Malcolm II

des années 1960. Quatre années plus tard, Malcolm X se sépara de la Nation de l'Islam pour former un groupe nationaliste noir séculier, l'Organisation de l'unité afro-américaine (OAAU). Après avoir effectué un pèlerinage à La Mecque, il renonça à ses enseignements précédents, qui déclaraient que tous les Blancs étaient mauvais, et commença à prôner la solidarité raciale. Le 21 février 1965, lors d'un discours devant des partisans de l'OAAU à New York, Malcolm X fut assassiné, probablement par un membre

perspective avec l’histoire culturelle Le projet initial de Césaire était que la pièce se passe aux Etats-Unis et il en reste des traces comme les allusions à : -Malcolm X. Caliban prend en effet le nom de X (Caliban s’exclame : «Appelle-moi X…Uhuru ! » acte I scène 2 page 28). Ce passage fait référence au fait que Malcolm X changea son nom pour X car ce nom représente le rejet de son « nom d’esclave » en l’absence de son véritable nom d’origine africaine. Explication : Dans l’Amérique

in 1913 by Noble Drew Ali, and the Universal Negro Improvement Association, founded in 1914 by Marcus Garvey. Marcus Garvey, who was mainly political, directly influenced W.D. Fard and Elijah Muhammad, and Garvey’s writings indirectly influenced Malcolm X., since he promoted independent black commerce and industry, and the emigration of all blacks to Africa, he also taught that whites were an inferior race and that God was black. Marcus Garvey was known as the father of black nationalism, he successfully

conséquences de la guerre 2.1 La Reconstruction (1863-1877) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.2 Soit les Noirs soit le Sud . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 5 5 II 6 La ségrégation raciale (1880-1945) 3 Ses débuts 3.1 La ségrégation institutionnalisée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.2 Une auto-ségrégation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

II) ​ L’évolution du statut social de la communauté afro­américaine    a) ​ Luther King et le rassemblement de plusieurs mouvements     Aux États­Unis à partir des années 1950 le mouvement de lutte de la communauté afro américaine  commence à agir pour obtenir des droits civiques et aussi pour lutter contre la ​ ségrégation raciale​ .   (C’est à dire la séparation physique des personnes de couleurs  différentes qui débuta après la guerre de  sécession , cette séparation est mise en place dans le

caractéristiques génétiques, appartenance vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une race, apparence physique, handicap, état de santé, état de grossesse, nom de famille, opinions politiques, convictions religieuses, activités syndicales. II Un peu d'histoire:) C'est dans les années 1950 cependant que le mot prend son acception négative actuelle. L'expression non-discrimination apparaît à la même époque. C'est-à-dire peu de temps après la Déclaration universelle des droits de l'homme

ainsi que d'accompagnements vocaux "backvocals" fondés sur des chants de supporteurs de football. Donc, on peut entendre des guitares plus lentes que dans le punk et très répétitives, ainsi que beaucoup de chœurs chantant parfois le slogan "Oi! Oi!" II) L'évolution du mouvement punk : La mode. La mode punk est avant tout un style vestimentaire que se donnaient au debut des années 1970 certains groupes de musique pronant l'expression plus libre dans la création, et surtout dans l'apparence. Il

elle décide de devenir écrivaine, elle part avec son fils, Guy, pour rejoindre Harlem . Elle participe aux bouleversements de l'époque et rencontre des artistes comme Billie Holiday et James Baldwin, et les leaders du mouvement des droits civiques, Malcolm X et Martin Luther King. Elle part vivre en Afrique, et elle devient journaliste. Ce récit est l'autoportrait d'une femme exceptionnelle. Chanteuse de jazz, strip-teaseuse (on va plutôt dire danseuse...), militante pour les droits civiques , et enfin

identitaires  se  forment  et  sont  réprimés  :  démantèlement  systématique  de  l’organisation  d’autodétermination  des  Black  Panthers  par  le  FBI,  disparition  des  leaders  (assassinat  de  Martin  Luther  King  en  avril  1968,  et  de  Malcolm  X).  Les  communautés  des  grandes  villes,  en  particulier  New  York,  se  replient  sur  elles‐mêmes  dans  des  ghettos  où  les  gangs  prennent  une  importance  sociale de plus en plus marquée. L’insécurité, la délinquance et la drogue font alors 

Malcolm X (19 mai 1925 - 21 février 1965), né Malcolm Little, également connu sous le nom de El-Hajj Malek El-Shabazz1 (الحاجّ مالك الشباز‎ en arabe) et surnommé « Red » lors de sa jeunesse (en raison de ses cheveux roux), est un prêcheur afro-américain, orateur et militant des droits de l'homme2,3,4,5. Aux yeux de ses admirateurs, il est un défenseur courageux des droits afro-américains ayant mis en accusation les États-Unis pour ses crimes envers la communauté noire6. En revanche, ses détracteurs