Marianne

c’est le père de Cléante et d’Elise qui aime Valère. Harpagon veut épouser Marianne et veut que ses enfants Cléante et Elise épousent respectivement une veuve et le seigneur Anselme. La Flèche, valet de Cléante vole le trésor le plus précieux d’Harpagon : sa cassette. Harpagon perd alors la tête et Cléante entame un chantage avec Harpagon : la cassette contre Marianne. Harpagon choisit alors la cassette et laisse Marianne à Cléante. Nous avons cherché à savoir quelles sont les relations entre l’argent

 FICHE D’ACTIVITÉ THÈME / mots clés RÉPUBLIQUE / sculpture, république, Marianne, DISCIPLINE Arts plastiques - Histoire NIVEAU DE CLASSE NOMBRE D’ÉLÈVES 4ºESO NIVEAU CECR Fin A2 MINI DESCRIPTION DE L’ACTIVITÉ Il s’agit d’un activité d’analyse de la sculpture « Le Triomphe de la République » de Jules Dalou composée d’une série de questions et d’exercices + note historique. PRE-REQUIS à vérifier L2 DNL OBJECTIFS VISÉS

législatives qui se dérouleront un an plus tard . Observation et Interprétation Marianne Au centre de l'oeuvre , nous pouvons voir Marianne , représentant la République Française . La Marianne porte le bonnet phrygien , symbole de liberté , mais rappelant aussi la Révolution de 1789 . Elle est éclairé par la lumière de la connaissance , symbolisée par le flambeau tenu par l'ange . On peut voir que la Marianne marche sur une courronne royale et un sceptre , renvoyant à la victoire des Républicains

deux la même chose : La Liberté. Une œuvre qui vit encore : Aujourd’hui Gérard Rancinan propose une version moderne de «  La liberté guidant de le peuple ». Il s’agit de la liberté d’expression. Franchissant les ruines du mur de Berlin, la Marianne révolutionnaire est devenue une femme voilée, l’enfant du peuple est devenu un enfant soldat africain, un moine tibétain ou birman côtoie un rappeur américain, un dissident chinois et un prisonnier d’Abu Ghraïb, avec les Twin Towers en toile de fond

Toute la famille voit le subterfuge mais le père de Marianne et Damis reste aveuglement passionné et serait prêt à tout donner pour Tartuffe. -Elmire, la femme d’Orgon. Contrairement à son mari, elle est présentée comme un personnage entièrement positif. Elle est caractérisée par deux termes : la discrétion et l'efficacité. Elle connait son charme et en use pour duper Tartuffe. - Damis et Mariane, les enfants d’Orgon, Valère l’amant de Mariane, Dorine la servante au franc parler ou encore Mme

manies du vieillard Valère espère entrer dans les “bonnes grâces“ du père pour obtenir la main de sa fille. Cléante de son coté est follement amoureux de Mariane, fille sans fortune vivant avec sa mère. Malheureusement père et fils convoitent la même femme et c’est par Frosine, une entremetteuse, qu’Harpagon nourrit l’espoir d’épouser la jeune Mariane qui soit dit en passant « ne lui reviendra pas cher ». Tout chavire lorsque Cléante essaie de rassembler une grosse somme d’argent. L’usurier qu’on lui

Marianne :fut d’abord sous la Révolution l’allégorie de la liberté et deviendra l’effigie nationale à partir de la III République. Son buste orne toutes les mairies de France. – La Devise : Liberté, Egalité, Fraternité. – Le 14 Juillet : devient jour de fête nationale. L’armée défile devant la nation (document 2, 3). L’installation de cette culture fut une réussite quand est-il de sa diffusion ? Plusieurs vecteurs ont été à l’origine de la diffusion de la culture républicaine premièrement

prolonge la formation civique reçue à l’école. ■ Les symboles révolutionnaires deviennent ceux de la nation : le drapeau tricolore est le drapeau français depuis 1830, mais c’est seulement en 1879 que la Marseillaise redevient l’hymne national. Marianne trône dans les mairies et la devise « Liberté, Égalité, Fraternité » orne les bâtiments offi ciels et les pièces de monnaie (doc. 1). Le 14 juillet est fête nationale depuis 1880. C. Une défi nition juridique de la citoyenneté ■ La France est

ambassadeur à la cour ottomane. Résumé : Lettre I : Dans la première lettre, nous apprenons que Marianne qui est une religieuse portugaise écrit une lettre qu’elle adresse à son amant. Elle éprouve encore de nombreux sentiment pour lui tandis que ce dernier est reparti en France car il y est militaire. Elle lui en veut d’être parti mais lui jure quand même de l’aimer pour toujours. Marianne aimerait le rejoindre mais étant au couvent, elle ne peut. Elle lui prouve donc son amour à travers des

intervention d'un troisième personnage pour dénouer ce drame en raccourci. Dans cette scène, les didascalies et les gestes illustrent parfaitement l’évolution de la situation. Dorine, jusqu'alors spectatrice de la scène, intervient alors que VALERE et MARIANNE étaient sur le point de se séparer par dépit amoureux. Elle court d’un personnage à l’autre pour les raisonner et les « tire l’un à l’autre VALERE veut se retirer mais malgré lui il ne peut s’empêcher de rester : VALERE (744) : Il fait un pas