Mansarde

femmes seule, sans défence. Pour commencer, Fantine est traité de «  pauvre » puis d’ infortunée », ce qui montre sa pauvreté . Ensuite, on vois dés le debut du texte, que Fantine a vendu ce qu’elle avait de plus cher, « quitté sa cellule pour une mansarde fermée d’un loquet sous le toit », et qu’il lui reste très peu de chose, sans valeur « il lui restait une loque qu’elle appelait sa couverture » , «  un matelas a terre » , « une chaise depaillée » «  un petit rosier dessechée dans un coin .. »

en conscience». Mais il mourut, et Raphaël n’eut plus qu’une modeste rente et lui, qui avait «l’imagination la plus vagabonde, le cœur le plus amoureux, l’âme la plus tendre, l’esprit le plus poétique», abandonna ses études et s’installa dans une mansarde d’un hôtel où il lutina Pauline Gaudin, la fille de la maîtresse de l’hôtel, belle, «gracieuse», possédant «des formes qu’une femme eut admirées», semblant «être tout à la fois jeune fille et femme». Elle lui était totalement dévouée, tout en restant

connaissaient son apogée, les plus pauvres, les plus démunis se réfugiant dans une vie ou tout était poussait à l'extrême: la Bohème. Une sorte de philosophie ou de façon dépenser. Irradiant depuis le quartier Latin et plus particulièrement les mansardes de la rue des cannetes, la Bohème, en ne faisant plus qu'un avec le monde des artistes, Paris est alors réputé pour sa culture Bohème. Montmartre, le Moulin Rouge, le café d'Harcourt la rue de la Tour D'Auvergne et la rue des Martyrs, le qu'aient

poète tend vers l’idéal, la nature est aussi sacralisée avec les cloches. Il associe hauteur et mansarde (Chambre étroite sous les toits, associés souvent à une situation de pauvreté) comme pour montrer qu’avec la poésie il s'élève au dessus de sa misère. Mais aussi "À une mendiante rousse” un poème de la section “Tableaux Parisiens” des Fleurs du Mal , dans se poéme Baudelaire descend de sa mansarde pour se confronter à la vie urbaine. Ce poéme montre parfaitement la vision paradoxale de Baudelaire

connaître Mme Loisel sans la perte de la Parure. Une vie de nécessiteux ◘ Le changement de classe sociale L'auteur utilise le procédé de l'anaphore du déterminant « on » : « on renvoya la bonne, on changea de logement, on loua sous les toits une mansarde » pour insister sur le fait que Mr et Mme Loisel ont dû renoncer à énormément de choses et, finalement, vivre comme des pauvres et même manquer du nécessaire pour vivre. Les expressions « les poteries grasses », « vêtue comme une femme du peuple

Joachim Goriotla pension VauquerMme Vauquer la propriétaire 50 ans 1ere étage veuve om e de jeune fille conflans elle a un chat Les domestiquesSylvie la cuisinière mansarde Christophe domestique mansarde Les 7 pensionnaires internesMme Couture veuve 1er étage pieuse ??? parente éloignée de victorine  sert de mère à Mademoiselle Taillefer Victorine Taillefer reniée par son père banquier

| | | |La scène se déroule dans le secrétariat de la DRH. Mario Mansard est le DRH de l’entreprise, 42 ans, en poste depuis 6 ans. Il est le | |manager de Sonia. Son management est de style délégatif. | |

avec les Thénardier par exemple. Cette noirceur exagérée ne va pas sans rappeler certains romans de Zola. Cependant, un peu comme dans la double description de la mansarde dans Chien-Caillou de Champfleury le montre (dans la description de la mansarde romantique, la misère est bohême, sublimée tandis que dans la mansarde réaliste, à l’inverse, est vue de manière exagérément pessimiste), réalisme et romantisme sont deux moyens d’appréhender la réalité. Si les premiers reprochent aux seconds

réception de la lettre de rupture qui lui ôte l'espoir de fuir, avec son amant Rodolphe, une vie médiocre. Emma se réfugie alors dans la mansarde pour cacher son trouble à ses proches, et subit une crise violente. Deux thèmes se dégagent : les sentiments d'Emma dans la mansarde, l'opposition entre l'intérieur et l'extérieur. Emma se réfugie dans la solitude : la mansarde est la pièce la moins fréquentée de la maison. La fenêtre s'ouvre sur un paysage désert, avec la "pleine campagne " qui s'étale "à

futures. Non, je ne crois pas en moi. Dans tous les asiles il est tant de fous possédés par tant de certitudes ! Moi, qui de certitude n'ai point, suis-je plus assuré, le suis-je moins ? Non, même pas de ma personne... En combien de mansardes et de non-mansardes du monde n'y a-t-il à cette heure des génies-pour-soi-même rêvant ? Combien d'aspirations hautes, lucides et nobles - oui, authentiquement hautes, lucides et nobles - et, qui sait ? réalisables, peut-être... qui ne verront jamais la