Marianne George Sand

A 20 ans, sa notoriété littéraire naissante s'accompagne déjà d'une réputation sulfureuse alimentée par son côté dandy et ses débauches répétées dans la société des demi-mondaines parisiennes. A 23ansd , il part pour l'Italie, en compagnie de George Sand, dont il a fait la connaissance lors d'un dîner le 19 juin. (elle tombe malade dysenterie). Il entretient une correspondance durant 22ans avec Caroline Jaubert. C'est chez elle qu'il fait la connaissance, en mars 1837, d'Aimée-Irène d'Alton

sous le titre explicite « Un Spectacle dans un fauteuil ». En novembre 1833, il part en Italie, en compagnie de George Sand le19 juin. Ce voyage lui inspire Lorenzaccio, considéré comme le chef d'œuvre du drame romantique, qu'il écrira en 1834. De retour à Paris le12 avril 1834, il publie la deuxième livraison de son « Spectacle dans un fauteuil », comprenant Les Caprices de Marianne, parue en revue en1833, Lorenzaccio, inédit, André del Sarto (1833), Fantasio (1834), On ne badine pas avec l'amour(1834)

supporter son impatience égoïste et maladive qui le faisait souffrir dès qu’on tardait à s’occuper de lui, à le satisfaire. Ce qui à ce titre, lui valut une jalousie excessive et tout autant maladive qui a longtemps caractérisé sa relation avec George Sand. Nous en venons donc à la description physique d’Alfred Musset, car ce dernier remportait tous les suffrages autant féminins que masculins ! Nombreux ont été les compliments et les flatteries concernant son physique élégant et sobre à la fois

être jouées. Musset a écrit Les caprices de Marianne, en 1833 en Italie lors d’un séjour avec George Sand, sa compagne de l’époque. Les caprices de Marianne se déroulent à Naples et mêlent amour et désillusion. Dans cet échange entre Octave et Marianne, on apprend que Coelio qui était éperdument amoureux de la jeune femme change d’avis. Naît alors entre eux un dialogue ironique. On peut alors se demander dans cet échange, quel est le rôle de Marianne vis-à-vis des hommes dans la pièce ? Le premier

regrouper en volume sous le titre explicite Un Spectacle dans un fauteuil. Il publie ainsi une comédie, À quoi rêvent les jeunes filles ? en 1832, puis Les Caprices de Marianne en 1833. Il écrit ensuite son chef d'œuvre, un drame romantique, Lorenzaccio en 1834 (la pièce ne sera représentée qu'en 1896) après sa liaison houleuse avec George Sand et donne la même année Fantasio et On ne badine pas avec l'amour.Il publie parallèlement des poèmes tourmentés comme la Nuit de Mai et la Nuit de Décembre en 1835

Musset - Titre : Les Caprices de Marianne - N° d’édition : 17 366 - Date d’édition : Mars 1993 - Collection : Classiques Larousse - Nombre de pages : 65 pages II. RESUME DU LIVRE : Premier acte (3 scènes) : Coelio tombe amoureux de Marianne, très belle femme déjà mariée avec Claudio dont elle tient à rester fidèle. Coelio demande à plusieurs personnes dont Octave, son meilleur ami et un cousin de Marianne, de la faire changer d’avis. Mais Marianne repousse tout le monde, décidée à

désespéré. Décédé à 47 ans, la vie d’Alfred de Musset aura passé semblable à « l’ivresse passagère d’un songe ». (citation extraite de la pièce d’A. de Musset « Les caprices de Marianne ») . Eternel jeune homme, dandy déçu de l’amour, débauché par désespoir et ruiné par l’alcool. . Sa passion tumultueuse pour Georges Sand contribua à mûrir son génie. . La méditation de Musset, formulée dans des vers –voués à la célébrité- d’un lyrisme flamboyant, léger, justifie l’obsession de la souffrance

lui-même et à s’intéresser à ce qui n’est pas lui ; et c’est ainsi qu’il va étrangement souffrir pour s’être attaché à réaliser sur la matière vivante et vibrante les fausses et dangereuses abstractions de l’amour romantique. En 1833, il recontra George Sand. Cette femme bizarre, aux grands yeux noirs si beaux, l’attira violemment. Ils s’aimèrent, avec des emportements furieux ; ils connurent toutes les joies et toutes les misères d’une passion impossible. Pour qu’un amour soit heureux et durable, il

regrouper en volume sous le titre explicite Un Spectacle dans un fauteuil. Il publie ainsi une comédie, À quoi rêvent les jeunes filles ? en 1832, puis Les Caprices de Marianne en 1833. Il écrit ensuite son chef-d'œuvre, un drame romantique, Lorenzaccio en 1834 (la pièce ne sera représentée qu'en 1896) après sa liaison houleuse avec George Sand. Il publie parallèlement des poèmes tourmentés comme la Nuit de mai et la Nuit de décembre en 1835, puis un roman autobiographique La Confession d'un enfant du siècle

sous le titre explicite « Un Spectacle dans un fauteuil ». Il publie ainsi une comédie, « À quoi rêvent les jeunes filles ? » en 1832, puis « Les Caprices de Marianne » en 1833. Il écrit ensuite son chef d’œuvre, un drame romantique, « Lorenzaccio » en 1834 (la pièce ne sera représentée qu’en 1896) après sa liaison houleuse avec George Sand et donne la même année « Fantasio » et « On ne badine pas avec l’amour ». Il publie parallèlement des poèmes tourmentés comme « la Nuit de Mai » et « la Nuit