Manie

de la guerre par l’absurde Il décrédibilise Leibniz avec son personnage de Candide L’ironie voltairienne Il utilise des euphémismes humoristique pour décrire le viol Les 2 camps dans une bataille chantent un Te Deum Dans Candide, Voltaire manie l’humour, l’antiphrase et la périphrase à la perfection. Le conte philosophique Le genre est né avec Voltaire au 18 ème siècle C’est une histoire qui critique la société et le pouvoir en place pour transmettre des idées, concepts à portée philosophique :

critique sociale et politique (il s'en prend à l'organisation du pays et fustige une société de privilèges), mais le thème prédominant reste la dénonciation du faux-semblant, sous tous ses aspects : pour ce moraliste, il n'était pire chose que la manie du masque et l'incapacité d'être vrai. Les portraits de La Bruyère sont le travail d'un fin observateur, qui analyse les hommes avec justesse et les dépeint avec une ironie mordante tout en dénonçant les travers du temps. Plus vivants que ses maximes

Sade, qui prennent le nom de cercles infernaux, comme dans l'œuvre de Dante Alighieri(«Enfer») : le premier tableau est intitulé Antinferno («le vestibule de l'enfer»), dans lequel le réalisateur plante le décor; -Le deuxième se nomme Girone delle manie («cercle des passions»). Il est l'occasion de diverses scènes de viol sur les adolescents; -Le troisième est celui du Girone della merda («cercle de la merde»), où les victimes doivent notamment se baigner dans des excréments ou manger ceux du Duc;

votre amour pour Cunégonde est découvert et vous êtes renvoyé du château. Vous vous réfugiez dans une auberge. Vous faites la rencontre de soldats bulgare et vous êtes enrôlé de force. (Vous devez attendre 2 tours avant de rejouer) Vous apprenez a manié les armes. Vous vous promenez un petit matin, des soldats vous rattrapent alors croyant que vous souhaitez vous enfuir (Vous retournez a la case départ) Le roi des bulgares vous épargne. Il y a ensuite une bataille sanglante entre l’armée bulgare

même ne pouvait flétrir... Et puis, tu t’es enfui, et j’ai entendu tes petits pieds courant dans l’escalier. « Eh bien ! Mon fils, c’est alors que le livre m’a glissé des mains et qu’une terrible crainte m’a saisi. Voilà ce qu’avait fait de moi la manie des critiques et des reproches : un père grondeur ! Je te punissais de n’être qu’un enfant. Ce n’est pas que je manquais de tendresse, mais j’attendais trop de ta jeunesse. Je te mesurais à l’aune de mes propres années. « Et pourtant, il y a tant

compagnie ; il se rend maître du plat, et fait son propre1 de chaque service : il ne s’attache à aucun des mets, qu’il n’ait achevé d’essayer de tous ; il voudrait pouvoir les savourer tous tout à la fois. Il ne se sert à table que de ses mains ; il manie les viandes2, les remanie, démembre, déchire, et en use de manière qu’il faut que les conviés, s’ils veulent manger, mangent ses restes. Il ne leur épargne aucune de ces malpropretés dégoûtantes, capables d’ôter l’appétit aux plus affamés ; le jus

surveiller attentivement l'action de tout le mécanisme, Julien lisait. Rien n'était plus antipathique au vieux Sorel ; il eût peut-être pardonné à Julien sa taille mince, peu propre aux travaux de force, et si différente de celle de ses aînés ; mais cette manie de lecture lui était odieuse, il ne savait pas lire lui-même. […]Le bruit de la machine empêcha encore Julien d'entendre cet ordre. Son père qui était descendu, ne voulant pas se donner la peine de remonter sur le mécanisme, alla chercher une longue

prétentieux, snob, NIAISEUX. Acte 2 Scènes 1,2 et 3 : 1. Maitriser l’épée, éduquer, 2. Peureux, maladroit 3. Imposteur, aucune élégance, prétentieux, orgueilleux, etc. 4. Scène 1 : il danse mal, chapeau par-dessus son bonnet de nuit; scène 2 : manie mal l’épée; scène 3 : les maîtres se battent. 5. M. Jourdain, parce qu’il se fait ridiculiser, il paye pour se faire enseigner des « niaiseries ». 6. Le maître de philosophie prône la morale puis à la fin de la scène il se bat avec les autres maîtres

prend une tonalité polémique qui se met au registre de la satire. Mountaigne fait le blâme de ses compatriotes incapable de s'ouvrirent à l'activité culturel. Ils sont imbus d'eux-même comme le montre la métaphore à la ligne 23 «  envié de toute sale manie » Ils sont incapables d'aller voir les autres comme le traduise l'expression indiquant un mouvement de fermeture «  renfermé » les peints comme des animaux apeurés opérant un mouvement de recul. Ils sont également à tout prix attaché à leur pays comme

compagnie ; il se rend maître du plat, et fait son propre1 de chaque service : il ne s’attache à aucun des mets, qu’il n’ait achevé d’essayer de tous ; il voudrait pouvoir les savourer tous tout à la fois. Il ne se sert à table que de ses mains ; il manie les viandes2, les remanie, démembre, déchire, et en use de manière qu’il faut que les conviés, s’ils veulent manger, mangent ses restes. Il ne leur épargne aucune de ces malpropretés dégoûtantes, capables d’ôter l’appétit aux plus affamés ; le jus