Maîtresse

sera fort divertissant ». Trivelin apprécie d’ailleurs son talent « elle développe assez bien cela », « en vérité, elle a raison ». Le ridicule d’Euphrosine est d’autant plus drôle que Cléanthis révèle les ficelles du pouvoir de séduction de sa maîtresse, comment elle joue à séduire un homme « vous vouliez lui plaire sans faire semblant de rien », comment elle feint d’être sensible aux odeurs « une rose parut ; crac ! la vapeur arrive », comment elle joue de ses tenues « c’est encore une finesse

de l’attitude de Suzanne envers sa maitresse, la Comtesse. En deuxième, de celle de la Comtesse envers sa camariste, Suzanne. Première partie : Dès le début Suzanne va se montrer rassurante et consolatrice. Elle rassurera la Comtesse sur ses intentions : « Je n’ai rien caché à Madame » (l.14) et installera tout de suite une relation de confiance et de confidence entre elles. D’ailleurs Suzanne va faire preuve de beaucoup de tact envers sa maitresse, en évitant de la blesser davantage

 : voisin de Meursault, il est l'élément névralgique dans le cours des  évènements  10) Masson​  : ami de Raymond, il prend part indirectement aux évènements survenus sur  la plage  11) Un groupe d'arabes​  : composé entre autres du frère de la maîtresse de Raymond,  c'est l'un d'eux que Meursault tue  12) Le juge d'instruction​  : fervent croyant, il interroge Meursault à plusieurs reprises sur  le meurtre comme sur son âme  13) L'avocat​  : il cherche à faire de belles phrases sans défendre Meursault en particulier 

richement costumés, de tous côtés des jeunes gens et des femmes, tous étincelants de beauté et de joie ; à droite et à gauche des mets exquis, des flacons, des lustres, des fleurs ; au-dessus de ma tête un orchestre bruyant et en face de moi ma maîtresse, créature superbe que j'idolâtrais. J'avais alors dix-neuf ans ; je n'avais éprouvé aucun malheur ni aucune maladie ; j'étais d'un caractère à la fois hautain et ouvert, avec toutes les espérances et un cœur débordant. Les vapeurs de vin fermentaient

prince, mais également pour DG : elle l’aime uniquement parce qu’il est beau ! Conclusion générale : Ce passage nous a donc montré la soumission de l’individu à la passion, c’est-à-dire la soumission de DG à sa passion pour M. qui devient maîtresse de la scène. La morale est mise à mal : un jeune homme de bonne famille devient un homme-objet, et un prince italien est joué grâce à l’ingéniosité d’une jeune femme un peu vulgaire, libertine et imprévisible. On retrouve un peu ceci dans la Princesse

parents sont marteaux ! Philippe Besnier, Lyndia Corazza, Ma maîtresse a dit quʼil fallait bien posséder la langue française Alain Le Saux, Papa mʼa dit que son meilleur ami était un homme-grenouille Alain Le Saux. - un livret par élève pour le recueil, - un accès internet. SEANCE 1 : Objectif : Préciser dans son contexte le sens dʼun mot connu Phase 1 : Découverte de lʼalbum. Par groupe Sur une photocopie sont copiées 10 phrases de Ma maîtresse a dit quʼil fallait bien posséder la langue française. Les

sans pleurer, sans même la voir. Le lendemain il se baigne avec sa maîtresse et va voir une comédie au cinéma. Son voisin de palier Raymond bat sa femme violemment, la police arrive et Meursault l'aide et le défend au tribunal. Plus tard il est invité par Raymond à passer la journée dans son cabanon et profiter de la mer. Lors d'une promenade, Raymond et Meursault rencontrent deux arabes, dont un qui est le frère de la maîtresse violentée de Raymond. Ils se battent et Raymond est blessé. Les deux

fût engagé comme reporter à Charles Forestier et son incroyable ascension dans la société commença, grâce notamment à de nombreuses et puissantes maitresses. Dans cette société capitaliste et coloniale, où vit Maupassant, le journalisme est une marque de pouvoir et de réussite. Les nouvelles se transmettent de bouche à oreille. Les différentes maitresses de Georges contribuent donc à l’ascension sociale de ce dernier. 2) Personnages liés au journalisme : Les personnages liés au journalisme sont

-Mme Boutarel : vient de la campagne, dépensière -Mme de Boves : 45 ans, comtesse, amie de Mme Desforges -M de Boves : comte, trompe de sa femme -Mme Desforges Henriette : 35 ans, maîtresse de Mouret, veuve, jalouse -Edmond : 8 ans, enfant de Mme Bourdelais -Mlle Fanny : ouvrière -Mme Guibal : économe, maîtresse de M de Boves, amie de Mme Desforges -M Guibal : avocat, ne voit pas beaucoup sa femme -Lucien : 4 ans, enfant de Mme Bourdelais -Madeleine : 10 ans, fille de Mme Bourdelais -Mme Marty

théâtre : Claire joue le rôle de leur maîtresse, tandis que Solange est Claire. Comment la mise en scène des deux sœurs met-elle en valeur le rôle de dominé/dominant qui existe entre la patronne et son employé ? Quels sentiments ressortent alors de ce jeu théâtral ? La pièce, malgré la croyance la plus répandue, est finalement peu liée au fait divers sanglant du crime des soeurs Papin, deux servantes ayant sauvagement assassinés leurs maîtresses. Jean Genet nous livre en fait une pièce