Maintenant et pour toujours

«  La Fourmi et la cigale » (parodie de Françoise Sagan). Les rôles étant inversés c’est maintenant la fourmi qui se trouve en difficulté après avoir trop stocké de nourriture durant l’hiver : «  se trouva fort encombrée quand le soleil fut venu » (parodie de Françoise Sagan) et c’est la cigale qui refuse maintenant de venir en aide à la fourmi «  vous stockiez ? J’en suis fort aise : eh bien ! Soldez maintenant. » (parodie de Françoise Sagan). Ainsi le rapport des forces est inversé : le fort devient

la rivière de la vie coule éternellement vers l'infini. Cent fois dix j'ai parcouru la voie obscure qui même à la lumière et autant de fois j'ai traversé l'obscurité pour régénérer mon pouvoir et ma force grâce à mon ascension dans la lumière. Et maintenant, me voici à nouveau avec vous, pour un temps, jusqu'au moment où le peuple de KEM (nom ancien de l'Egypte) ne me reconnaîtra plus. Mais il reviendra le temps où je surgirai à nouveau, fort et redoutable, pour demander des comptes à ceux qui sont

admets que ce n'est pas crédible. Tu ne vois pas qu'elle regarde toujours ses pieds quand elle marche? Qu'elle a toujours l'air seule, même si elle est entourée de tous ses amis? Et sur les photos.. Est-ce que tu as vu ce qu'il y a dans ses yeux? Non, parce qu'il n'y arien, il n'y a plus rien. Tu te souviens, avec toi, comme ils brillaient? Et ce sourire que tu aimais tant, toujours scotché sur son visage! C'est fou comme maintenant elle parait sans vie. Oh, et puis ces coups d'oeil qu'elle te lance

appliquées et regardé attentivement cette sorte de miroir intellectuel de moi-même, il m’a fallu sourire. Était-ce vraiment là ma vie ? Se développait-elle réellement en des spirales marquant une si heureuse progression depuis la première heure jusqu’à maintenant, ainsi que, documents imprimés à l’appui, le biographe la dessinait ? J’éprouvais exactement la même impression que lorsque pour la première fois j’avais entendu ma propre voix parler dans un gramophone : d’abord je ne la re- connus pas du tout

La silhouette Elie Saab pour l’ hiver 2014 s’inscrit dans le style habituel du créateur libanais. Toujours aussi sensuelle et élégante, teintée d’un air seventies, elle nous est maintenant familière. Elle est façonnée dans des matières précieuses, de la fourrure opulente et diaprée, des paillettes rebrodées sur des robes au décolleté vertigineux dans le dos, des mousselines de soie qui s’envolent au moindre souffle d’air. Elle est caractérisée par des fentes qui entaillent les corsages et les robes

que tu utilises généralement. - Bah euh, je prend le bus et le train de temps en temps, mais euh maintenant que j’ai le permis, je prend la voiture c’est plus pratique pour moi. Enfin euh, ça dépend de ce que je vais faire, et puis où est ce que je vais surtout. - Ok, donc si je comprend bien, tu utilises plus ta voiture que les transports en commun quand tu sors ? - Maintenant oui, mais avant j’avais pas le choix aussi donc je prenais les transports en commun. - Mais euh

joyeuse pour terminer la longue nuit de leur captivité. Mais, un siècle plus tard, le Noir n'est toujours pas libre; un siècle plus tard la vie du Noir est toujours tristement handicapée par les menottes de la ségrégation et les chaînes de la discrimination; un siècle plus tard, le Noir vit isolé sur une île d'indigence au milieu d'un vaste océan de prospérité; un siècle plus tard, le Noir languit toujours dans les coins de la société américaine et il se trouve en exilé dans sa propre terre. Nous sommes

courir, courir dans le vent jusqu'à ce qu'on tombe par terre et boire quand on a chaud et se baigner quand il est trop tôt ou trop tard, mais pas juste quand on a envie! *Comprendre. Toujours comprendre. Moi je ne veux pas comprendre. Je comprendrai quand je serai vieille. Si je deviens vieille. Pas maintenant. *Antigone, d'Anouilh *Peut être rogoleras tu ... peut être pas ... *mais voilà, ce qui traduit ce que j'aurais eu envie de formuler ... *mais à quoi bon réécrire ce qu'il l'est

pour dire pas de chance, et selon leurs ordres, le garçon était parti sur un autre bateau, lequel avait pris trois gros poissons la première semaine. Cela le rendait triste, le garçon, de voir le vieil homme revenir chaque soir le canot vide, et toujours il le rejoignait pour l’aider à porter les lignes enroulées, la gaffe, le harpon et la voile ferlée autour du mât. Une voile rapiécée avec des sacs de farine qui pendait ainsi comme le drapeau d’une permanente défaite. Le vieil homme était maigre

le corps, l’âme et l’esprit sont en bonne disposition cela vous aide à maitriser les différents notions tout deviens agréable tout est si calme tout deviens légère à mémoriser Remerciements : A ma mère Izora Duré qui était toujours la pour me soutenir, Wolsfy Célestin ma sœur. Mon Père Antonius Célestin, M Rony Jean Louis. Dédicace à mes amis Louis Naiguerre, Louissaint Benny Exode, David Lazare, Mesilien Joseph, les élèves du collège méthodiste aux membres l’église