Maîtresse

observerons en quoi ce poème est représentatif du mouvement du lyrisme. Dans sa première partie, ce poème sonne comme une prière profane, impie et païenne car il exalte les plaisirs charnels plutôt que spirituels ou religieux. Ronsard s’adresse à sa maîtresse, il la supplie de l’écouter, l’exhorte à se laisser aller pour se donner à lui sans retenue, comme un croyant se dévouerait à Dieu. Deux thèmes, le « temple » et le « lit », s’opposent alors. Si Ronsard reconnaît que le « temple », autrement dit

leur condition sociale et perdent leur identité propre, sombrant dans le tragique. 
b)présentation du texte : deux domestiques, Claire et Solange qui sont également sœurs jouent une pièce de théâtre dans le théâtre : Claire joue le rôle de leur maîtresse, tandis que Solange est Claire. 
c)Problématique : Comment la mise en scène des deux sœurs met-elle en valeur le rôle de dominé/dominant qui existe entre la patronne et son employé ? Quels sentiments ressortent alors de ce jeu théâtral ? 
d)Plan

A toi de corriger ! En classe Mlle Lafleur, notre maîtresse, entra dans la classe et nous dit: - Sorter vos cahiers de brouillon, nous allons faire des opérations. Elle regarda Bruno et ajouta : -Vas au tableau. Prend une craie et fait cette multiplication. Elle s’aperçut rapidement qu’il ne connaissait pas ses tables et lui conseilla : -Apprend tes leçons si tu veux réussir. Mais Bruno avait beaucoup de mal à apprendre ses leçons car chez lui, personne n’avait le temps de l’aider

Film: Le Petit Nicolas- Questionnaire 1. Quel est le sujet de rédaction que la maîtresse a écrit au tableau? 2. Qu’est-ce qu’ Alceste veut faire plus tard et pourquoi? 3. Qu’est-ce que Geoffroy veut faire plus tard? 4. Pourquoi ne voit-on pas le visage de son père? 5. Qu’est-ce que Geoffroy aime par dessus-tout? 6. Qu’est-ce que Clotaire veut faire plus tard? 7. Pourquoi la classe rit quand Clotaire dit qu’un échafaud est pour faire de l’eau chaude?

pas Phèdre. C’est parce qu’elle perd le contrôle de son objectif que Phèdre perdra aussi le sien. Car, elle ne fait pas que recueillir les confidences de sa maitresse, elle participe dans l’action afin qu’elle puisse la rendre possible. Lorsque tout s’avère condamné, elle se donne la mort en se jetant dans la mer, punition que sa maitresse qu’elle a tant défendue trouve bien vulnérable, face à ce qu’elle devait lui faire subir. Dans l’acte V. Les échecs des personnages résultent d’une confession

richement costumés, de tous côtés des jeunes gens et des femmes, tous étincelants de beauté et de joie ; à droite et à gauche des mets exquis, des flacons, des lustres, des fleurs ; au-dessus de ma tête un orchestre bruyant et en face de moi ma maîtresse, créature superbe que j'idolâtrais. J'avais alors dix-neuf ans ; je n'avais éprouvé aucun malheur ni aucune maladie ; j'étais d'un caractère à la fois hautain et ouvert, avec toutes les espérances et un cœur débordant. Les vapeurs de vin fermentaient

comportements des siens anormal et incompréhensible et peu digne de son inexplicable retour. Oenone, servante de Phedre, de peur qu'Hippolyte ne dépeigne les aveux illegitimes de sa maitresse, s'empresse de l'accuser d'une tentative de viol sur cette derniere auprès de Thésée. Oenone se sacrifie donc pour sa maitresse en mentant et se compromettant à sa place. Cet aveux déclenche le courroux de Thésée qui pour punir son fils recourt à Neptune et lui demande de châtier Hippolyte. Ce dernier préfere

ce serait le sien : « nous irions en Italie, je fuirais… ». Caroline Crochard n’a pas l’impatience des maîtresses qui ne rêvent que d’une chose, conquérir la place de l’épouse, et se vengent si le mari tarde à accomplir sa promesse. Caroline, au contraire, comprend les souffrances du comte qu’elle supporte avec lui, pendant tout le temps qu’il reste attaché à sa femme. Cette maîtresse est douce et prévenante. II Un triste mariage La deuxième histoire du roman raconte celle de l’échec

donne la prédominance à sa propre identité, en répétant « je suis l'égale de Madame ». Cette déclaration d'égalité, fait dans l’amertume est dirigée contre Claire. Dans sa tête, le meurtre fictif est une manière de se venger du favoritisme de leur maîtresse pour sa sœur. Donc, Claire mérite la même destinée que Madame. Avec l'absence de Claire, Solange peut finalement s’exprimer et prendre plus d’importance. Elle croit qu'avec le meurtre de Madame, elle élimine l'autorité qui la domine. Pour elle

retrouve avec son ancienne collègue , Marie .Ils vont voir un film au cinéma et elle devient sa maitresse. Un soir Meursault croise Salamano , un voisin, et est invité par Raymond, un autre voisin de palier. Ce dernier, ancien boxeur, lui raconte sa bagarre avec le frère de sa maîtresse, et lui demande d'écrire une lettre qui servira sa vengeance. Quelques jours plus tard, Raymond se bat avec sa maîtresse et la police intervient. Meursault accepte de l'accompagner au commissariat. Invité par Raymond