Marguerite Abouet

Commentaire : la mort de la mère Marguerite Duras est une écrivaine et dramaturge .Elle est une auteur imortante de la seconde moitié du XX éme siécle . Un Barrage contre le Pacifique publié en 1950 , retrace la désillusion indochinoise . Au fil de ce roman on rencontre différents personnages , différentes histoires et donc différentes destinées dressant ainsi un tableau assez complet de la vie colonial . Ainsi nous nous interesserons , au passage ,de la mort de

Comment Wang fô fut sauvé, Marguerite Yourcenar CAUQUIL Fanette PE1 IUFM Montpellier juillet 2009 Introduction : Pour cette épreuve, j'ai choisi de travailler un texte de Marguerite Yourcenar intitulé " Comment Wang-fo fut sauvé". L'auteur, première femme entrée à l'Académie française en 1980, s'est inspiré pour écrire cette histoire de vieux contes chinois. Elle a d'abord écrit un recueil de nouvelles à destination d'un public adulte intitulé "Nouvelles orientales" duquel elle a extrait

société qui change; il devient bientôt celle d'une société qui a conscience de changer.» (Michel Butor,Répertoire, II) L'influence du cinéma sur le Nouveau Roman est essentielle. Certains romanciers ont été des réalisateurs (Robbe-Grillet, Marguerite Duras) et ont trouvé là un outil particulièrement docile pour illustrer leurs théories. Mais le cinéma a surtout entraîné dans le roman une nouvelle vision de l'espace et un nouveau statut de l'objet, ce qui n'a pas été sans créer un malentendu

Cet extrait est tiré de La Douleur (1985), l’œuvre semi-autobiographique de Marguerite Duras qui raconte ses mémoires de l’Occupation Française (1939-1945). Il se situe dans la nouvelle de Monsieur X. dit ici Pierre Rabier, quand Duras a été informé de la fin de la guerre pendant un repas avec son ami gestapiste, Rabier. Cette pièce montre au lecteur l’ambiguïté de la mémoire en ce qui concerne la guerre et aussi les sentiments d’une femme qui a été à peine libérée de la peur de la guerre. On va

réalité de l'esprit, le rêve, le conditionnement socio-culturel, la mort, la mélancolie et bien sûr l'art[7]. Pour les dix-huit longs métrages qui portent sa signature, Resnais a fait appel à des auteurs-scénaristes aussi renommés et différents que Marguerite Duras, Alain Robbe-Grillet, Jean Cayrol, Jorge Semprún, Jacques Sternberg, David Mercer (en), Jean Gruault, Jules Feiffer, Jean-Pierre Bacri et Agnès Jaoui ou encore Jean-Michel Ribes[2]. Fidèle dans le travail et amateur de l'esprit de troupe

Un barrage contre le Pacifique Marguerite Duras consacra surtout son attention au terrible trio de ses personnages. Mais la matière autobiographique ne l’empêcha pas de fixer déjà, dans ce roman colonial qui fustigeait les turpitudes de certains administrateurs français en Indochine, ce qui devint sa grande problématique : la dénonciation de l’injustice sociale, de la morale bourgeoise. L’action se déroule en un pays et à une époque qui ne peuvent manquer de jouer leur rôle dans ce drame.

lui-même une critique du réalisme, un rejet plutôt, il cherche à montrer qu’un roman n’est pas réaliste : le temps linéaire n’existe plus, les personnages sont des " anti-personnages ", l’histoire n’a aucune raison d’être… Dans Moderato Cantabile de Marguerite Duras, les lieux différents, les instants différents, tout cela forme une telle confusion que le lecteur est perdu : le " degré de réalité " du roman semble nul tant le " romancier se plaît à jouer avec l’illusion ". Mais comme pour le théâtre de

Le monologue intérieur ....................................................................... 48 L. Aragon, Aurélien E Au cœur de l’intériorité du personnage ............................................................ 49 Lecture d’une œuvre Marguerite Duras, Moderato cantabile ...................................... 50 Extraits « Une dernière fois. Tu es sûr de ne pas le savoir ? » E La leçon de piano ................................ 50 « Un client arriva, ne les remarqua guère… » E L’impossible

Article « La motivation des styles chez Marguerite Duras  : cris et silence dans Moderato cantabile et La douleur » Pascal Michelucci Études françaises, vol. 39, n° 2, 2003, p. 95-107. Pour citer la version numérique de cet article, utiliser l'adresse suivante : http://id.erudit.org/iderudit/007039ar Note : les règles d'écriture des références bibliographiques peuvent varier selon les différents domaines du savoir. Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation

Fiche Qui n’a pas son Minotaure ? de Marguerite Yourcenar Scène I : Monologue d’Autolycos au sommet du mât. ( Ouverture de l’histoire, présentation. Scène II : Les quatorze victimes Les victimes sont les compagnons de Thésée. Ils ont un rôle secondaire. Les sentiments exprimés sont la colère, l’amour, l’espoir… Ils sont tous résignés, personne ne se manifeste contre son sort. (sauf suicide de la 2ème victime). Les victimes ne remettent pas en cause le fait d’être destinées au Minotaure,