Maréchal de la cour

prononce pour la République. 1873 7 janvier : mort de Napoléon III en Angleterre. 23 mai : le duc de Broglie appelle à rétablir l'"ordre moral". 24 mai : - chute de Thiers lors d'une motion de défiance (majorité conservatrice) - le maréchal Mac-Mahon est élu président de la République. 16 septembre : retrait des forces d'occupation allemandes (indemnités payées avec de l'avance). 30 octobre : le comte de Chambord, petit-fils de Charles X refuse de renoncer au drapeau blanc de

de celles de la France. Faut-il un exécutif fort ou confier aux chambres les clés du pouvoir ? A ce moment là, les déportés, les prisonniers, rentrent en France, souvent blessés. Quant à la Haute Cour de Justice, elle se voit confier la mission de juger les responsables de la Collaboration, dont le maréchal Pétain, condamné à mort, mais en partie gracié par de gaulle qui lui préfère la détention à perpétuité du fait de son âge. VII] « Départ » (p. 325 à 345) : alors qu'un « régime des partis »

Korasoff, etde feindre de faire la cour à Mme de Fervaques. Chapitre 25 :De retour à Paris, il fait confidence de cet amour supposé à Altamira. Pourlui être utile, celui-ci le conduit auprès de don Diego Bustos, qui fit envain la cour à cette dame. Ses avis: la question est de savoir s'il s'agitd'une prude, lasse de sa position. Au dîner, Julien revoit Mathilde, qui nel'attendait point. Dans l'intervalle, elle l'a d'ailleurs presque oublié.Julien commence donc sa cour auprès de Mme de Fervaques. A ce

La princesse de Clèves Le roman de Mme de Lafayette s’ouvre sur un tableau de la cour de France dans les dernières années du règne d’Henri II. C’est dans un cortège d’êtres d’exception, décrits de manière superlative et abstraite, que paraît tout à coup l’héroïne, Mlle de Chartres, future princesse de Clèves. Personnage de fiction, elle est encore plus extraordinaire que les plus prestigieuses dames de la cour et sa vraisemblance se trouve garantie par le cadre historique du roman. Cependant

La Princesse de Clèves, « Il parut alors une beauté à la cour... » Le portrait de Mlle de Chartres Objectifs : => Culture Découvrir la société du 17e siècle (portrait de Mlle de Chartres fait partie intégrante d'une réflexion sur la Cour). La préciosité. => Enonciation Discours indirect, discours narrativisé => Langue Lexique précieux; vocabulaire laudatif => L'art du portrait, moral et physique. Etudier la façon dont le portrait physique et le portrait moral se mêlent étroitement Un

Billancourt Cedex. | | | | |TOTAL  |24, Cour Michelet – 92069 Paris La défense Cedex. | | | | |Caisse d’épargne :

genres de l’argumentation, du XVIe au XXe siècle LECTURE ANALYTIQUE 5 : Jean de La Fontaine, « Les obsèques de la Lionne », Fables, Livre VIII, 14, 1678. ÉTUDE D’UN CORPUS Corpus sur Louis XIV et les masques de la Cour. • Texte ci-contre. • Jean de La Fontaine, « La cour du Lion », Fables, Livre VII, 6, 1678. • Madame de Sévigné, extrait d’une lettre au marquis de Pomponne (1664), Lettres, 1726. • Saint-Simon, extrait du chapitre XVI des Mémoires consacré au roi, 1830. LECTURE COMPLÉMENTAIRE

peinture Le rococo est lié à des arts de décoration. Caractéristiques du rococo : composé de différents supports et éléments (à rechercher) Ornements Le miroir permet de créer une continuité, une profondeur de l’espace (gravure cabinet grand maréchal couronne de Pologne Sujets de la vie contemporaine, on va abandonner les sujets de la peinture d’histoire comme c’était fait au XVIIe siècle au profit de nouveaux sujets inédits dans le contexte français Danse dans un pavillon : montre bien la

protestants pour assurer leur sécurité. Charles de Gontaut-Biron: C'est un militaire français célèbre pour l'amitié que lui portait le roi Henri IV. En effet, le roi lui donne plusieurs titres: il devient amiral de France et de Bretagne en 1592, maréchal de France en 1594 puis gouverneur de la Bourgogne en 1598. Cependant, il conspire contre le roi en s'alliant avec l'Espagne et la Savoie pour prendre les armes contre son pays. Suite à cette découverte, le roi essaye de lui faire avouer ce complots

souligner sa dénonciation et faire du lecteur un complice, Céline use de l'ironie et de l'absurdité. En effet, il n'hésite pas à comparer la guerre avec les jeux de hasard et de divertissement comme l'évoquent le « tirage au sort », « « la chasse à courre », qui est un luxe pour une classe sociale élevée, et les « fiançailles » aux lignes 5 et 4. La guerre devient ainsi une bagatelle parmi d'autres. De plus, il montre bien l'absurdité de certaines situations comme le fait de « se tirer dessus sans