Marguerite de Provence

février 1626-17 avril 1696) Epistolière Par son père, Marie appartient à une famille très aristocratique. Par sa mère, elle descend de l’une des familles les plus fortunées du temps. Le 10 octobre 1646 elle met au monde une fille, Françoise Marguerite, qu’elle a eu avec son mari Henri de Sévigné, issu d'une vieille famille aristocratique bretonne, sans fortune et quelque peu libertin. Il est aussi un bretteur acharné. Le 12 mars 1648 madame de Sévigné met encore au monde un fils, Charles. En

toutes les personnes qui m’ont encouragé et soutenu durant cette expérience mon tuteur qui m’a accompagné tout au long du stage avec beaucoup de patience et de pédagogie. Enfin, je remercie l’ensemble des employés de la Résidence Médicalisé Sainte Marguerite pour les conseils qu’ils ont pu me donner au cours de ces cinq jours. 1. SOMMAIRE REMERCIEMENTS 1 1. SOMMAIRE 2 2. INTRODUCTION 3 3. DESCRIPTION DE L’ENTREPRISE 4 3.1 Localisation 4-5 3.2 Infrastructures d'accueil 6 3.2.1 Les

une femme écrivain française. Suzanne Prou a fait ses études à la faculté des lettres d’Aix-en-Provence. C’est en 1966 qu’elle publie son premier livre, Les Patapharis. Le prix Cazes est attribué en 1972 à son cinquième roman : Méchamment les oiseaux. Elle est également l’auteur de livres pour enfants. La Terrasse des Bernardini a obtenu le prix Renaudot en 1973. Le Grand Prix des Lettres de Provence a couronné l’ensemble de son œuvre. Suzanne Prou était membre du jury du prix Femina. L’œuvre :

sauf dim et fériés lun sauf fériés TER TER Briançon SNCF Prelles Queyrières Sainte-Marguerite L'Argentière La Roche de Rame Saint-Crépin Montdauphin Guillestre Saint-Clément Chateauroux Embrun Les Crots Savines Chorges Montgardin La Bâtie Neuve Pont Sarrazin Gap SNCF Gap Gare routière Gap SNCF La Tourronde Châteauvieux Tallard centre ville Tallard Aéropole La Saulce Le Vivas Monetier Allemont Valenty Le Beynon Rourebeau Le Poët Sisteron Gare routière Sisteron SNCF Les Bons Enfants Peipin Volonne

erreurs de l'homme viennent de ce qu'il s'imagine marcher sur une chose inerte alors que ses pas s'impriment dans de la chair pleine" II/Biographie de l'auteur Né à Manosque en 1895 et mort à Manosque en 1970, Jean Giono a vécu au cœur de cette Provence, dans laquelle s'est ancrée toute son œuvre. Il est d'origine modeste : son père, d'origine italienne, est un cordonnier et sa mère, d'origine provençale, est repasseuse. Fils unique, il suit ses études au collège de Manosque. En 1911, son père étant

Amanieu, seigneur d'Ambleville, chevalier d'Albret, pour conquérir Mme de Gondran, sa maîtresse. Elle en a un fils, Charles (12 mars 1648 au château des Rochers - 26 mars 1713 à Paris), baron de Sévigné, dit le marquis de Sévigné, marié à Jeanne Marguerite de Mauron, le couple restera sans postérité, et une fille, Françoise de Sévigné (10 octobre 1646 - 13 août 1705). Elle a pour cousin germain le chansonnier Philippe-Emmanuel Coulanges, époux de Marie-Angélique de Coulanges, également épistolière

assiduites, mais elle ne se remariera jamais preferant se consacrer a ses enfants, Françoise Marguerite, l'ainee qu'elle considere comme "la plus jolie fille de France" et qui fait de brillant debuts a la cour; Charles, le cadet, dont elle considere les frasques du jeune homme avec une grande indulgeance. En 1669, sa fille epouse le comte de Grignan, qui est bientot nommé Lieutenant General du roi en Provence: en 1671, Madame de Grignan rejoint son mari dans le midi, et Madame de Sévigné a bien du

italien. Bonne éducation et instruction. 2) Mariage : 18 ans avec le marquis de sévigné, noble breton. Tué dans un duel en 1751. Laissant sa femme et deux enfants. Enfant : Françoise Marguerite, 1946 et Charles, 1648. 3) Sa fille : se marie au prince de Grignan, lieutenant-général du roi en Provence. Elle le rejoint 2 ans plus tard. Début de la correspondance avec sa fille. Environ 25 ans. 2 à 3 lettres par semaine. Autre correspondance : son fils, son cousin Bussy- Rabutin, madame de

un de ses parents, le marquis Henri de Sévigné et prenait le titre de Marquise. Ils ont vécu à leur terre des Rochers, auprès de Vitré en Bretagne, puis à l’automne 1646, ils regagnaient Paris pour la naissance de leur première fille Françoise-Marguerite, et y restaient tout l’hiver. Elle fréquentait l’hôtel de Rambouillet. En 1948, leur fils Charles est né aux Rochers. Mais elle devenait veuve à vingt-cinq ans en 1651 ; son époux avait été tué lors d’un duel contre le chevalier d’Albret. Quelques

III-Son œuvre : sa correspondance. Mme de Sévigné écrivait depuis l'hôtel parisien où elle s'est installée en 1667, son domaine de Bretagne et le château de Grignan, en Provence, où elle effectue plusieurs séjours. La plus importante correspondance de Mme de Sévigné était avec sa fille, Françoise-Marguerite de Sévigné, comtesse de Grignan, qui s’effectua à peu près pendant vingt cinq ans au rythme de deux ou trois lettres par semaine. Celle-ci habitait au château de GRIGNAN dans le midi