Marché commun de l'Afrique orientale et australe

internationales. Dés lors face à la menace de guerre nucléaire, des conflits régionaux, le maintien de la paix est devenu l’une des principales préoccupations de l’organisation. La guerre finie l’ère de la guerre froide s’ouvrent et à cette époque l’Afrique n’exister pas en tant qu’entité signifiante sur la scène politique, économique mondiale, les institutions qui venaient d’être crées à savoir l’ONU, la Banque Mondiale, le Fond Monétaire Internationale et bien d’autres encore ne se souciaient guère

musulmans ;   - pangermanisme de l'Empire allemand qui aspire à achever la réunion des terres allemandes.           b) sur le plan colonial   - rivalité franco-anglaise au Soudan ( Fachoda, 1898 ) ;   - rivalité anglo-allemande en Afrique australe et orientale ;   - rivalité franco-allemande au Maroc ( crise de Tanger en 1905 et d'Agadir en 1911 ) ;   - rivalité franco-italienne en Tunisie.           c) sur le plan géostratégique autour des zones d'influence   - rivalité anglo-allemande sur les

et de sécurité durable, et ce pour les Etats et les peuples, de stabilité politique et sociale, de croissance et de développement partagés, un espace de coopération fondé sur des stratégies et politiques de convergence dans le cadre d’un destin commun que nous sommes déterminés à réaliser, selon les aspirations de nos peuples, avec la pleine participation de nos populations … » 1 C’est donc en ma double qualité d’ universitaire et de responsable d’une structure régionale que j’ aborde

pour la croissance L'énergie pour la croissance L'Afrique est une terre riche en talents et en ressources humaines, d'une beauté et d'une diversité extrêmes auxquels s’ajoutent des ressources naturelles abondantes. Ce sont là des atouts uniques qui, réunis, vont permettre à l'Afrique de se construire un avenir meilleur. Une croissance économique durable est au cœur de cette évolution et savoir tirer pleinement profit des ressources de l'Afrique constitue à la fois un défi formidable et une opportunité

genre qui circulent, mais seuls les pays développés profitent de cette dernière. L’Afrique Subsaharienne par exemple n’a quasiment pas accès à ces données. Parallèlement, et peut-être justement grâce au modèle économique de la société de consommation et au « rêve américain » véhiculés par la télévision se sont également développés des flux migratoires importants provenant à 75 % des pays du Sud, principalement de l’Afrique, de l’Amérique centrale et de l’Asie du Sud-est en direction des pays développés

lendemain de leur indépendance, le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, le Niger et le Togo se sont lancés dans la promotion de leurs richesses en rangs dispersés sur les marchés émetteurs de touristes. Ils se sont finalement engagés à mettre ensemble leurs compétences et leurs efforts pour être compétitifs sur les marchés mondiaux du tourisme en mettant en valeur leurs atouts : un produit type spécifique ( paysage, faune, flore et mode de vie ) ; une gamme de produits complémentaires ; une harmonisation

organisa un boycott de l'Organisation de 1984 à 19865. Certains États membres ont par la suite retiré leur soutien à la République sahraouie6. Réforme du l'OUA Le 3 juin 1991 fut conclu le traité d'Abuja qui prévoyait explicitement la création d'un marché commun à l'ensemble du continent avant 2025. L’impulsion visant à relancer le processus d’intégration politique, qui apparaît indispensable aux yeux des dirigeants africains pour la croissance économique du continent, a été donnée en 1998 par Mouammar

L’Afrique, un continent en perdition ? Introduction   Aujourd’hui, l’Europe reste le premier partenaire international des pays africains qui peinent à prendre une autre place sur la scène internationale que celle d’Etats à l’économie sous perfusion et au régime politique instable. On a en effet souvent de l’Afrique une conception simpliste qui oscille entre l’afro pessimisme et le zoo grandeur nature; pourtant, les différents pays du continent sont des acteurs à part entière de la politique et

fr/fichiers/MFI/EconomieDeveloppement/841.asp 13/03/2003 | Les subventions européennes minent l’agriculture africaine | (MFI) Bœuf, volaille, sucre, blé, coton, aubergines… La liste des produits agricoles subventionnés par l’Union européenne est longue. Déversés sur les marchés africains à prix artificiellement bas, ces exportations désorganisent les filières, ruinent les producteurs. L’Union européenne reconnaît le problème, mais tarde à le régler définitivement. | « Il est temps que les Etats-Unis et l’Europe réduisent

officielles de l’OMC avec une ouverture totale du marché bancaires chinois aux investissements et opérateurs étrangers et l’autorisation des activités de change du yuan, de ventes de cartes bancaires et d’emprunts aux particuliers mais les plafonds de crédits autorisés pour les banques étrangères sont maintenus. En 2008, une trentaine de banques étrangères ont procédé à l’incorporation de leur société en Chine, il y a donc un meilleur accès au marché intérieur et une plus grande proximité avec les