Madame Bovary Scène Du Bal

questions p.49 no.1-7 Le vocabulaire du héros de roman au XIXe siècle p.55 no.1-7 Écriture : Rédiger la suite du texte en adoptant un point de vue p.47 no.8 Rédiger un dialogue p.49 no.8 Adopter le point de vue d’un personnage p.57 no.2 Décrire une scène ( grammaire ) p.303 no.11 Oralement : Lecture de l’image p.47 no.9 Étude de la langue : Les verbes pronominaux p.302-303 no.1-10 Les subordonnées circonstancielles de cause, de conséquence, de but p.293 no.1-7 Littérature : Premier Amour de Tourgueniev

INTRODUCTION Knock ou le Triomphe de la médecine est une pièce en trois actes et en prose élaborée par Jules Romains (1855-1972). Le véritable nom de l’auteur est Louis Farigoule, mais il choisit d’écrire sous un pseudonyme. La pièce est mise en scène pour la première fois à la Comédie des Champs-Élysées le 15 décembre 1923, par Louis Jouvet en particulier, à qui la pièce est d’ailleurs dédiée. L’ouvrage paraît en volume chez Gallimard en 1924. Avec cette pièce, Romains s’inscrit dans la tradition

L’héroïne éponyme du roman de Flaubert, Madame Bovary, est un double féminin de Don Quichotte. Les lectures cachées au couvent, puis celles des romans d’Eugène Sue, lui servent à forger des modèles de vie et à construire une image idéalisée des relations amoureuses que la réalité ne cesse de démentir. Emma voudrait comme dans les romans rencontrer le prince charmant, mais il n’existe pas dans la réalité. Comme l’entourage de Don quichotte, la belle-mère d’Emma Bovary s’inquiète de son comportement et propose

jeunesse intitulée Mémoires d'un fou en 18382. Le roman définitif est rédigé à partir de septembre 1864 et achevé le 16 mai 1869 au matin. Présentation L'Éducation Sentimentale comporte de nombreux éléments autobiographiques, tels la rencontre de Madame Arnoux, inspirée de la rencontre de Flaubert avec Élisa Schlésinger, l'amour de sa vie2. Il a pour personnage principal Frédéric Moreau, jeune provincial de dix-huit ans venant faire ses études à Paris. De 1840 à 1867, celui-ci connaîtra l’amitié

montre distant et cesse de se rendre à son domicile pendant une semaine. Face à ce soudain revirement, la duchesse découvre l’ampleur insoupçonnée de son amour pour Montriveau et mesure ce qu’elle perd. Alors que les deux amants se retrouvent à un bal, le marquis fait preuve d’une froideur extrême : en racontant l’anecdote d’une décapitation, il menace la jeune femme et lui prédit qu’un malheur s’abattra sur elle dans la soirée. La duchesse de Langeais dissimule son effroi. Mais, en rentrant chez

(tome 1)  « Elle passa tout le jour des fiançailles […] ne put admirer que Mme de Clèves. » (tome 1)  « La reine dauphine […] la première jeunesse. » (tome 2)  « Elle avait ignoré jusqu’alors […] la fausse lettre du vidame. » (tome 3)  « Ah ! Madame […] pour ne vous pas rebuter. » (tome 4) X X X X X X Activités  Travail personnel : Biographie de Mme de La Fayette  La princesse de Clèves - Le contexte historique et politique

des verbes au présent. Certains mots sont mis à la rime (fin du vers) pour être remarqués Les assonances (répétition d’un même son produit par des voyelles) en « en » et des allitérations (répétition d’un même son produit par des consonnes Une scène romanesque A- Un décor hostile à la rencontre : la rue - allitération en [r], personnification de la rue. - encadrement du poète : chiasme sonore - B- Une rencontre tel un coup de foudre

présente comme un amant prêt à tout, on note l'emploi de formules hyperbolique comme « j'étais prêt tout entreprendre » ligne 43 avec l'adverbe de totalité « tout » et le verbe « entreprendre » qui est un verbe d'action. Transition : Dans cette scène on retrouve des éléments propres à la rencontre amoureuse : le hasard, et le coup de foudre qui métamorphose les personnages. Cependant cet extrait donne aussi à réfléchir à la passion révélant l'aspect moral du roman. Une vision ambivalente

première strophe, le lecteur est en présence du portrait de la femme, le vers 1 commence par le pronom « elle» appuyé par l’anaphore. Le poète répond au vers 3, par le pronom «moi» et le pronom «je» positionné après la césure. Le lecteur voit donc la scène par les yeux du lecteur. Cette description de la femme se fait par un parallélisme de construction : sujet/verbe/attribut avec pour attributs « déchaussée » et « décoiffée » dont la structure lexicale est identique avec pour préfixe « dé » signifiant

épistoliers s’expriment tour à tour (• L’épistolaire, pp. 332 à 358). Les romans prennent des orientations diverses selon leur thème : - Certains romans privilégient l’étude des personnages. Le roman d’analyse comme La Princesse de Clèves, de Madame de Lafayette, s’intéresse à la psychologie des personnages. Le roman d’apprentissage du XIXe siècle suit l’évolution sentimentale, intellectuelle et sociale du héros (Stendhal, Le Rouge et le Noir, 1830). Le roman peut aussi étudier la société