Magnétostatique

écoulement incompressible dont le vecteur tourbillon est donné en coordonnées cylindriques par : Mécanique des fluides 43 Pour r < a : W0uz Pour r > a : 0 (où a et W0 sont des constantes.) a) En exploitant l'analogie formelle avec un problème de magnétostatique à préciser, écrire l'expression intégrale du champ des vitesses v(M). En exploitant les symétries du problème, montrer sans calcul que le champ des vitesses est de la forme v(M) = va(r) ua. b) Ecrire l'analogue du théorème d'Ampère pour v et

76 4.2.4 Conclusion 78 4.3 MODÉLISATION NUMÉRIQUE EN 3 DIMENSIONS 78 4.3.1 Géométrie 78 4.3.2 Conditionnement du problème numérique 79 4.3.3 Matériaux et Bobinage 80 4.3.4 Maillage par éléments finis 82 4.3.5 Etude du problème en Magnétostatique 83 4.3.6 Etude du problème en Magnétotransitoire 85 4.3.7 Conclusion 89 4.4 OPTIMISATIONS D’UNE GÉOMÉTRIE EN 3 DIMENSIONS 89 4.4.1 Présentation 89 4.4.2 Débroussaillage 90 4.4.3 Optimisations 92 4.4.4 Analyse de sensibilité ou de

Earnshaw. Il démontre qu’une particule polarisée plongée dans un champ électrostatique ne peut pas trouver une position d’équilibre stable. Il peut être étendu au cas des corps à « aimantation rigide » (les aimants permanents) plongés dans un champ magnétostatique. Pour les corps à aimantation non rigide, cela est plus délicat car il faut séparer ceux ayant une susceptibilité magnétique positive (ie ) des autres. Dans le premier cas, le corps considéré ne peut pas trouver une position d’équilibre stable

série d'une inductance idéale L et d'une résistance r. L r i u di u = L⋅ dt (I-16) avec : u = L ⋅ di + r ⋅i dt (I-22) Cette relation vient de l'expression du flux du champ magnétique et de la loi de Faraday qui seront vues en magnétostatique : II.4. Source de tension II.4.a. Symbole et équation caractéristique Une source idéale de tension est un dipôle tel que : Page 3 Φ = L ⋅i et u= dΦ di = L⋅ dt dt (I-17) Pascal LOOS Chapitre 1 : Les bases de l'électrocinétique

O 2' x Figure 3 (L) + (L' ) (L1 ) α (L2 ) x' O O1' oculaire O 2' x objectif Figure 4 6/11 Partie B : ÉLECTROMAGNÉTISME Le problème d’électromagnétisme comprend deux parties indépendantes : une partie « magnétostatique » avec détermination du champ magnétique B et du potentiel vecteur A créés par des courants, suivie d’une partie « phénomènes d’induction » étudiée dans l’approximation du régime quasi stationnaire. Représentation des grandeurs scalaires : a,

[pic] Essieux et roues Décalge des roues Dans la presse, le décalage se fait sous une pression de 48 bars. Les axes-essieux sont ensuite déplacés dans une chambre spéciale ou on applique un champ magnétostatique de haute intensité pour pouvoir détecter les fissures superficielles à l’aide d’un détecteur ultraviolet. Les axes-essieux passent après un test sous un ultrason afin de détecter les fissures internes. Finalement on les conduit à un tour horizontale

résolution.  Fonctions de plusieurs variables - Notions de fonctions numériques de plusieurs variables (On se limite à 2 ou 3 variables) - Dérivées partielles - Calcul des intégrales doubles et triples. Exemples et applications Electrostatique-Magnétostatique Volume Horaire : 45 heures : 22,5h Cours + 22,5h TD Descriptif : 1. Electrostatique a) Champ et potentiel électrostatiques - Distributions et densités de charges. - Potentiel électrostatique, théorème de superposition. 11 - Flux du champ

potentielle élastique) qui forme avec l'énergie cinétique ce qu'on appelle l'énergie mécanique ; énergie potentielle chimique ; Énergie potentielle gravitationnelle ; Énergie potentielle électromagnétique (énergie potentielle électrostatique ou magnétostatique): position instable d'une ou plusieurs particule(s) chargée(s) dans un champ électromagnétique, par exemple l'énergie stockée dans un condensateur ou dans une bobine électrique ; Chaleur latente ; Énergie libre. Dans la théorie de la relativité

que la circulation du champ magn´etique le long de la courbe ferm´ee est ´egale au flux de la densit´e de courant `a travers 1 → − C’est une cons´equence de la nullit´e de la divergence du champ, ce qui s’´ecrit div B = 0. ´ 8.1. MAGNETOSTATIQUE 53 i − → H Fig. 8.1 – Champ H enroulant un courant i la surface. → − − → H . dl = C → − − → j .dS (8.1) S Le o ajout´e `a l’int´egrale est l`a pour rappeler qu’il s’agit d’int´egrer sur un contour ferm´e2

un point quelconque de l'espace : [pic] Le champ électrique est l'ensemble des vecteurs E, définis de cette manière pour tout point de l'espace. Si la distribution des charges est statique, ce champ est indépendant du temps. Le champ magnétostatique. En 1820, les physiciens Biot et Savart étudièrent quantitativement les champs magnétiques produits par un courant. Ils ont alors montré que les lignes de champ magnétique à proximité d'un conducteur rectiligne sont des cercles centrés sur