Analyse "caprices de marianne", acte ii, scène 1
Le premier échange entre Octave et Marianne est dans l’acte II, scène 1. C’est dans cet entretien qu’Octave fait ses premiers pas en tant qu’intermédiaire pour Coelio, passionnément amoureux de la jolie jeune femme qui elle est mariée au vieux juge, Claudio. Dès le début de la discussion, Octave ne remplit pas bien son rôle car il laisse comprendre à Marianne que celui-ci en aime une autre. Marianne qui est une jeune adulte écoute avec ironie les propos de son cousin, Octave. En effet, tous les propos qu’elle tient sont ironiques : « Quel dommage ! Quel grand malheur ! » (l.38), cette antiphrase permet aux lecteurs de connaître la vraie pensée de Marianne qui est le contraire. Celle-ci est très heureuse d’apprendre que Coelio ne l’aime plus. Marianne use de toutes les formes d’ironie possibles durant l’échange. Le jeune libertin essaye en vain de complimenter Marianne sur sa beauté resplendissante et sa pureté, et essaye de lui faire