitre 6 39 Chapitre 7 44 Chapitre 8 53 Chapitre 9 58 Chapitre 10 67 Chapitre 11 71 Chapitre 12 83 Chapitre 13 90 Chapitre 14 97 Chapitre 15 100 Chapitre 16 102 Chapitre 17 110 Chapitre 18 118 Chapitre 19 123 Chapitre 20 133 Chapitre 21 138 Chapitre 22 151 Chapitre 23 158 Chapitre 24 161 Chapitre 25 169

conscience et les idées, et non l’inverse. Pour Marx et Engels, c’est là la seule conception qui correspond à la vie réelle, et à partir d’elle on obtient une histoire qui n’est ni abstraite ni fictive mais bien ancrée dans un fondement matériel. De même, le savoir que l’on tire de cette conception est un savoir réel qui supplante les phraséologies idéelles précédentes. À partir de cette façon de penser matérialiste, Marx et Engels s’attaquent à la prétendue libération dont leurs prédécesseurs se sont

siècle : « Faire des erreurs est également humain en ce sens que les animaux font peu d'erreurs ou pas du tout, si ce n'est peut-être les plus intel11 ligents d'entre eux '. » L'erreur est donc à la fois inévitable et pardonnable. Mais, seconde partie du proverbe, il faut bien que le diable se mêle de la reproduction indéfinie de l'erreur. Et ce diable, souvent, est le « démon du bien ». Ce qui frappe en effet, dans l'histoire des erreurs économiques - on le verra, exemples à l'appui -, c'est