Marbre

la tradition de la sculpture italienne. Donatello en a sculpté deux sur lesquels repose sa notoriété et, chez lui comme chez Verrocchio, c’est un David victorieux, fier et impassible qui nous est présenté. Avec le David de Michel-Ange, colosse de marbre, une nouvelle tension de l’imminence est introduite puisqu’il semble que le combat n’a pas encore eu lieu. Pourtant, la taille gigantesque, la pose figée et le regard inquiet mais lointain de ce David ne nous invitent à rien d’autre qu’à être contemplé

(fig.6 et fig.7) qui avait été substituée à Maxence. Elle fut découverte en 1487: il s’agit d’un acrolithe, c’est à dire d’une statue dont seules les parties découvertes (tête, bras,  jambes) étaient en marbre, alors que le reste était probablement en bronze doré (les parties en marbre sont maintenant exposées dans la cour du Palazzo dei Conservatori). L’entrée prévue dans le projet initial était à l’est: il s’agit d’un portique long et étroit qui donne accès à la nef à travers trois ouvertures

ordre grec, repris par les romains. À la différence des Grecs, ces colonnes ne possèdent pas de cannelure et sont taillées dans le granite. Le granite gris utilisé pour la colonne contraste magnifiquement avec leur chapiteau et leur base, tous deux en marbre blanc. La colonnade ainsi disposée délimite trois nefs, la nef centrale conduit à la porte du temple, les deux nefs latérales donnent sur deux niches en demi cercle qui devaient abriter les statues d'Auguste et d'Agrippa.. Le Portique comporte

: environ 122 x 50 m ; salle de prière à trois nefs : 136 x 37 m ; hauteur de la nef centrale : 25,67 m. Al-Walîd, qui souhaite montrer ici toute sa puissance, fait réaliser un édifice religieux hors norme. Les matériaux employés sont luxueux : marbre, mosaïque, lapis-lazuli. Ils contribue à rendre le décor de la mosquée majestueux (mihrab en pierres précieuses). La Grande mosquée n’est pas seulement un lieu de culte où la communauté des musulmans s’y réunit pour la prière du vendredi, sous la

Scultures Grecques La plupart des sculptures grecques qui sont parvenues à l'ère moderne sont en pierre, le plus souvent en marbre blanc. Dans l'Antiquité, néanmoins, les Grecs sont loin de favoriser ce matériau. Il est alors en concurrence avec le bronze, la technique chryséléphantine (incrustations d'or et ivoire), mais aussi l'argile et le bois. Le bois[modifier] Le bois est utilisé principalement à l'époque archaïque, pour réaliser les xoana, figures grossières

Psyché ranimée par le baiser de l’Amour, Antonio Canova, 1793, sculpture sur marbre. Né en Italie à Possagno, (province de Trévise), dans une famille de tailleurs de pierre, Antonio Canova apprend dès l'enfance la taille du marbre. Antonio Canova sera admis dans les ateliers de Guisepe II Bernadi-Torreto à Venise, en 1768, grâce au soutien du sénateur vénitien Giovanni Falier. Il intègrera par la suite l'école Santa Marina toujours à Venise. Canova ouvrira son atelier en 1779 et entrera à l'Académie

des tourillons (Fig. 45) 13. Torsion des manetons (Fig. 46) Kihel.sifeddine@gmail.com ISTA-IE 2/8 KIHEL Sifeddine 14. Perpendicularité du plan d’appui du volant (Fig. 44) ANALYSE DE TRAVAIL Comparateur Marbre et 2 vès 2 comparateurs Marbre et 2 vès Comparateur Marbre et 2 vès Piston ; Bielle ; Vilebrequin. Kihel.sifeddine@gmail.com ISTA-IE 3/8 KIHEL Sifeddine ANALYSE DE TRAVAIL Piston ; Bielle ; Vilebrequin. Contrôle des pistons, des segments et des axes de

apparaître comme prétentieuse avec l’adjectif « audacieux » qui est accentué par une diérèse. v.11 : le « marbre dur » de Rome est opposé à « l’ardoise fine » du village de Du Bellay. Ce matériau met l’accent sur une certaine fragilité alors que le marbre évoque plutôt une image de gloire et d’éternité. Ça induit un paradoxe puisqu’à une grande ville comme Rome pleine de majesté (noblesse du marbre) le poète préfère son village natal qui est moins pimpant, plus simple. v.12 : Le poète oppose la Loire

soubassement de 50m par 30m, avec sur chaque côté des escaliers étroits recouverts de marbre. Il (était octostyle et périptère, c'est-à-dire avec) (comportait) huit colonnes corinthiennes cannelées en façade, et onze colonnes sur chaque côté. À l'intérieur (cella), deux rangées de colonnes bordaient chaque paroi. Les ruines actuelles laissent voir une partie du soubassement et trois colonnes de 12,5 m, en marbre de Paros très blanc. Le temple abritait les statues de Castor et Pollux considérés comme

du roi en 353 avant J-C pour lui rendre hommage. Sa construction se termina en 350, une année avant la mort d’Artémise. Elle était d’une hauteur totale de 43 mètres et était supporté de 36 colonnes et surmontée d’une pyramide ornée d’un quadrige de marbre. Les chambres funéraires étaient probablement composées des tombes de Mausole et Artémise. Il fut détruit lors d’un séisme XIVème siècle. Elle est classée ainsi car elle s’est démarquée par sa richesse et sa beauté. De plus les ornements ont été réalisés