Madame De Lafayette La Princesse De Clèves Extrait

: La Bible, extrait de « La Genèse » ; article : L’eau les mythes et le sacré (article internet : Alexandra Monot URL pour citer cet article: http://www.cafe-geo.net/article.php3?id_article=70 3. Documents complémentaires : Michel-Ange, « La séparation de la terre des eaux » fresque du plafond de la chapelle Sixtine, (1508-1512) Vatican Lectures cursives : 1. P. Verlaine, Romances sans paroles. 2. GT : Ronsard, « La Fontaine Bellerie », Odes, Livre II, 1550 / Lamartine, extrait du « Lac »,

Commentaire composé. « La princesse de Clèves. » La beauté de l’âme l’emporte sur la beauté physique. Cette citation de George Sand résume tout à fait La Princesse de Clèves écrit au 17ème Siècle par Madame de la Fayette. A ce moment de l’œuvre, la cour découvre Mademoiselle de Chartres qui a la chance d’allier beauté physique et beauté de l’âme. Comment le narrateur fait de Mademoiselle de Chartres un personnage exemplaire ? Cet extrait présente un portrait physique et un portrait moral.

Synthèse de la lecture analytique de l’extrait de La Princesse de Clèves de Mme de Lafayette. La scène de l’aveu au prince de Clèves. Eléments d’introduction : - Rappeler qui est Mme de Lafayette (femme noble du XVIIème ayant reçu une éducation littéraire soignée, c’est une mondaine raffinée. Elle appartient au courant précieux, sans être hautaine ni pédante (comme les précieuses que Molière critique dans Les précieuses ridicules). [Revoyez les éléments de cours sur la préciosité : ils vous

SEQUENCE 1 Texte 1 Extrait du tome I de La Princesse de Clèves, de Mme de Lafayette (1678). - édition Bibliolycée p. 67-68 - "Il faut nous quitter, ma fille, lui dit-elle, en lui tendant la main ; le péril où je vous laisse et le besoin que vous avez de moi

d’une âme» Texte 5 : « l’aveu», princesse de Clèves, Madame de Lafayette Sous le règne de Louis XIV, se développe un mouvement littéraire autour de la figure autour de la figure de Madame de Rambouillet que fréquente Madame de Bovary. Cette dernière, née en 1634 et morte en 1693, écrit La Princesse de Clèves en 1678, un roman anonyme et dont la paternité ne sera proclamée

La princesse de Clèves, analyse 3, Scène du pavillonExtrait de la 4ème partieP177/178(ligne 290à322)“Les palissades étaient…” à “...nul autre amant”Mme de La Fayette est un auteur du XVIIème siècle. Elle est principalement connue pour ses nouvelles historiques : la Princesse de Montpensier et la Princesse de Clèves. Ces œuvres donnent naissance véritablement à ce que nous appelons roman, l’analyse psychologique des personnages étant tout à fait moderne. Dans La Princesse

Dissertation Madame de La Fayette La princesse de Clèves Sujet : « Aucun secret, aucun retrait, aucun détour ; nulle ressource ; tout est mis en lumière, en valeur et rien à attendre de plus ; sans doute c’est le comble de l’art, un nec plus ultra sans issue » Vous discuterez ces propos d’André Gide sur la Princesse de Clèves (NRF, 1913, Les dix romans français que … Incidences, p151-158) ********************* La Princesse de Clèves est considéré comme l’un des premiers romans

Texte 13 : « La mort de Mme de Chartres » Extrait du Tome I de La Princesse de Clèves de Madame Lafayette Présentation de l’auteur et de l’œuvre : Femme de lettres du XVIIème siècle, Mme de La Fayette s’inspire du style précieux mais est considérée comme une auteure classique. Elle devient célèbre avec son roman L a Princesse de Clèves publié en 1678. Cette œuvre est considérée

Paru sous l’anonymat en 1678, La Princesse de Cleves est un roman qui se déroule dans la cour de Henri II. Écrit par Madame de Lafayette, cet ouvrage est considéré comme un des chefs d’oeuvre du roman classique mêlant histoire et psychologie. Le portrait du duc de Nemours est dépeint d’une façon très particulière dans l’extrait étudié, c’est pourquoi nous nous demanderons quels sont les moyens qu’utilise l’auteur afin de mettre en avant les qualités du personnage. Dans un premier temps nous verrons

allant des heures qui suivent la joyeuse réécriture de la 5 Cité par M-J. Durry, p. 87. 67 Revue d’Études Françaises ¾ No 6 (2001) lettre du vidame de Chartres en compagnie de M. de Nemours jusqu’aux moments où, après l’accident de celui-ci, la princesse « lui avait donné des marques de sensibilité que la seule compassion pouvait avoir fait naître ». Par la superposition de ces plans temporels, le centre de gravité du discours se déplace graduellement de plus en plus vers le bas pour devenir une