Maquiladora

minière création d’organismes publics (compagnies d’électricité, système bancaire) investissements dans les d’infrastructures (routes, irrigation, ZIP Lazaro Cardenas sur le pacifique) mise en place du Programme national Frontalier en 1965 avec les maquiladoras, usines d’assemblage (« usines-tournevis », textile, industries électriques, électronique et automobile) dans les twin-cities (27 villes binationales le long de la frontière) + à l’intérieur du pays (MO peu chère, peu qualifiée, surtout féminine)

ruraux du Mexique) Mexico : 6 à 7% par an + forte que dans les autres villes. Mais aussi villes intermédiaires avec fort taux de croissance (emplois, meilleure condition de logement et de vie), en particulier dans les états du nord (en lien avec maquiladoras) Ex : Mexicali = 500 hab en 1910 aujourd’hui 1M C. Inversement, certaines villes nourrissent les migrations : Villes point de départ de migrations internes = * Villes campagne = 70’s-80’s = « counter-urbanization ». * Migrations

mondiaux) et l’intégration des économies des grands pays, la division internationale du travail en sont les principales causes. Les grandes firmes ont de plus en plus tendance à multiplier leurs différentes tâches entre des usines du monde entier : les maquiladoras mexicaines, qui représentent près de 40% des exportations du pays, assemblent des produits importés qu’ils exporteront. • Aux pôles d’échanges traditionnels des pays occidentaux est venu s’ajouter l’Asie de l’Est. Les importations et les exportations

peut risquer de ne rien faire de bien si on en fait trop. Beaucoup de ces grandes entreprises sont des firmes multinationales ou transnationales et sont principalement américaines. Elles s’implantent en Europe occidentale, au Canada, au Mexique (maquiladoras : s’implante pour bénéficier des coûts de production moins importants), … On observe un recul du capitalisme familial au profit d’acteurs financiers. Ex : Ford. La famille possédait jusqu’à la fin de la seconde guerre mondiale la totalité de l’entreprise

disposent à la fois d’une main d’œuvre de haut niveau (ingénieurs formés dans de grandes écoles mondialement réputées : Harvard, MIT, Princeton, Stanford...) et d’une population immigrée qui fournit une main d’œuvre bon marché (Mexicains dans les Maquiladoras, Chinois clandestins dans les “sweat shops” ou « échoppe à sueur »). . Les minorités entretiennent d’autre part un maintien de la fécondité à des niveaux satisfaisants et assurent un rajeunissement. 3. Une société dynamisée par des idéaux toujours

clandestines). Cette position d’interface est renforcée lorsqu’un important différentiel de développement est présent : les Etats-Unis investissent au Mexique, où ils font produire car la main d’oeuvre est moins chère (ils délocalisent dans les maquiladoras mais essaient de bloquer l’immigration mexicaine). • Les zones portuaires d’interfaces maritimes, ouvrant les Etats sur les océans (donc sur le commerce mondial). Dans ces ports, différents moyens de transports sont mis en correspondance permettant

Cette conversion amorcée en 1982 s’est traduite par la mise en flottement du peso, la privatisation de nombre d’entreprises publiques, l’abandon du protectionnisme, l’adhésion au GATT en 86 et surtout la signature de l’ALENA en 92. Exemple des maquiladora : usines situées a la frontière entre les EU et le M, spécialisé dans les atelier de montage. Investissement des firmes US attirées par le bas prix de la main d’œuvre, création d’emploi, attraction des nouvelles technologies pour le Mexique. Mais

du commerce extérieur des pays d'Amérique latine, voire plus de 50% avec le Mexique ou les Caraïbes. Si la première puissance mondiale tient une place prépondérante dans le commerce du Mexique voisin (87%), c’est notamment grâce au système des maquiladoras, usines mexicaines aux capitaux états-uniens qui utilisent la maind'œuvre locale à bas prix. La production de pétrole du Venezuela rend ce dernier dépendant des achats américains. L'exportation de produits états-uniens est contrebalancée par des

le Venezuela et le Chili d’enregistrer d’importantes entrées de devises. - Une main d’œuvre qualifiée et peu coûteuse a favorisé le développement industriel en Amérique latine. Le Mexique est rapidement devenu l’atelier des Etats-Unis avec ses maquiladoras. Le Brésil et l’Argentine ont accueilli des chaînes de montage d’automobiles asiatiques et européennes, notamment Renault et Peugeot. - Les investisseurs sud-américains profitent de la croissance économique pour s’affirmer sur le plan international

mêmes résultats, et c’est bien normal; mais moi, je suivais l’approche privilégiée par les américains, celle à laquelle ils s’attendaient». Ils ont été surévalués et négligés dans une période de croissance aussi rapide. «L’expansion rapide des maquiladoras s’est traduite par un grand nombre de changements, dont des attentes nouvelles et des styles différents de la part des cadres. Dans les premiers temps, les travailleurs n’étaient pas familiarisés avec ces nouvelles attentes, et les employeurs